Dieu s'intéresse-t-il à nos habits ?

Le vêtement - l'habit - Symbole pédagogique de Dieu

Si l’on observe l’évolution de la mode vestimentaire depuis 20 à 30 ans, on constate qu’elle ne cesse de s’éloigner de plus en plus des principes de dignité, de décence, de pudeur et de modestie évoqués dans la Bible et résumés dans 1 Timothée 2 : 9.

Cela est particulièrement évident dans la tenue féminine.

On peut même parler d’avilissement de la femme.

Il est connu que la mode exerce une fascination particulière sur la femme et malheureusement beaucoup de chrétiennes n’échappent pas à cette règle.

Le Seigneur a donné à nos sœurs la sainte vocation d’être le symbole vivant de l’Eglise, qui est son épouse.

Et des passages comme ceux d’Ephésiens 5 : 27 et Apocalypse 19 : 7 à 9, il ressort clairement que leur tenue digne et décente est un symbole de la sanctification de l’Eglise, cette sanctification " sans laquelle nul ne verra le Seigneur " (Hébreux 12 : 14).

Or, en se conformant à une mode avilissante plutôt qu’aux principes bibliques, la femme chrétienne détruit ce symbole.

Elle peut même devenir plutôt l’image " des souillures du monde " (Jacques 1 : 27), dont les chrétiens doivent se préserver.

Pour justifier l’adoption des modes du jour, souvent pur produit d’une " génération perverse " (Actes 2 : 20), on fait valoir que " l’Eternel regarde au cœur ".

On sort cette parole de son contexte, ce qui est un piège.

Si l’on considère les nombreuses mentions concernant les vêtements, tout au long de la Bible, il faut se poser la question : Pourquoi cette insistance sur la question vestimentaire ?

Lorsque nos premiers parents ont péché en désobéissant aux ordres de Dieu, ils se sont retrouvés nus et aussitôt ils ont éprouvé le besoin de se vêtir (Genèse 3 : 7).

Ils le firent selon leur " mode " en confectionnant des ceintures de feuilles de figuier.

C’était des vêtements du genre " mini ", vu le matériau utilisé.

Le mot traduit par " ceintures " désigne un vêtement plutôt sommaire.

Puis, Dieu leur fit des vêtements de peau et les en revêtit, ce qui revient à dire qu’il a recouvert tout leur corps (Genèse 3 : 21).

Pour ce faire, il a fallu sacrifier une bête.

Ainsi, ces vêtements étaient " sanctifiés " par le sang versé, première allusion prophétique au sang de Jésus, l’Agneau de Dieu, répandu pour nous sanctifier, c'est-à-dire nous consacrer à Dieu en nous séparant du monde et de ses péchés.

C’est donc dès le commencement que nous rencontrons dans la Bible ce fil conducteur : L’habit, symbole de la sanctification, c'est-à-dire de notre mise à part pour Dieu.

Au Sinaï, pour recevoir la Loi du Dieu trois fois saint, les Israélites devaient être sanctifiés.

Dieu dit à Moïse : " Va vers le peuple ; sanctifie-les aujourd’hui et demain, qu’ils lavent leurs vêtements " (Exode 19 : 10).

Dieu a donné des instructions précises concernant les vêtements des sacrificateurs, ne pas en tenir compte pouvait signifier leur mort (Exode 28 : 40 à 43).

Ces vêtements étaient beaux et dignes et les faisaient reconnaître comme étant mis à part pour servir Dieu.

N’oublions donc pas que nous aussi, nous sommes sacrificateurs de la Nouvelle Alliance (Apocalypse 1 : 6 et 1 Pierre 2 : 9).

Les vêtements du souverain sacrificateur étaient d’une beauté, d’une dignité reflétant la gloire céleste, la gloire de Christ lui-même, qui est notre souverain sacrificateur dans le ciel (Hébreux 6 : 10 et 10 : 21).

Nous comprenons alors l’exhortation de Romains 13 : 14 : " Revêtez-vous du Seigneur Jésus-Christ ! "

C’est le point culminant de la sanctification.

Dans le prophète Sophonie (1 : 8), où il est question du jugement de toute la terre, nous lisons : " Je châtierai tous ceux qui portent des habits étrangers ".

Dans la Bible, l’habit est un symbole révélateur des aspects profonds de nos pensées et de notre vie ; il s’agit donc ici d’habits manifestant l’attachement à des coutumes étrangères et aux mœurs impures des païens étrangers à la vie du peuple de Dieu.

C’est dans ce sens que Jésus parle de l’homme qui fut jeté dehors parce qu’il n’avait pas revêtu un habit de noces (Matthieu 22 : 11).

Aujourd’hui, on peut y voir l’attachement à l’érotisme exacerbé qui caractérise la culture néopaïenne de notre époque (habits genre mini ou moulants).

La mode unisexe marque l’attachement aux conceptions anti-bibliques du Nouvel Age (l’être androgyne, à la fois homme et femme) et du féminisme agressif moderne (égalitarisme et concurrence entre les deux sexes, rejet de la complémentarité de l’homme et de la femme).

Nous connaissons la règle donnée par Dieu dans Deutéronome 22 : 5 : " Une femme ne portera point un habillement d’homme, et un homme ne mettra pas des vêtements de femme ; car quiconque fait ces choses est en abomination à l’Eternel. "

En opposition aux conceptions païennes, cette règle révèle l’intention profonde de Dieu dans la création de l’homme et de la femme.

Il les a créés différents, mais complémentaires.

Chacun a des qualités que l’autre n’a pas.

Ainsi, chacun des deux peut se donner à l’autre selon ses qualités, lui donner ce que l’autre n’a pas, pour le bonifier.

C’est la manifestation de l’amour " agapé " à l’image du Dieu d’amour (1 Jean 4 : 8), qui a donné à l’humanité ce qu’il avait de meilleur, son Fils bien-aimé (Colossiens 1 : 13).

Dans sa sage pédagogie, le Créateur veut que la différence entre l’homme et la femme s’exprime aussi dans leurs habits, pour ne jamais oublier cette vocation qui est la leur.

On comprend dès lors que l’égalitarisme unisexe, qui se manifeste dans la manière de s’habiller est une " abomination ", c'est-à-dire quelque chose que Dieu a en horreur.

Le chapitre 2 de la première épître de Timothée a trait à l’évangélisation du monde : " Dieu veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité " (verset 6).

Remarquons que c’est dans ce contexte que nous trouvons la recommandation que " les femmes soient vêtues avec décence, dignité, pudeur et modestie " et que les hommes élèvent " des mains pures ".

La robe de noce de l’épouse du Christ (Apocalypse 19 : 7 à 9) est un vêtement de " fin lin, éclatant, pur. "

Elle nous parle de cette " Eglise glorieuse, sans tache, ni ride, mais sainte et irrépréhensible " dont il est question dans Ephésiens 5 : 27.

Il me semble évident qu’il ne nous est pas possible d’être des symboles vivants de l’Epouse du Christ, sanctifiée et glorieuse, en étant vêtus d’habits symboles de la souillure et de la révolte d’un monde impie.

La " carte postale " de Jude, la dernière des épîtres, est aussi une lettre pour les derniers temps.

Le mot d’ordre qu’elle nous laisse est de " combattre pour la foi transmise aux saints une fois pour toutes. "

Le dernier ordre qu’elle nous donne, c’est de " haïr le vêtement souillé par la chair " (verset 23).

Or, ce que la Bible appelle " chair " est caractérisé par la rébellion et la désobéissance aux commandements divins, ainsi qu’un esprit d’impureté et d’indécence.

Beaucoup de vêtements que nous offre la mode actuelle reflètent cela.

Il convient donc de s’en abstenir.

Comme fils et filles de Dieu, achevons notre sanctification dans la crainte de Dieu, en nous purifiant de " toute souillure de la chair et de l’esprit " (2 Corinthiens 6 : 17 à 7 : 1).

Puisse cette réflexion, il est vrai très sommaire, nous faire comprendre que nous devons rester sur nos gardes et ne pas nous laisser fasciner par la mode contemporaine, souvent le produit de cette " génération perverse et méchante " dont nous sommes appelés à nous sauver afin de
" briller comme des flambeaux portant la parole de vie " (Actes 2 : 40 et Philippiens 2 : 15).

Soyons donc sobres et souvenons-nous que dans le domaine du vêtement, comme dans tous les domaines de la vie, il s’agit de " discerner quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable (à Dieu) et parfait " (Romains 12 : 2 et 1 Corinthiens 10 : 31).

Marc HUSSER

Les arts martiaux

Exerce-toi à rester spirituellement en forme, entraîne-toi à une conduite qui corresponde à ta foi.

" L’exercice physique a son utilité, certes, mais elle est limitée."

" S’exercer spirituellement par contre, s’entraîner à vivre sa foi, voilà qui est l’essentiel. "

" Cela te sera utile à tout et en toutes circonstances. "

" En effet, la vraie piété détient à la fois les promesses pour la vie présente et pour la vie future " (1 Timothée 4 : 8).

Ayant pratiqué dans ma vie les arts martiaux japonais pendant plus de six ans, ainsi que des disciplines telles que le t’aï ki ou t’aï chi chinois, le zen et le yoga royal, j’ai le devoir – en tant que chrétien, serviteur de Jésus-Christ -, de prévenir ceux qui me liront que les arts martiaux japonais et les pratiques connexes (comme les yogas et les zens) sont contraires à la Parole de Dieu, interdites même !

Je ne compris pas toute de suite la portée lointaine de ces prétendus " sports " orientaux ; je ne savais pas qu’ils étaient tous imprégnés de philosophies religieuses.

Après avoir commencé par le judo, pendant quelques temps, je fus intéressé par l’aikïdo, " sport " ou discipline plus subtil, plus mystérieux, plus intellectuel, en quelque sorte.

Au début, je pensais – avec bien d’autres – qu’il s’agissait de self-défense, de pratique de combats en cas d’attaques inattendues, etc.….

Attention : Idolâtrie !

J’affirme devant Dieu que tous les " sports " martiaux – tels le judo, l’aikïdo, le karaté, le yoga, le zen et autres exercices - dérivent directement de l’hindouisme et du bouddhisme, et sont, pour la plupart, la mise en pratique des religions orientales.

Inutile de dire que ces choses sont interdites par la Parole de Dieu – et que pratiquer ces techniques revient à de l’idolâtrie pure et simple.

Tu as sûrement lu, une fois dans ta vie, des articles élogieux sur le judo ou un autre " art " ?

Sais-tu qu’il existe, en Belgique – et dans tous les pays du monde – des fédérations de yogas, ainsi que des clubs reconnus d’arts martiaux ?

Je pense, à vous, jeunes, souvent sollicités (par des maîtres – ignorants de tels dangers) à pratiquer un sport martial.

C’est un gars, ancienne ceinture noire, qui vous parle !

Jeune, ne t’adonne pas inconsidérément à un tel " sport ", car celui-ci risque de laisser des marques inspirées par des philosophies, mystères et religions orientales, que je qualifie de diaboliques !

Satan utilise ce moyen pour nous détourner de Jésus-Christ.

L’exotisme, des pouvoirs surnaturels, séduisent l’humanité.

Des films (comme ceux du Kung-Fu, de Bruce Lee) exercent un attrait considérable.

Et tu t’identifies à eux comme un être puissant, invincible !

(C’est frappant de voir un journal de bandes dessinées communiste, " PIF " voulant détrôner toute divinité – voir " Rahan " – mettre en scène le " Docteur Justice ", Karatéka génial inspiré par son " maître ").

Je te signale aussi que tous ces prétendus sports sont en fait des voies vers les dieux du Panthéon oriental, les démons et les idoles païens.

La syllabe " DO " qui termine : Judo ou aïkido, karatédo, budo, kendo, - veut dire : " VOIE ".

En japonais, " VOIE " = " DO ".

C’est clair pour tous, j’espère.

Tu auras bien sûr compris que ces voies ne sont pas la voie de Jésus !

Jésus a dit : " Je suis le chemin, la vérité et la vie ; nul ne vient au Père que par moi " (Jean 14 : 6).

Pièges empoisonnés

Ne crois pas tout ce qu’on te raconte au sujet de ces " sports martiaux " : Ce sont des mensonges, des leurres, des pièges empoisonnés !

Mais la vérité est qu’il faut des dizaines d’années d’efforts continus et réguliers, pour être à même de se défendre de la sorte, avec la rapidité de l’éclair.

Après avoir reçu le grade de " ceinture noire " en aïkido, je continuai d’approfondir ces voies avec une littérature abondante : Religions orientales, zen, bouddhisme, macrobiotique, confucianisme, shintoïsme, etc.….

Ces études me conduisirent, avec étonnement, vers l’hindouisme et ses ramifications.

Je découvris une foule de choses, qui ne cessaient de m’intéresser au plus haut point – ainsi que mes compagnons de salle.

Nos maîtres ne se faisaient pas faute, non plus, de nous mettre l’eau à la bouche, par des récits de maîtres en la matière et leurs mystérieux pouvoirs, acquis par des années de pratiques consciencieuses.

Une toile aux multiples ramifications

Je fus encore plus étonné lorsque je m’aperçus qu’un lien sous-jacent reliait, en fait, ces disciplines orientales entre elles.

Par exemple, les arts martiaux japonais étaient issus, - par la philosophie religieuse bouddhiste et shintoïste – de la Chine ancestrale, qui elle-même reçut le bouddhisme et une bonne partie de sa philosophie des Indes et du Tibet.

Partis des livres sacrés de l’hindouisme – comme les védas – la théorie religieuse de l’énergie cosmique, - qui sous-tend l’univers et qui est, d’après les hindous, la force et celle de Dieu – (déismes), a donné toutes les formes de yogas en Inde et ses nombreux exercices afin de perfectionner et d’atteindre … peut-être le paradis (le Nirvana !).

Ces théories se sont transmises vers la Chine et ont considérablement influencé les philosophies établies en donnant, à leur tour, la médecine chinoise de l’acupuncture – basée sur les courants d’énergie cosmique qui traversent l’homme.

De même, cette médecine et cette philosophie indiennes sont passées plus loin, vers le Japon, et ont inspiré nos industrieux voisins japonais, et donné une forme particulière de civilisation basée sur le bouddhisme, le confucianisme et le shintoïsme… à la manière japonaise.

Les arts martiaux japonais, dans ce sens, ont également hérité des pratiques chinoises et indiennes – pratiques qui se sont greffées sur une mentalité japonaise empreinte de superstitions, de magies et de sorcellerie !

Tu entendras, par exemple, que le judo et les autres disciplines assimilées sont des remèdes contre la timidité, la nervosité ; qu’elles font d’un individu, un être en harmonie avec la nature, une femme sûre d’elle et un homme deux fois viril.

Tu entendras dire aussi que ces " sports " de combat et de défense, diminuent, chez l’enfant comme chez l’homme, toute idée de violence.

Je peux te dire, en connaissance de cause, que certaines pratiques relèvent de la plus horrible cruauté, jamais imaginée par l’homme !

Tu sais fort bien que les Orientaux ont élaboré des moyens de torture d’un raffinement qui dépasse, de loin, toute imagination…. ; même celle des tortionnaires nazis.

C'est te dire à quel démonisme est ainsi réduit l’homme qui se tourne vers ces pratiques.

Pouvoirs surnaturels

Nous étions tous passionnés par les découvertes de pratiques secrètes, des " points de mort " qu’il suffisait de toucher d’une certaine manière pour provoquer une mort immédiate ou la folie à plus long terme !

Nous parlions aussi des livres que nous avions lus avec nos professeurs, - eux aussi très intéressés par la manière de vivre et de comprendre l’univers des Orientaux.

Nous avions tous le secret espoir d’avoir un jour les pouvoirs des " grands maîtres " de " l’art ".

Par exemple : Voir à travers les murs, lire les pensées des autres et les diriger, posséder le pouvoir de disparaître, de lévitation, etc...

La vraie voie (" do ")

Il y aurait encore bien des choses à dire sur ces sujets.

Mais, je laisse chacun faire un petit examen de conscience personnel – afin d’éveiller en lui – non des pouvoirs occultes, mais une conscience droite, devant Dieu, une âme pleine d’amour pour le Sauveur Jésus-Christ et de respect pour la Parole de Dieu.

Il est grand temps de nous ressaisir et de lutter, ensemble, contre cette infiltration païenne, très nocive, dans la mentalité de nos Eglises !

Tu te rendras compte de la situation inquiétante, existant en ce domaine, lorsque tu sauras que le Concile Vatican II a accepté de ces religions et de ces philosophies " tout ce qui était saint en elles ".

Tu comprendras, alors, que l’heure n’est plus aux rêveries.

L’homme a depuis toujours cherché des voies de salut où il aurait tout le loisir de satisfaire ses péchés, ses vices et sa convoitise, son orgueil.

L’homme en est encore à essayer de se sauver par lui-même, par ses propres mérites, par ses bonnes œuvres et par sa conception du monde.

Mais il n’en est pas ainsi.

Jésus est le seul chemin, et c’est par grâce que nous sommes sauvés.

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