Confessez vos péchés les uns aux autres

Jacques 5 : 16

Un jour, mon auto resta en panne sur la route, et pendant longtemps je ne pus trouver la cause de cette panne.

Enfin, je découvris que le petit filtre à essence s’était rempli d’impuretés et que la tuyauterie était obstruée.

Il n’y avait plus qu’à nettoyer ce filtre pour que la voiture pût marcher.

Il me semble que notre christianisme personnel ressemble souvent à cette auto : Tout semble en ordre, la voiture est prête à partir, et pourtant nous avons beau tourner la manivelle de mise en marche ; quelque part, nous avons négligé un détail qui doit d’abord être réparé.

Nous voulons parler aujourd’hui d’un de ces détails dans la vie chrétienne.

Il est mentionné dans l’épître que Luther appelle, bien à tort, " une épître aride ".

Nous y trouvons ces mots : " Confessez vos péchés les uns aux autres. "

Il y a beaucoup de bonnes choses dans l’épître de Jacques.

Presque à chaque page, il donne des conseils précieux, car ce Jacques est vraiment un chrétien pratiquant, tel que Dieu les aime.

Même si nous n’avions de lui que ce conseil : " Confessez vos péchés les uns aux autres ", nous devrions lui en être reconnaissants, car ce mot peut, le cas échéant, nous dire pourquoi notre voiture reste en panne, tandis que le moteur devrait " partir " et développer de la puissance.

Et nous voulons, dès l’abord, être honnêtes les uns avec les autres et reconnaître ceci : C’est vrai, notre voiture ne sert à rien ; c’est vrai, notre christianisme n’a pas de force, pas de rythme, il n’avance pas, il n’aide ni nous-mêmes ni d’autres ; il ne nous procure pas de joie, il n’en donne pas à d’autres.

Notre christianisme est comme un salon qu’on n’habite pas, qu’on ne chauffe pas, parce qu’on ne s’en sert pas pendant la semaine.

Nous avons ce salon parce que c’est la coutume, mais au fond nous n’en avons pas besoin.

De même, dans chaque ménage, il y a une quantité d’objets, grands et petits, qu’on a achetés ou reçus parce qu’ils étaient apparemment pratiques et utiles, mais peu à peu, on a découvert qu’ils ne servaient à rien, on les a mis dans un coin : c’est du rebut.

Voilà ce qui risque d’arriver à notre christianisme.

On nous l’a recommandé autrefois comme quelque chose de très nécessaire, de très pratique, de très précieux.

On nous l’a vanté sur tous les tons.

Que de belles choses sont promises dans la Bible ! Il n’y a qu’à prendre : " Je vous donnerai du repos. – Mon joug est doux et mon fardeau léger. – Celui qui vient à moi ne marchera pas dans les ténèbres. – Il n’aura jamais soif. "

Et puis il est question de la foi qui transporte les montagnes, et du Père qui nous donnera tout ce que nous lui demanderons, etc.

Et la réalité ?

Désirs insatisfaits, dénuement, faiblesse, déceptions, solitude, froid, renoncements sans compensations, promesses quant à l’avenir, mais rien pour la vie présente.

Le bois qui est humide ne brûle pas et ne chauffe pas.

Et les pasteurs dans les Eglises, les prédicateurs dans les chapelles nous font sentir qu’ils en sont au même point que nous.

Pourquoi parlent-ils tant, quelquefois même en frappant du poing sur la chaire ?

Une bonne marchandise se vend d’elle-même.

Nous nous comportons quelquefois comme des charlatans.

Notre marchandise serait-elle de la camelote ?

Pourquoi ce que nous disons est-il si peu convaincant ?

Pourquoi les pasteurs sont-ils quelquefois ridicules ?

Pourquoi le monde ne prend-il pas les chrétiens au sérieux ?

Pourquoi trouvons-nous la Bible si ennuyeuse ?

Pourquoi ne pouvons-nous parler du Christ que sur un ton solennel ?

Pourquoi ne nous sentons-nous pas poussés intérieurement à parler de lui ?

Pourquoi notre zèle missionnaire est-il si peu vrai ?

Pourquoi laissons-nous à d’autres, à des hommes payés pour le faire, cette tâche d’annoncer l’Evangile ?

Est-il vraiment si difficile de dire à quelqu’un qui a soif : " Viens, je te montrerai là-bas une source dont l’eau est excellente ? "

Oui, c’est difficile, car cette source ne nous a pas désaltérés nous-mêmes.

Il en était question dans le " Baedeker ", ou bien dans un livre relié non pas en rouge, mais en noir.

Et nous ne sommes pas sûrs que l’homme altéré, s’il nous suit, trouve vraiment ce qu’il cherche.

Cela nous rend hésitants. Justement ceux qui sont droits et sincères sont hésitants.

Nous ne voulons pas que les autres soient aussi déçus.

Combien de chrétiens savent la Bible à moitié par cœur, et cela ne les a rendus ni riches, ni libres, ni vivants, ni joyeux, ni rayonnants.

Il n’y a pas de miracle dans leur vie.

Et ils devraient dire à un autre, qui cherche vraiment, qui a soif : " Fais comme moi ! "

Qui de nous aurait le courage d’amener à l’Eglise un désespéré ?

Et il y en a des millions aujourd’hui !

" Voyez, là vous trouverez du repos et du réconfort. "

Hélas ! Il y a des milliers d’Eglises, et si souvent elles n’ont pas aidé les désespérés même qui y sont entrés !

Il y avait là des paroles, des promesses, des affirmations, mais où était la réalité, où était la vie ?

Mes amis, il est clair que quelque chose n’est pas en ordre, ni dans notre Eglise, ni en toi, ni en moi, sans cela le moteur "partirait " mieux et prendrait sa vitesse.

Amanullah, l’ex-roi de l’Afghanistan, avait raison malheureusement quand il disait : " Vos autos sont meilleures que votre christianisme. "

Serait-ce peut-être parce que nous avons oublié le conseil de Jacques ?

Aurions-nous négligé un détail, qui n’en est pas un, mais une des conditions essentielles de la vie ?

C’est un fait : Il y a quelque chose entre nous et Dieu.

Et c’est pourquoi notre vie est si peu intense. Le courant de la vie entre Dieu et nous est interrompu.

L’Evangile est là, Christ est là, l’Eglise est là aussi avec toutes ses œuvres, et pourtant….

Ce qui nous sépare de Dieu ne peut être que notre péché.

Mais comment cela ?

Christ n’est-il pas mort pour nos péchés ?

Si j’admets cela, ils sont annulés. Et si je me repens, ils me sont pardonnés.

Combien souvent je me suis sincèrement repenti de mes péchés ! Alors, tout doit être en règle.

Non, tout n’est pas en règle, car l’apôtre dit : " Confessez vos péchés les uns aux autres. "

Ce n’est pas seulement un petit conseil amical, qu’on peut suivre ou non, mais il s’agit ici de quelque chose de tout à fait décisif.

Autrefois je croyais que l’essentiel était de confesser ses péchés à Dieu, et que c’était suffisant.

Notre Eglise a pour cela une très belle formule dans sa liturgie pour la Sainte Cène.

Mais aujourd’hui je pense autrement.

Il ne s’agit pas de résumer nos péchés dans une formule générale : " Moi pauvre pécheur, je confesse tous mes péchés et iniquités. "

Non, un péché doit être appelé par son nom, et plus ce nom est difficile à prononcer, plus il est indispensable de le faire.

Et je dois le nommer non seulement devant Dieu - la plupart des hommes éprouvent moins de gêne devant leur Dieu que devant leurs semblables, - mais le confesser aussi à mon prochain, non pas à n’importe lequel, mais à celui qui pourra m’aider, c'est-à-dire à celui qui saura également confesser.

Je sais que quelque chose en nous proteste ici.

N’est-ce pas un manque de pudeur ?

N’est-ce pas dangereux ?

Non pas !

Je ne refuse pas de me déshabiller devant le médecin.

Cela doit être, et je dois lui montrer justement les places qui font mal.

Cette confession faite à un homme est difficile ; c’est ce qui prouve à quel point elle est nécessaire.

Un péché que nous redoutons de confesser en tête à tête n’est pas encore complètement vaincu.

Nous ne regimberions pas si nous ne sentions qu’il a encore des racines en nous ; cela fait mal d’arracher le péché jusqu’aux racines.

Les péchés ne meurent pas dans l’obscurité, ils meurent seulement quand nous les amenons à la lumière.

Ils sont comme les mauvaises herbes qu’on a arrachées, et qu’il faut brûler ou laisser sécher au soleil.

Un péché que notre orgueil cache est encore vivant.

Et s’il ne l’est plus, c’est notre orgueil lui-même qui nous sépare de Dieu, et je dois aussi sacrifier cet orgueil.

Et comment le ferais-je sinon en confessant cet orgueil ?

J’offrirai ce dernier sacrifice, contre lequel mon orgueil même proteste obstinément.

En confessant mon péché, je livre quelque chose de moi-même.

Ce péché que je gardais comme un secret ne m’appartient plus, il n’est plus mon secret. Je l’ai arraché de mon cœur.

C’est seulement quand je n’ai plus rien à cacher que je suis tout à fait libre.

Je crois que Dieu exige cette honnêteté absolue.

Dieu exige que je livre mon péché. Alors sont rompus les derniers liens qui m’attachent à ce péché.

Le diable n’oubliera pas que nous l’avons ainsi livré, pas plus que nous n’oublions celui qui nous a trahis.

Le diable ne s’approchera plus de nous aussi facilement qu’auparavant ; il ne pourra plus s’installer chez nous.

Un cœur qui a confessé son péché est devenu pour le diable une demeure inconfortable : Le diable ne veut pas être trahi.

Donc la confession est pour le chrétien un moyen de défense d’une valeur inappréciable.

Et en trahissant le diable, nous nous sommes préparés à recevoir l’esprit du Christ.

Il peut s’approcher de nous, il peut s’établir en nous.

Maintenant nous avons donné la dernière preuve, la plus difficile, que nous prenons la vie chrétienne au sérieux. Et la récompense sera magnifique.

Revenons à l’image de l’auto dont nous sommes partis.

Si nous remuons un peu l’essence de notre filtre, quelques gouttes pourront couler, mais bientôt les impuretés se déposeront de nouveau et la tuyauterie sera rebouchée.

Si, par contre, nous enlevons les impuretés pour les verser sur la route, l’essence coulera librement, le moteur se remettra en marche, il prendra sa vitesse et pourra transporter plus loin l’automobiliste et ses passagers.

Je sais que beaucoup de chrétiens ont peur de ce dernier pas.

Ils veulent se mettre en règle avec Dieu sans confesser leur péché.

Et ils luttent en secret contre ce péché, et malgré toute la sincérité de leurs efforts, ils n’en viennent pas à bout.

Leur vie reste accablée, elle est inféconde, seulement parce qu’ils n’ont pas osé avouer leur péché à un autre homme.

Ils n’éprouvent jamais le sentiment de délivrance qui est la suite d’une telle confession, et ils ne peuvent par conséquent pas être des libérateurs pour d’autres.

Il est curieux, presque touchant, de voir avec quelle exactitude méticuleuse nous suivons parfois les prescriptions des médecins : Nous comptons les pilules, nous regardons la montre pour voir s’il y a vraiment un quart d’heure jusqu’au dîner.

Et pourtant ce ne sont là que des prescriptions de peu d’importance, quelquefois de simples moyens de nous suggestionner.

Et là où il s’agit de choses décisives pour notre vie intérieure, nous omettrions vraiment ce qui ne nous plaît pas ?

Non, cette confession est comme la signature posée au bas de notre acte d’accusation, et cette signature est nécessaire.

Les protestants haussent les épaules en parlant du confessionnal des catholiques.

Et nous savons combien facilement il y a là des abus, et combien funeste peut être cette contrainte exercée sur les consciences.

Et pourtant je crois qu’une grande partie de la vraie force que l’Eglise catholique possède encore incontestablement est due à la confession.

Car là, des centaines de milliers de fidèles expérimentent vraiment le miracle de l’absolution, c'est-à-dire la libération.

Et par reconnaissance, ils sont profondément attachés à leur Eglise.

Une condition toutefois est à observer : Pour confesser, il faut être dirigé, il faut la discipline du Saint-Esprit.

Il y a aussi une volupté, une vanité de la confession.

Il y a des gens qui veulent montrer partout leur robe de pénitent battant neuve.

Et puis, appeler un péché par son nom, ce n’est pas le décrire dans tous les détails.

La confession devant un cercle nombreux ne doit être faite que si elle concerne ce cercle et si elle peut lui être utile.

Mais à cette confession-là, notre Eglise ne doit pas se soustraire.

Mes amis, c’est l’honnêteté, la véracité absolues qui seules pourront nous aider.

N’avons-nous pas essayé tous les autres chemins, tous ceux qui nous ménagent sur ce point-là ?

Dans " Les derniers jours de Hutten ", il y a un poème qui m’a toujours fait une forte impression, parce qu’il renferme un aveu courageux et honnête.

Il a pour titre : " La Confession ", et chaque strophe commence par ces mots : " Je me repens. "

Mes amis, je ne peux pas le dire en d’aussi belles paroles, mais je dois dire tout de même, aujourd’hui où je me trouve devant vous et où je demande de vous l’effort le plus difficile, l’effort décisif :

" Je me repens de ne pas avoir parlé plus simplement, plus sobrement. " Je me repens de n’avoir pas toujours été humble, quoique j’aie souvent demandé à Dieu de m’enseigner l’humilité.

" Je me repens de ce que, tout en cherchant vraiment à donner gloire à Dieu, je n’ai pas tout à fait oublié ma propre gloire.

" Je me repens d’avoir exigé de vous plus que de moi-même, de vous avoir adressé la salutation apostolique en ce lieu, après être sorti de ma maison sans avoir la paix dans le cœur.

" Je me repens d’avoir prêché, avec tant de sérieux, contre une vie et un christianisme pleins de compromis et de concessions, tout en faisant moi-même, toujours de nouveau, des compromis.

" Je me repens de n’avoir pas amené mes auditeurs tout près de Jésus, jusque sous la croix. Et je sais pourquoi je n’ai pas pu le faire : Je n’y étais pas moi-même.

" Je me suis contenté de me tenir dans le voisinage de Jésus et ce n’est pas assez. " Il faut marcher sur ses traces, il faut se jeter à ses pieds. "

Il faut se donner à lui sans réserve, et comme j’ai toujours de nouveau fait des réserves, mes paroissiens l’ont fait également, car personne ne peut amener les autres plus loin qu’il n’est lui-même. "

Cependant avec l’aide de Dieu, je veux devenir plus fidèle, plus humble, plus vrai ; je veux sacrifier, l’un après l’autre, tous les obstacles qui me séparent de Dieu, appartenir à Christ complètement.

Et je sais qu’il y aura ici aussi, dans cette paroisse, des gens qui se réveilleront, qui ne se contenteront pas de se donner à moitié ou aux trois quarts, mais qui promettront sincèrement : " Je veux me livrer à toi tout à fait. "

Ils pourront confesser ensuite, sincèrement aussi : " Je suis à toi ! "

Nous devons devenir une communauté de chrétiens vivants ; nous le deviendrons seulement quand nous aurons osé remplir la dernière condition, pour l’amour du Christ, quand nous nous serons avoué nos péchés les uns aux autres.

Cela aura encore une conséquence : Nous aurons plus de communion les uns avec les autres.

Nous nous serons démasqués, et cela nous permettra de nous rapprocher les uns des autres.

Combien de chrétiens portent encore des masques !

Combien ils sont différents de ce qu’ils paraissent !

La communion est-elle possible entre des menteurs qui se trompent volontairement les uns les autres ?

Si nous sommes vrais, nous pourrons jouir de cette communion fraternelle, un des plus beaux dons que Dieu veuille nous accorder.

Encore un dernier point : Un disciple de Christ, sincère et pratiquant, a dit dernièrement : " Tout chrétien qui confesse est un chrétien qui convainc. "

C’est ici que nous devons faire nos preuves ; car cette honnêteté dernière, cette honnêteté qui nous fait souffrir, ébranle les consciences.

Elle est la clef du portail par lequel nous pouvons conduire d’autres âmes à Christ.

Elle nous aidera à porter du fruit.

On a dit que la crise économique actuelle, la lutte de tous contre tous, est avant tout une crise de confiance.

On peut dire que la crise de l’Eglise et de la chrétienté n’est pas autre chose.

Et c’est pourquoi nous devons donner une preuve suprême de notre honnêteté en dévoilant notre vraie personnalité, c'est-à-dire en confessant nos péchés.

Je sais que nous ne le regretterons pas.

Nous trouverons des imitateurs, et nous amènerons à Christ des gens qui, jusqu’alors, étaient méfiants.

Il est un fait certain, c’est qu’il y a dans l’homme un besoin profond de véracité absolue.

Et là où il trouve cette véracité, il se sent attiré irrésistiblement, d’après une loi intérieure.

Nous pouvons gagner ainsi même les hommes du XXème siècle, peut-être justement ceux-là.

Nous avons constaté, au début, que dans notre christianisme, quelque chose n’est pas en ordre ; que, sur un point important, nous devons changer pour devenir des chrétiens vivants, pour que la Bible aussi, dont tant de gens ne veulent plus rien savoir, redevienne vivante.

Dans son dernier livre : " Jésus l’Inconnu ", Merejkovski dit : " Pour lire l’Evangile dans un esprit nouveau, il faut vivre d’une vie nouvelle. "

Il a raison, et cette vie nouvelle, c’est justement cette honnêteté absolue qui se révèle dans la confession.

Si nous suivons le conseil de Jacques : " Confessez vos péchés les uns aux autres ", nous vivrons d’une vie différente, et dans cette vie pénétrera un esprit différent.

Car ceux qui confessent parce qu’ils veulent être absolument vrais, verront s’approcher d’eux le Christ vivant.

Nous pouvons en être sûrs.

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