Introduction

Ce petit volume contient une série de méditations prononcées devant la communauté du " Kurhaus", à Heinrichsbad.

J’ai voulu examiner, approfondir à la lumière de la Parole divine les expériences que j’ai faites moi-même grâce à mon contact avec le mouvement d’Oxford.

Les formes même de ces méditations, de ces sermons, ont le caractère d’un témoignage personnel et doivent garder ce caractère d’un témoignage personnel.

Dans les formes qui m’étaient dictées par ma vocation, j’ai voulu exprimer ce que j’ai vécu.

W.J. Oehler

Le silence

On prêche aujourd’hui dans des milliers d’Eglises, on emploie des milliers de kilos de papier pour imprimer de la littérature religieuse ; la Bible pénètre dans des régions lointaines ; bref, le christianisme se répand toujours plus dans tous les pays du monde.

Et pourtant, le monde change si peu !

Tant de témoignages, et si peu de transformations !

On sent si peu l’action du Saint-Esprit, si peu dans le domaine politique et économique, si peu dans celui de l’Eglise et de l’école, si peu dans la famille, si peu en chacun de nous !

Nous tous savons cela ; nous soupirons tous plus ou moins en pensant à l’impotence de notre christianisme.

Il nous aide trop peu. Il ne nous rend pas aussi forts, aussi confiants, aussi joyeux qu’il le devrait, qu’il le promet.

Quelque chose, évidemment, n’est pas en ordre.

Quelque part il doit y avoir un grain de poussière dans le rouage, quelque part un défaut dans le mécanisme.

Où donc ?

Les uns disent : " C’est la faute du Christ. S’il était vivant, il créerait de la vie. " La chrétienté morte est pour eux la preuve que Christ est mort.

D’autres cherchent la faute dans l’édifice de la doctrine chrétienne, dans la dogmatique.

Ils disent : " Il faut comprendre telle et telle chose autrement, souligner ceci, interpréter cela différemment, alors le véhicule marchera. "

Or, il ne marche pas du tout. Rien ne change.

D’autres enfin en arrivent à se dire : " La faute est à nous-mêmes. "

Et s’ils ont raison, cette faute doit être très grave et très répandue.

Alors toute la chrétienté se trompe sur un point important, sur un point capital.

C’est comme si, voulant arroser un jardin avec un tuyau d’arrosage, quelqu’un oubliait d’ouvrir le robinet.

Ou bien cela rappelle l’histoire de ces Genevois qui, voulant faire une promenade au clair de lune dans leur bateau à rames, n’avançaient pas, parce qu’ils avaient oublié de détacher le bateau.

Et maintenant, où est, chez nous, la cause pour laquelle cette machine gigantesque de la chrétienté et de l’Eglise travaille si mal, avec de si piètres résultats ?

Je crois que cette cause, - non pas la seule, mais une des causes, - est que nous ne sommes pas silencieux devant Dieu ; nous ne savons plus nous taire devant lui, et c’est pourquoi il ne peut plus nous parler.

Ce que nous faisons, en définitive, nous le faisons sans Lui.

Il peut arriver qu’une personne dont s’occupe un pasteur parle tant elle-même que le pasteur ne peut rien dire, par conséquent ne peut ni aider ni donner un conseil.

Nous sommes semblables à des gens qui auraient appelé Dieu au téléphone, mais qui parlent sans cesse, et oublient, après avoir parlé, de mettre l’oreille à l’écouteur ; ainsi Dieu n’a pas l’occasion de répondre.

Nous parlons trop en général, aussi nous autres pasteurs ; nous sommes une Eglise de prédicateurs et non d’auditeurs.

Et pourtant, l’essentiel n’est pas ce que nous disons, mais ce que Dieu dit.

Un sermon devrait, avant tout, interpréter ce que Dieu dit, ce que prêche le Saint-Esprit.

Ce que le pasteur dit de plus est presque toujours de trop !

Luther exprime comme suit cette vérité qu’il avait reconnue : " Si l’Esprit vient et commence à prêcher dans ton cœur, fais-lui l’honneur de te tenir tranquille ; abandonne tes propres pensées, et écoute celui qui en sait plus long que toi. Et ce qu’il prêche, retiens-le, note-le, et tu verras des miracles. "

Et Kierkegaard dit ceci : " A mesure que sa prière devenait plus fervente, plus profonde, il avait moins à dire. Pour finir, il se tut ; il devint celui qui écoute. Il avait cru d’abord que prier, c’est parler. Il apprit que prier, ce n’est pas seulement se taire, mais écouter. Prier n’est pas s’écouter parler ; prier, c’est se tenir tranquille et attendre que Dieu parle. "

Nous retrouvons la même pensée au Psaume 62 : " Mon âme est tranquille devant Dieu, qui est ma délivrance. "

Je crois que nous connaissons Dieu trop par ouï-dire, par la Bible, par l’école, par les sermons, par d’autres.

Il s’agit de le connaître personnellement, et pour y arriver, nous devons le chercher et le laisser parler.

Nous devons suivre l’exemple du jeune Samuel que Dieu réveille dans le temple où il dormait, et qui répondit : " Parle, Seigneur, car ton serviteur écoute. "

Ainsi la prière est un dialogue, dont la partie la plus importante, la plus haute est celle où parle l’Autre, Dieu.

Il est urgent que je sache ce que Dieu veut de moi, ce que Dieu a à me dire aujourd’hui, à cette heure, à moi personnellement ; c’est pourquoi je dois le laisser parler, et me mettre dans l’attitude de celui qui écoute la parole de Dieu et attend ses ordres.

En d’autres termes, se taire, c’est se mettre à la disposition de Dieu.

C’est ce qu’a fait Jésus lui-même.

Nous lisons toujours de nouveau dans l’Evangile qu’il se retirait dans la solitude, qu’il se taisait devant Dieu.

Et toujours – après ces moments de silence – il se passait de grandes choses.

Là, il recueillait des forces nouvelles ; il se chargeait d’énergie comme un accumulateur que l’on met en contact avec le réseau pendant la nuit ; il cherchait de nouveaux ordres pour la journée ; il se mettait vraiment sous la direction de Dieu, et ce qu’il faisait ensuite réussissait.

Il en est de même pour nous. Si, le matin, nous avons vraiment été silencieux devant Dieu, nous sommes sous sa direction pendant la journée, et nous pouvons vraiment accomplir des choses dont Dieu se servira, et qui, comme Blumhardt l’exprime : " feront du bruit " dans le monde spirituel.

Nous avons, pour illustrer ce dont il s’agit ici, une image frappante dans notre clinique ophtalmologique.

Chaque jour, pendant une heure, on bande les yeux des malades atteints de myopie, et ils se trouvent plongés dans l’obscurité.

Cette obscurité est leur remède. Elle détend les muscles.

Au début, c’est comme s’il y avait encore dans les yeux des restes de lumières ; puis tout est calme et noir, et, dans ce noir, un œil malade peut se guérir.

Nous aussi, nous devons nous détendre intérieurement, être tout à fait réceptifs, tout à fait vides, pour que l’Esprit de Dieu trouve place en nous, et puisse agir.

Bien entendu, cela n’est pas facile. Même les hommes soi-disant charitables, bienveillants, pieux, sont terriblement " égocentriques ".

Ils rapportent tout à eux-mêmes.

Ils sont eux-mêmes charitables, aimables, secourables, pieux. Il n’en doit pas être ainsi. Ce n’est pas eux qui font quelque chose ; c’est le Saint-Esprit qui fait quelque chose par eux.

Un appareil photographique dont la chambre est tout à fait obscure donne seule des images nettes.

Un homme qui a encore de la lumière en lui, qui n’est pas parfaitement " étanche ", est inutilisable.

Un haut-parleur avec des parasites est un mauvais instrument.

Le meilleur porte-voix est incontestablement celui qui reproduit le plus nettement et le plus exactement la voix de celui qui parle.

Nous devons nous préparer d’abord extérieurement à écouter, chaque matin et souvent dans la journée, nous taire devant Dieu pour écouter ce qu’il a à nous dire.

Lorsque j’étais élève dans un grand domaine agricole en Prusse orientale, mon collègue et moi devions nous présenter chaque soir dans le bureau du chef, qui nous donnait les instructions nécessaires pour le lendemain.

Elles étaient si nombreuses que nous devions les noter par écrit.

Dans notre moment de silence devant Dieu, nous recevons aussi des instructions, peut-être si nombreuses que nous pourrons à peine les noter toutes.

Nous penserons à des gens auxquels nous avons à rendre un service, auprès desquels nous avons quelque chose à réparer ; nous recevrons l’ordre d’abandonner ceci ou cela, de nous maîtriser, de sacrifier quelque chose, de nous détendre.

Et même si rien ne nous vient à l’esprit, si aucune voix ne se fait entendre, ce moment de silence est bon et nécessaire.

C’est comme un bain de soleil qui nous rafraîchit pour toute la journée, et qui tue les germes morbides.

La fenêtre ouverte ainsi le matin restera ouverte toute la journée, laissant entrer à flots l’air et la lumière du ciel, et notre vie quotidienne en sera illuminée.

Celui qui, chaque matin, se laisse éclairer par le soleil divin aura une autre journée que celui qui ne le fait pas.

Il est évident que ce silence est nécessaire chaque jour ; il est une des règles essentielles de l’hygiène intérieure.

Je ne dis pas : " Aujourd’hui je ne déjeunerai pas, je ne me laverai pas ; je l’ai fait hier ! "

Il ne suffit pas d’écouter, cependant Dieu a des ordres à me donner ; il veut m’instruire.

Dans cette heure de silence, Dieu ne veut pas m’entretenir agréablement, caresser mon âme, pour ainsi dire.

Il faut que quelque chose se passe.

Donc, notre attitude doit être celle de l’obéissance ; c'est-à-dire que nous devons être prêts à nous donner, à nous livrer complètement à Jésus.

Plus nous le ferons, plus il nous confiera de travail, et plus ce travail sera important.

Il faut donc mettre l’accent sur ce mot : Complètement.

L’abandon complet ! Cela paraît si difficile, si inaccessible ! L’abandon de nos forces, de nos intérêts, de nos talents, de nos relations terrestres, de notre temps, de nos occupations favorites, de nos amitiés, de nos biens.

Nous devons mettre cela aux pieds de Jésus et lui dire : " Tout cela est à toi ; je t’appartiens corps et âme, pour la vie et pour l’éternité. "

Vous direz : " C’est trop demander ; cela ne va pas ; c’est du fanatisme ! "

Et pourtant, j’ai connu des hommes qui ont pris cela au sérieux, et je n’ai jamais vu des chrétiens plus joyeux que ceux-là.

Et Jésus ne leur a pas pris, purement et simplement, tout ce qu’ils lui offraient ; non, il le leur a rendu sanctifié, purifié, transfiguré, béni.

Dans l’Eglise Catholique, il arrive que des croyants présentent au prêtre ou au pape un objet pour qu’il le bénisse, et cet objet a ensuite, pensent-ils, des vertus miraculeuses.

Quelque chose de semblable se produit ici : Nous pouvons, nous avons le droit de livrer à Jésus toutes nos relations terrestres, tout ce que nous sommes et tout ce que nous avons, de lui demander qu’il le sanctifie et qu’il nous le rende ainsi transformé.

Nous ne serons pas appauvris, mais enrichis infiniment, et beaucoup plus heureux.

Notre vie devient merveilleusement plus complète, quand elle est ainsi dirigée, gouvernée par Dieu, une vie d’obéissance et de foi.

Les antipathies se transforment, les tensions se relâchent, la peur disparaît, la joie éclaire tout ; le cercle de ceux que nous aimons et qui nous aiment s’élargit ; plus de solitude, plus de froid, plus d’amertume.

Soudain, la vie n’offre plus de déceptions, car Jésus ne déçoit jamais.

Par sa force, nous accomplissons des choses que nous aurions cru impossibles.

Nous répétons avec l’apôtre Paul : " Je puis tout par Christ, qui me fortifie. "

Le plus grand navire, muni de tous les perfectionnements, de tout le luxe possible, est impuissant quand le gouvernail ne fonctionne pas à l’heure de la tempête, et même quand il fait calme, il est entraîné par tous les courants, et malgré toute sa majesté imposante, il sera obligé d’envoyer ses appels à travers l’espace : S.O.S. !

Mais quand il a un pilote et un gouvernail, il peut risquer la traversée sans crainte.

Nous avons besoin de Jésus pour diriger nos vies ; avec lui tout va bien.

D’aucuns ont peur de ce pilote, parce qu’il exige l’obéissance absolue.

Mais il ne faut pas avoir peur. Jésus exige beaucoup, il n’exige jamais trop.

Il n’exige pas d’actions héroïques, il exige seulement que nous avancions pas à pas.

Il s’agit de petites choses. Même une grande vie est composée de bagatelles, tout comme les grandes constructions en béton sont composées de cailloux et de grains de sable.

Mais ces bagatelles, il les demande, et nous devons les lui apporter toutes.

Il y ajoutera l’élément de liaison nécessaire, et en fera quelque chose de grand et d’important, quelque chose qui vaudra la peine et dont Dieu pourra se servir.

Ah ! Mes amis, combien est splendide une vie ainsi dirigée par Jésus !

Alors tout ce qui est hasard dans la vie cesse, tous ces aveugles coups du sort contre lesquels nous ne pouvons pas nous défendre, qui n’ont aucun sens, et dont nous avons peur.

Jusqu’à présent, nous vivions dans l’angoisse ; chaque jour pouvait amener une catastrophe épouvantable.

Maintenant, nous avons cette conviction : Il n’y a plus rien qui puisse me faire peur, car Jésus est avec moi.

Je lui ai donné ma vie, et je puis répéter ces lignes d’un cantique : " Ce qu’il lui plait de faire – m’est toujours salutaire. – Cesse, mon cœur, de t’agiter ! "

Cette nouvelle attitude se montrera dans la vie de tous les jours.

Je n’ai plus de raison, je n’ai plus le droit d’être nerveux, car la nervosité est le résultat de l’impatience et de la crainte, qui sont des péchés.

Plus d’agitation, plus d’activité fiévreuse.

Tout dépend, non plus de moi, mais de Christ. Je n’ai qu’à être fidèle, et cela n’est jamais trop difficile.

Je suis, partout et toujours, dans l’atmosphère de Jésus, qui est bonne, bienfaisante, réjouissante.

Ici, on est bienveillant, patient ; on se supporte les uns les autres.

Plus de soucis accablants ; nous nous débarrassons de ce défaut universel qui consiste à se charger non seulement des peines d’aujourd’hui, mais de celles de demain.

" Ne vous mettez point en souci ", cela ne veut pas dire : " Soyez insouciant ", mais : " Ne vous chargez que du fardeau d’aujourd’hui. "

Il est ridicule de se faire du souci pour le lendemain, car demain Jésus sera encore là, et il pourra survenir des événements qui rendent nos soucis anticipés tout à fait insensés.

Ah ! Mes amis, qui serait assez éloquent pour décrire complètement, dans tous ses détails, une de ces vies magnifiquement transformées, parce qu’elles sont données à Jésus et placées sous la direction de son Esprit !

Il faudrait prendre pour texte la radieuse exclamation de l’apôtre Paul : " Les choses anciennes sont passées ; voici toutes choses sont devenues nouvelles ! "

Et cette vie nouvelle commence par ceci : Faire silence et le laisser parler à nos cœurs qui ont désappris à se taire et à écouter.

N’est-ce pas, quand un grand de ce monde entre dans notre cercle, tout le monde se tait, le bourdonnement des voix s’arrête, et on se dispose à écouter ce qu’il aura à dire ; on lui laisse la parole.

Et quand Dieu s’approche de nous, - et en priant nous lui demandons de faire cela, - nous ne devrions pas nous taire, écouter ce qu’il a à dire ?

Nous sentons, je crois, que quelque chose doit changer dans nos relations avec Dieu.

Si nous n’apprenons pas à écouter, nous ne pourrons jamais vraiment obéir.

Et comme il est de toute importance que nous obéissions, nous devons trouver le temps de faire silence devant Dieu, nous devons fermer portes et fenêtres du côté du monde, lui interdire de mêler sa voix à notre dialogue avec Dieu, de nous empêcher d’écouter les ordres que Dieu nous donne.

Et cela demande un effort de notre part.

Celui-là seul saura se taire qui est convaincu que se taire est, au moment même, ce qu’il y a de plus urgent.

Il faut mettre tout de côté, même ce qui nous semble important et précieux, subordonner tout cela à ce qui est essentiel : Recevoir de Dieu la force, la lumière, la direction pour la journée qui commence.

Aussi notre sommeil, aussi nos repas, nos affaires, le téléphone, tout !

Donner à Dieu l’occasion de parler, voilà ce qui importe avant tout.

Ecouter et obéir, c’est travailler à ton salut, au salut de ta famille, de ton entourage, de ton pays, du monde entier.

Car la force qui peut sauver un pécheur peut aussi sauver l’humanité pécheresse.

En principe, c’est la même chose.

Si nous n’apprenons pas à écouter et à obéir, l’effort gigantesque que fait le monde pour sortir de la misère et du chaos sera inutile.

Et c’est pourquoi, mes amis, si vous voulez que votre vie change, qu’elle devienne utile, fructueuse, qu’elle s’écoule selon le plan de Dieu, vous devez commencer ici.

Vous serez surpris de voir tout ce qui se passe quand Dieu est là, surpris de constater combien le silence est fécond.

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