Chers Frères,

Dieu m’a permis de retrouver dans un livre de 1840, cette confession pastorale de 1651.

Nous l’avons imprimée telle qu’elle est dans le texte, sans ajouter ni retirer un iota.

Le peuple de Dieu doit se repentir et moi-même en premier, mais la repentance et le Réveil après lesquels nous soupirons doivent passer par les conducteurs en premier.

Romains : chapitre 11 verset 16

Frères, soyons attentifs à ces exhortations même si elles datent de 350 ans.

Que Dieu nous aide à redresser ce qui est tordu, afin que le Réveil que nous attendons commence par nous.

René LAHAYE

Pasteur

Souviens-toi donc d’où tu es tombé, repens-toi et pratique tes premières œuvres, sinon je viendrai à toi et j’ôterai ton chandelier de sa place, à moins que tu ne te repentes.

Apoc 2. 5

En l'année 1651, l'Eglise d'Ecosse comprenant combien la part que ses pasteurs avaient dans les péchés du peuple et dans les jugements par lesquels Dieu châtiait la nation était grande, rédigea ce qui fut appelé une humble confession du pastorat.

Ce document est frappant et très propre à remuer les consciences.

C'est peut-être une des confessions les plus complètes et les plus fidèles que l'on ait jamais faites des péchés des pasteurs.

Les quelques extraits que nous allons transcrire serviront utilement à ce chapitre. Le document débute par la confession des péchés commis avant d'entrer dans le ministère.

Il parle de :

Ces conversations légères et profanes, incompatibles avec la sainteté de la vocation du ministère, et dont une fois pasteurs, ils ne se sont pas entièrement repentis. Il leur reproche de ne pas s'être étudiés à être en Christ avant d'entrer dans le ministère, et de n'avoir pas fait eux-mêmes l'expérience de l'Evangile, avant de le prêcher aux autres,

D'avoir négligé de se préparer à l'œuvre du ministère par la prière, par la communion avec Dieu et par tous les moyens propres à leur faciliter, et de ne pas mener deuil pour toutes ces négligences ;

De ne s'être pas exercés au renoncement ni décidés à porter la croix de Christ ;

D'avoir négligé d'entretenir en eux un profond sentiment de leurs péchés et de leurs misères ;

De n'avoir pas combattu la corruption naturelle de leur cœur, et de ne s'être point étudiés à mortifier et soumettre leur volonté propre (Rom. 7 : 14 et 15).

Il parle ensuite de l'entrée dans le ministère en ces termes :

Ils sont entrés dans le ministère sans avoir égard à l'appel de Dieu, ce qui fait qu'un grand nombre s'y sont engagés sans y être envoyés. Ils sont entrés dans le ministère, non par amour pour Christ, ni par désir d'honorer Dieu en gagnant des âmes, mais par divers motifs : pour se faire un nom, pour se faire une position, quoiqu'ils aient déclaré le contraire en y entrant.

Ils ont trop consulté la chair et le sang, afin d'être appelés à remplir leur charge dans une église où ils avaient des amis ou des parents (Rom. 1, 8 -16).

Voici les péchés qu'il énumère comme accomplis depuis l'entrée en charge :

Ignorance de la nature et de la volonté de Dieu, manque de communion avec Lui ; défaut de sérieux dans les lectures religieuses, dans le recueillement et dans la manière de s'entretenir des choses saintes avec d'autres.

Egoïsme prépondérant, se trahissant dans tous les actes de la vie que l'on accomplit pour soi en vue de ses propres intérêts et par ses seules forces, indifférence pour les infidélités et les négligences d'autrui, aussi longtemps qu'elles peuvent contribuer à rehausser notre propre fidélité et notre zèle ; parfois même, satisfaction secrète, à la vue des péchés d'autrui,

Négligence de tous les exercices propres à nous rapprocher de Dieu ; communion très intermittente ; oubli de le glorifier dans notre manière d'être et d'agir, abandon d'autant plus constant d'un devoir que son accomplissement risque davantage d'être ignoré des hommes, prières secrètes très rares, sauf pour se préparer aux actes de culte et légèreté mise même dans ces dernières, lorsqu'elles ne sont pas oubliées ; omission des lectures secrètes de la Bible, et des exercices de dévotion personnelle comme chrétiens.

Lecture de la Sainte Ecriture, faite presque uniquement en vue de préparer la prédication, et souvent négligence de cette préparation elle-même, habitude de ne jamais réfléchir sérieusement sur notre conduite, et de ne jamais permettre à notre conscience de nous convaincre de péché de manière à ce qu'il en résulte un changement heureux ; habitude de nous tromper nous-mêmes, et de prendre l'absence de certaines fautes graves, ou l'horreur qu'elles nous inspirent naturellement, pour la preuve d'une régénération réelle et suffisante.

Vigilance mal exercée sur notre cœur, tout en ne le soumettant jamais à un examen fructueux, ce qui nous entretient dans l'ignorance de ce que nous sommes et dans l'éloignement de Dieu, absence de toute lutte contre nos péchés dominants ; facilité à nous laisser entraîner dans les péchés de notre temps et dans des fautes plus particulières, alors que nos goûts ou nos alentours militent en  leur   faveur, inconstance  et  variabilité dans notre manière de suivre les voies que Dieu nous trace, par crainte des persécutions, des risques à courir ou de l'opinion du monde.

Abandon de certains devoirs par crainte d'exciter les reproches ou la jalousie des hommes ; mépris ou crainte de l'opprobre de Christ, provenant de ce que nous ne considérons pas comme un honneur de souffrir pour son nom et de porter sa croix, insensibilité et sommeil spirituel, malgré les grands châtiments que Dieu a fait venir sur notre patrie ; peu de cas que nous avons fait de l'humiliation et du jeûne, soit pour nous-mêmes, soit au sein de nos familles, afin de mener le deuil sur les péchés de notre pays et sur les nôtres ; peu de part prise en réalité au deuil public de notre nation.

Recherche de nos aises et de notre plaisir, alors que le Seigneur nous appelle à nous humilier, indifférence pour les cruelles souffrances du peuple de Dieu dans les pays étrangers et pour les malheurs de l'Eglise en général.

Hypocrisie raffinée avec laquelle nous voudrions paraître meilleurs que nous ne sommes en réalité ; soin mis à parler le langage des personnes pieuses, plutôt qu'à imiter le travail de leur foi ; confession purement apparente de nos péchés, vide de toute repentance, prédication tendant à dénoncer l'iniquité d'autrui, mais faite sans éprouver aucune douleur pour le péché.

Abandon de la confession secrète de nos propres péchés, même de ceux que nous nous connaissons fort bien ; ou bien, négligence de réformer notre vie, nous considérant comme exonérés par le seul fait de notre confession et de quelques résolutions prises à la légère, promptitude à rechercher et à relever les fautes d'autrui, et oubli des nôtres que nous nous gardons de combattre.

Habitude de nous apprécier ou de juger notre conduite d'après la bonne estime de ceux qui nous entourent, et d'estimer les autres selon que leur caractère s'accorde ou ne s'accorde pas avec le nôtre, ne reculant point devant les épreuves, ou les affrontant même en nous confiant en nos propres forces.

N'étant nullement instruits ni rendus sages par les chutes des hommes éminents, et ne nous en affligeant point, ne priant point pour eux ; n'observant pas les châtiments ni les délivrances dont nous sommes les objets, et n'en profitant point ni pour mieux honorer Dieu, ni pour avancer notre sanctification et celle des autres ; n'éprouvant aucune humiliation pour ce corps de mort, que nous traînons et qui aggrave tous nos maux, ne gémissant point sous son poids, et ne désirant point avec ardeur d'en être délivrés.

Conversations plutôt faites pour empirer que pour améliorer l'état spirituel de ceux avec lesquels nous nous entretenons ; temps perdu à plaisanter ou à jaser d'une manière inconvenante et folle, fort malséante pour les ministres de Christ.

Œuvres chrétiennes commencées par d'autres, et venant expirer entre nos mains, faute de zèle.

Familiarité toute charnelle avec des hommes méchants, dépravés et pleins de malice, propre à les endurcir, à scandaliser le peuple de Dieu et à émousser notre influence et notre foi, abandon de la société de ceux dont le contact pourrait nous faire du bien.

Préférence pour ceux qui peuvent nous être utiles par leur position plutôt que pour ceux qui peuvent nous édifier par leur piété, négligence des occasions de faire le
bien
.

Abandon de la prière et de certains autres devoirs.

Perte de temps en délassements trop prolongés, aimant bien plus ce qui nous plaît que ce qui plaît au Seigneur.

Ne cherchant pas à encourager les jeunes gens qui se vouent au saint ministère ; conversant le dimanche de choses ordinaires, comme si ce jour n'était pas mis à part.

Négligeant comme au-dessus de notre dignité, tout avertissement chrétien provenant de quelque membre de notre troupeau, ou de qui que ce soit, et ayant honte de recevoir la lumière ou l'instruction de la part d'un simple croyant.

Eprouvant de l'antipathie et du ressentiment contre quiconque nous parle franchement, ou nous adresse des reproches, et n'agissant pas nous-mêmes avec cette franchise envers les autres, qui en seraient, du reste, reconnaissants.

Ne nous faisant pas un devoir d'user de patience et de nous donner de la peine avec les ignorants et les profanes, pour leur faire du bien ; ne menant point le deuil sur l'endurcissement, l'incrédulité et les errements funestes du troupeau confié à notre garde, sans support pour les infirmités des faibles, les traitant avec une rudesse immotivée, au lieu de nous étudier à les retirer de leur péché par la charité de nos efforts.

N'usant point de la liberté chrétienne avec nos collègues et passant notre temps avec eux plutôt en conversation amicales qu'en méditations édifiantes ; ne reprenant point ceux de nos amis qui s'engagent dans une mauvaise voie ; sans réserve pour exposer aux autres nos propres affaires.

Ne priant point pour ceux qui sont d'un avis contraire, mais nous éloignant d'eux et les tenant à distance, étant bien plus enclins à parler d'eux qu'à leur parler, et bien moins de parler d'eux au Seigneur ; ne sentant nullement peser sur nous les chutes et les péchés d'autrui, mais en profitant plutôt pour nous justifier, en parlant aux hommes, en plaisantant avec eux, au lieu d'en avoir compassion.

Ne prenant aucun soin pour conduire pieusement l'intérieur de notre maison et n'ayant point à cœur de pouvoir offrir notre famille en modèle ; parlant et agissant avec colère et précipitation au sein de notre famille et ailleurs.

Envieux, mondains, pleins d'un désir déréglé des choses de cette vie, et par conséquence oublieux des devoirs de notre vocation, notre temps étant consacré au profit de nos intérêts terrestres.

Manquant d'hospitalité et de charité envers les membres de Christ ; redoutant de voir la piété fleurir parmi le peuple et parfois travaillant plutôt à arrêter l'œuvre de l'Esprit dans le troupeau, parce que certaines personnes s'en formalisent et haïssent le peuple de Dieu (2 Cor. 1. 6 : 12, 14, 24)."

Après ces reproches, le document passe plus particulièrement en revue les devoirs du ministère et continue par ces paroles solennelles :

Ne conservant point ce premier zèle pour tous les devoirs pastoraux qui avaient signalé notre début de carrière, négligence coupable des études, des lectures et de tout genre de préparation ; ou nous contentant d'une préparation purement littéraire et faite des livres ; nous faisant de ces livres une idole, un secours facile autant qu'infructueux, parce qu'il nous détourne de la prière et de la communion avec Dieu.

Nous confiant uniquement dans nos dons naturels, dans notre intelligence et dans notre travail de préparation, et par là appelant la malédiction de Dieu sur les discours les mieux travaillés et les plus savamment composés, négligeant dans tout cela d'employer la force et la vertu de Christ qui seules peuvent nous donner de prêcher avec autorité et avec l'efficace du Saint Esprit.

Demandant le secours de Dieu bien plus pour le porteur du message que pour le message lui-même, nous souciant peu de la conversion du monde, pourvu que nous puissions accomplir notre tâche avec un certain succès ; ne demandant pas à Dieu de vivifier nos paroles pour le bien des auditeurs.

Ne demandant pas après la prédication que la pluie de la première et de la dernière saison l'accompagne, et que le Seigneur veuille écrire nos paroles dans le cœur de ceux qui les ont entendues ; tantôt négligeant d'avertir le peuple des péchés et des pièges qui se présentent dans l'accomplissement des devoirs des citoyens, tantôt parlant beaucoup trop et sans aucune nécessité des affaires et des événements publics.

Négligence coupable, surtout, maladresse impardonnable que l'on apporte à exposer l'excellence, l'urgence et l'utilité de Jésus-Christ et de la nouvelle alliance, choses sur lesquelles devraient se concentrer toute l'attention et tous les efforts du prédicateur.

Habitude de parler de Christ plutôt par ouï-dire que par expérience personnelle ou par amour pour lui ; prêchant d'une manière souvent trop légale, manquant de pondération dans la manière d'exposer la vérité.

Recherchant avec ardeur tout ce qui est nouveau, si bien que les choses les plus essentielles de la religion sont celles qui occupent le moins de place, ne prêchant pas Christ dans toute la simplicité de l'Evangile ; ne nous présentant pas nous-mêmes comme les serviteurs du peuple pour l'amour du Seigneur.

Prêchant Christ moins en vue de le faire connaître, qu'en vue de faire croire que nous le connaissons, menaçant le peuple de son départ et de son abandon sans en avoir le cœur brisé et sans nous précipiter à ses genoux pour le retenir au milieu de lui.

Prêchant sans amour ni compassion à ceux qui sont en danger de périr ; prêchant contre les péchés de la nation dans un but qui ne devrait jamais être le nôtre, moins pour gagner les âmes et pour retirer les hommes de leurs péchés, que parce qu'il nous importe de dire notre mot sur ce sujet.

Usant de paroles amères, au lieu d'user de zèle, lorsque nous parlons contre les personnes pleines de malice, contre les sectaires ou contre les gens scandaleux, et manquant de fidélité à cet égard.

Ne cherchant point à connaître les besoins ni l'état spirituel des âmes, afin de pouvoir leur parler en conséquence ; n'en tenant pas un registre quoique nous comprenions combien ce moyen serait utile.

Ne recherchant pas ce qui peut contribuer le plus à l'édification, manquant de tact pour appliquer la Parole aux besoins divers des auditeurs, cherchant à mettre le dogme en lumière, bien plus qu'à le faire pénétrer dans le cœur.

Parlant sans solennité ni respect des choses de Dieu ; préférant les textes sur lesquels nous trouvons quelque chose à dire, au lieu de les choisir suivant les moments ou suivant les besoins du troupeau, prêchant souvent les mêmes choses pour nous éviter la peine d'en préparer d'autres ; lisant, prêchant et priant de manière à nous éloigner plutôt qu'à nous rapprocher de Dieu.

Trop facilement contents de la manière dont nous accomplissons nos devoirs, et imposant silence au moyen de diverses excuses aux justes reproches de notre conscience.

Soignant minutieusement notre corps et perdant beaucoup de temps en inutilités.

Faisant trop grand cas de l'approbation et de la bonne opinion d'autrui, gonflés d'orgueil quand elles nous sont favorables, vexés et mécontents quand elles nous sont contraires.

Annonçant timidement le message de Dieu et laissant mourir sans les avertir ceux qui persistent dans leurs péchés ; remplissant nos devoirs plutôt en vue d'éviter la censure qu'en vue de l'approbation du Seigneur.

N'annonçant pas tout le conseil de Dieu, et surtout, n'osant pas rendre témoignage à la vérité dans les temps de défection, ne cherchant pas à nous appliquer les vérités que nous prêchons ou qu'on nous prêche ; prêchant la plupart du temps comme si nous n'avions rien à prendre dans ce que nous disons.

Ne nous réjouissant point de la conversion des pécheurs, et plutôt satisfaits en général quand l'œuvre du Seigneur languit, comme si cette langueur nous convenait mieux, craignant que la vie ne se propage trop, de peur que nous ne soyons appelés à déployer une activité plus grande ou à baisser dans l'estime du troupeau, mettant parfois dans la prédication comme la vie pratique la piété au rabais.

Prêchant plutôt en vue des hommes qu'en présence de Dieu ; et pour preuve, nous préparant avec tout autrement de soin quand nous savons devoir être entendus par quelqu'un dont nous désirons l'approbation.

Ne prenant pas notre ministère au sérieux comme une œuvre dont nous aurons à rendre compte point par point, ce qui engendre beaucoup de nonchalance et de paresse.

Agissant plus souvent officiellement qu'avec la conscience de notre responsabilité, plutôt pour remplir une fonction que pour remporter l'approbation de notre conscience (Phil. 1 3 - 8) :

" Négligents, paresseux et partiaux dans nos visites aux malades ; s'ils sont pauvres, n'y allant qu'une fois, et quand on nous appelle ; s'ils sont riches ou dans une position plus relevée, y allant plus souvent et sans y être appelés.

Ne sachant dire un mot à propos à ceux qui sont éprouvés et laissant notre conscience demeurer étrangère à nos paroles ; n'ayant rien de consolant à dire à ceux qui ont perdu un mari, une femme, un ami ou un parent, ou encore leur fortune ; ne sachant pas leur indiquer le moyen de profiter de ces épreuves pour leur bien spirituel.

Incapables de parler convenablement aux mourants, hésitant à visiter ceux qui n'ont aucune piété, n'allant pas visiter de maison en maison, en dehors des cas de maladies ou d'affliction, et ne priant pas avec ceux que nous visitons (2 Tim. 4. 1 - 5)

Paresseux et négligents pour la catéchisation ; ne nous y préparant pas sérieusement et ne luttant pas avec Dieu pour obtenir sa bénédiction, parce que pour c'est pour nous chose tout ordinaire et que nous regardons comme comparativement facile à faire, de là, habitude coupable de prendre le nom de Dieu en vain qui tend à détruire l'édification ; regardant ce travail comme au-dessous de nous, et ne daignant pas étudier la meilleure manière d'instruire le peuple du Seigneur

Procédant d'une manière partiale dans nos instructions religieuses ; laissant les riches et les instruits de côté, comme s'ils n'avaient pas autant besoin d'instruction que les autres, et ne nous donnant pas la peine de nous mettre à la portée des ignorants et de les suivre de près, mais les reprenant avec aigreur (Gal. 4. 11 - 20).

Ces confessions étaient sévères et solennelles ; elles procédaient évidemment d'hommes qui comprenaient les devoirs de leurs ministères et qui désiraient se rendre approuvés de Dieu, afin de pouvoir lui en rendre compte avec joie et non avec tristesse.

Soyons, comme eux, sincères devant Dieu et impitoyables envers nous-mêmes, et confessons nos péchés avec une égale droiture.

1 - Josué POOLE

Né en 1826, dans une petite ville du Yorkshire, il a aujourd’hui quarante-n...

2 - Gipsy SMITH

Rodney Gipsy SMITH - Sa vie et son oeuvre La vie de Gipsy Smith est une his...

3 - Petites histoires édifiantes

Jugements téméraires On connait l’histoire du vieux prêtre de Silo, en des...

4 - Petites histoires édifiantes pour l'éc...

Education familiale D’un article de l’Education Nationale, qui fait cette c...

5 - Confession d'un Pasteur

Chers Frères, Dieu m’a permis de retrouver dans un livre de 1840, cette con...

6 - La conversion de Marius

- A boire ! A boire ! On a soif quand on vient du fond ! C'était un bel hom...

7 - Entretiens avec des hommes de foi

Georges MULLER Par une chaude journée d'été, je gravissais lentement le che...

8 - Judson, vœux de nouvel an

Voeux de nouvel an et leur accomplissement Enfance et préparation "Adoniram...

9 - Le réveil

Introduction La question est de savoir si l'on ne pourrait pas présenter ce...

10 - Le réveil en Angleterre par Moody et...

Depuis deux ans, tout le public religieux suit avec intérêt le beau réveil...

11 - Une délivrance miraculeuse

Une délivrance miraculeuse Dieu n'est jamais la cause d'aucune de nos décep...

12 - La Bible, Parole de Dieu

Toute l'Ecriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour instru...

13 - Les dix commandements

1 – Je suis l’Eternel ton Dieu - Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma fa...

14 - Gustave ISELY, un homme de Dieu

Gustave Isely a été commissaire de l'Armée du Salut en France pendant quelq...

15 - La couronne d'épines

Le sang de mes blessures, Ma couronne de Roi, Toutes ces meurtissures, Comp...

16 - Le réveil aujourd'hui

Dans notre recherche du Réveil, Dieu nous a conduits depuis plus de 5 ans a...

17 - Un lys parmi les épines

Un ami de la Société américaine des traités lui fit la communication suivan...

18 - Georges KING, le boxeur

Témoignage du boxeur Georges King A la demande de plusieurs chrétiens et po...

19 - Jésus, le divin berger

L'Eternel est mon berger : je ne manquerai de rien, Il me fait reposer dans...

20 - Histoires du passé pour les enfants d...

Timmy … et sa dîme Timmy est un petit garçon américain qui vit avec son pap...