Quelques conseils aux mères chrétiennes

Leçons de foi

Je me souviens d’un incident agréable resté vivant dans ma mémoire.

Noël approchait et une de mes petites filles dit à son père :

- Papa, comment pourrais-je gagner un peu d’argent pour faire des cadeaux de Noël ?

- Je n’en sais rien, chérie, répondit mon mari, mais quand j’ai besoin d’argent, je le demande à Dieu.

Cet après-midi-là, comme il faisait une visite à une de ses tantes âgées, celle-ci lui dit en la quittant :

- Tiens, voilà vingt francs – distribue-les à tes enfants.

Lorsqu’il rentra chez lui, la nichée était au lit, mais il monta dans leur chambre et dit à la fillette en question :

- Te souviens-tu, mignonne, de notre conversation d’aujourd’hui, au sujet de l’argent ?

- Oh ! oui, papa.

- En as-tu demandé à Dieu ?

- Oui papa.

- Eh ! bien, Il t’a répondu. J’ai vu tante Marie aujourd’hui et elle m’a donné 20 francs pour vous tous. Voici votre part à chacun.

Tous les enfants poussèrent des cris de joie et le père en refermant la porte de la chambre entendit l’un d’eux qui disait : N’est-ce pas que Dieu est bon de répondre si vite ? et toute la bande sauta hors du lit pour Le remercier.

Qu’elle leçon de foi pour ces jeunes vies, leçon qu’elles eurent à mettre en pratique si souvent dans la suite !

Confiance et sympathie

A mesure que l’intelligence de l’enfant se développe, ne riez pas de ses petites sottises ou ne répétez pas devant lui les choses amusantes qu’il a dites.

Cela engendre la vanité et la préoccupation de soi.

C’est cependant une erreur que les parents commettent très fréquemment.

Ne traitez jamais à la légère le chagrin d’un enfant ou aucune de ses petites épreuves.

Surtout ne les tournez pas en ridicule. Cela tuerait à tout jamais la confiance qu’il a en vous et les enfants sont extrêmement sensibles à la raillerie.

Que vos enfants sachent qu’ils peuvent vous parler de tout ce qui entre dans leur petite tête.

Il leur faut quand même demander à quelqu’un, et qui pourrait leur répondre plus sagement que leur mère ? Ce sera leur meilleure sauvegarde contre le péché !

Voulez-vous que vos enfants vous aiment ?

Voulez-vous la clé qui ouvrira le recoin le plus intime de leur nature ?

Alors, sympathisez avec eux, toujours.

Lorsqu’ils viennent vous montrer quelque nouveau trésor, admirez-le, ne le dédaignez pas.

Ne dites jamais : " Tu me déranges, " quand ils vous demandent de défaire un nœud difficile ou que deux et deux refusent obstinément de faire quatre sur leurs petites ardoises.

Les nœuds et les petites difficultés ne sont que les précurseurs d’ennuis plus grands et d’épreuves plus profondes que les parents pourraient plus tard demander en vain, de partager.

Ma mère nous disait souvent : " Quand vous êtes de mauvaise humeur avec les enfants parce qu’ils sont lents à apprendre, essayez pour un instant d’écrire avec votre main gauche ; vous verrez combien c’est difficile. Souvenez-vous alors que pour les enfants, tout est " main gauche. "

En effet, nous oublions souvent que nous avons été enfants, nous aussi.

C’est une sécurité pour eux de penser qu’il y a toujours une oreille, prête à écouter le récit de toutes leurs joies, et une épaule maternelle pour leurs petites têtes lasses.

Respectez leurs droits et que frères et sœurs respectent mutuellement leurs petites possessions personnelles. Ceci est bon pour leur éducation morale…

Ne pensez pas que vous pouvez impunément dire devant eux des choses répréhensibles ou commettre des actes injustes.

Les enfants sont les juges les plus clairvoyants et les plus justes que l’on puisse trouver.

Par-dessus tout, laissez-leur voir que vous les aimez, " Si tu m’aimes, tu ne feras pas ceci ou cela " a été le tournant dans la vie de bien des enfants.

Ne dites pas à un enfant qu’il est " méchant " lorsqu’il est seulement drôle ou étourdi.

Il faut que " méchant " veuille réellement dire méchant et que ce mot soit accompagné d’un regard très sérieux et d’une attitude qui impressionne.

Si en courant, un enfant se heurte contre une table, ou une chaise, consolez-le de suite mais ne dites pas : " Méchante table, bats-la ", mais dites-lui plutôt : " Pauvre table ! fais-lui une caresse ! "

Une conduite contraire lui enseignerait à se montrer vindicatif et injustement rancunier.

Les bases de la vie religieuse

Une des premières leçons à enseigner, c’est l’obéissance.

Un enfant obéissant trouvera plus facile de servir Dieu.

C’est là la seule base forte et rationnelle de la vie religieuse.

Ensuite, il y a le commandement : " Honore ton père et ta mère. "

Il y a une période dans la vie humaine où le seul Dieu que l’enfant connaisse, ce sont le père et la mère.

Encore incapable de saisir l’idée de Déité, l’enfant ne peut concevoir Dieu qu’à travers ses parents.

Et s’il apprend à les aimer et à les honorer, lorsque plus tard, il concevra l’idée de Déité, il lui sera comparativement facile de transférer l’obéissance absolue et l’amour filial, de ses parents à Dieu, du père de la terre au Père qui est dans les cieux.

Une des raisons du peu de piété qui existe, dans bien des familles soi-disant chrétiennes, c’est l’absence de discipline et d’obéissance.

Les enfants non seulement ne reconnaissent plus l’autorité des parents, mais beaucoup n’en ont jamais eu l’idée.

C’est là un état de choses honteux. S’il n’y a pas d’obéissance dans la famille, il n’y en aura pas non plus au point de vue religieux.

Si vous dites " Ne touche pas " et que l’enfant touche l’objet de nouveau en vous regardant bien en face, prenez un air très grave et peiné, puis retenez sa main dans la vôtre et dites-lui qu’il est réellement " méchant ".

Quelquefois, on peut enseigner l’obéissance tout en jouant.

Si vous appelez l’enfant, insistez pour qu’il vienne de suite.

S’il vient volontiers, prenez-le dans vos bras et embrassez-le comme récompense ; car il vaut mieux régner par l’amour que par la crainte, quoiqu’on puisse combiner les deux.

Si c’est un très jeune enfant, apprenant juste à marcher et à obéir, essayez de le persuader par des caresses avant de le punir, s’il ne vient pas.

Combien d’accidents seraient évités si les enfants obéissaient de suite quand on leur dit de ne pas toucher telle ou telle chose, de ne pas s’approcher du feu ou de ne pas se pencher à une fenêtre !

La générosité doit être enseignée de bonne heure.

Que les enfants partagent leurs bonbons et leurs jouets avec d’autres. Il faut aussi leur interdire de demander à table, car ils transportent cette habitude chez les autres, et mettent ainsi leurs parents dans le plus grand embarras.

Le respect pour leurs aînés et surtout pour les vieillards doit leur être inculqué depuis leur plus tendre enfance, de même que la politesse entre frères et sœurs et envers tout le monde, serviteurs compris.

On ne peut assez blâmer les mères qui tombent dans le favoritisme.

Les autres ont très vite fait de s’en apercevoir et la mère qui voit ce sentiment surgir en elle doit s’en débarrasser de suite car elle se trahirait fatalement.

Quelquefois, ce n’est qu’un regard plus tendre ou un ton de voix plus aimant vis-à-vis d’un des enfants, mais les autres le remarqueront bientôt et la jalousie et bien des maux en seront le résultat.

Aux jours de l’enfance

" Instruis l’enfant selon la voie qu’il doit suivre ; et quand il sera vieux, il ne s’en détournera pas. "

Ainsi disait Salomon ; et, arrivée à l’âge de 70 ans, je suis plus que convaincue de cette vérité.

Prenez une plante, un arbre ; s’ils sont soignés selon les règles, ils se développeront normalement.

De même, si un enfant est entouré, instruit, éduqué soigneusement, il répondra à ce que nous attendons de lui. Nos prières et nos labeurs n’auront pas été vains.

Les parents chrétiens ont le droit de s’emparer des promesses de Dieu qui déclare que " la postérité du juste sera bénie ".

Cependant, si nous voulons que les promesses de Dieu s’accomplissent, il nous faut réclamer et recevoir leur réalisation par la foi, car ces promesses sont toutes à la gloire de Dieu par nous.

Que les mères chrétiennes prennent à cœur l’histoire d’Héli, le sacrificateur (1 Samuel, chapitre 2) dont les fils " commirent des choses honteuses, et il ne les réprimanda pas. "

Une tâche ardue, en vérité, est confiée à la mère, mais quelle riche récompense à tous ses efforts !

En effet, en formant le caractère de son enfant, ce dernier, à son tour, à mesure qu’il grandit, influencera une autre génération, et ainsi de suite jusque dans l’éternité.

Est-ce que nos enfants auront à nous bénir de ce que nous aurons incliné leurs cœurs vers tout ce qui est bien et désirable, ou vivront-ils pour maudire un jour notre faiblesse et notre indulgence coupables ?

Dans l’éducation des enfants, nous avons Dieu près de nous, si nous avons le désir qu’ils le glorifient et jouissent des privilèges accordés aux enfants de Dieu.

C’est pourquoi, jeune mère, aussitôt que vous savez qu’une autre vie doit vous être confiée, priez pour qu’elle soit à Lui.

Souvenez-vous qu’à ce moment-là, vos pensées, vos actions concourent à l’impressionner, à influencer une âme pour l’éternité.

Priez beaucoup pour son salut et pour que Dieu fasse son éducation, quoique vous en soyez, vous, le faible instrument.

Soyons comme Anne, mère de Samuel, qui pouvait dire : " J’ai prié pour cet enfant. "

L’auteur de ces lignes se souvient qu’un jour, écrasée pour ainsi dire sous le poids de sa responsabilité dans l’éducation de ses enfants, et, sentant son impuissance, elle alla droit au Seigneur, rejetant son fardeau sur Lui et réclamant la réalisation de cette promesse :

" Si quelqu’un de nous manque de sagesse, qu’il la demande à Dieu, qui la donne à tous libéralement, sans rien reprocher, et elle lui sera donnée. "

Alors cette autre précieuse promesse lui fut donnée : " Ils seront miens, dit le Seigneur, quand je mettrai à part mes plus précieux joyaux. "

L’éducation de l’enfant doit commencer à sa naissance.

Soyez ponctuelle et méthodique dans tout ce que vous faites pour lui ; allez au-devant de ses besoins ; ne le laissez pas pleurer pour réclamer sa nourriture (chaque mère devrait nourrir son enfant d’une manière systématique) ; et à moins qu’il ne soit malade, ne le portez pas sans nécessité dans vos bras, car si vous lui donnez cette habitude, il ne voudra plus rester dans son berceau.

Au moment du coucher, les bébés devront être mis au lit réveillés, et on doit les laisser s’endormir seuls, même s’ils pleurent, car ils apprennent bien vite à renoncer à leurs petits caprices.

Excepté dans les cas de maladie, on ne doit pas les relever.

Je connais des mères qui ont suivi cette méthode et elles avaient toute une longue soirée à elles, tandis que d’autres mères restent dans la chambre jusqu’à ce que leur enfant soit endormi et même alors, inquiètes, elles perdent leur temps à écouter à la porte de la chambre, à monter et à descendre toute la soirée.

Dès ses premières semaines donc, votre enfant doit être éduqué de telle sorte qu’il sera une joie pour ses parents et non un ennui perpétuel.

Ecoutez, il pleure ! N’avez-vous pas vu des enfants ouvrir leur bouche toute grande et hurler à la moindre provocation ?

Enseignez-lui à pleurer sans tapage, répétez-le-lui à mesure qu’il se développe, et vous et votre entourage en apprécierez les bons résultats.

Que comme le disait Mme Suzanne Wesley, " ce bruit odieux des cris bruyants des enfants " ne soit jamais entendu dans la maison.

De bonne heure, prenez l’habitude de joindre les mains de votre enfant et, à haute voix, priez : Seigneur Jésus, bénis mon petit garçon, etc.

Et, oh ! jeune mère, qu’il vous voie souvent parler à votre Dieu…

Laissez-moi vous dire ma propre expérience : je m’étais fait une règle d’emmener dans ma chambre un seul de mes enfants, à la fois.

Là, après l’avoir fait asseoir aussi confortablement que possible (car quel est l’enfant qui resterait tranquille s’il n’est pas à son aise ?), je lui disais : " Je vais parler à Jésus-Christ " et alors, près de mon enfant, je répandais mon âme devant Lui.

Oh ! combien précieux est le souvenir de ces petits tabliers, employés à essuyer mes yeux, car les larmes coulaient en abondance, en la présence de mon Dieu ; ou bien quelle musique pour moi, que le son de ces douces petites voix me disant : " ne pleure pas, petite mère. "

Bien des fois, maman devait dire : " Seigneur je suis faible et ignorante. Je veux enseigner mes enfants à t’aimer, mais montre-moi comment il faut le faire. "

Ou bien, si j’avais été impatiente devant eux, je n’hésitais pas à demander pardon à Dieu, en leur présence, le priant de me rendre plus patiente à l’avenir.

Je parlais à Dieu de chaque détail dans notre intérieur et ainsi, mes enfants entrèrent dans plus d’un besoin secret et ils apprirent, à leur tour, à confier toutes choses à leur Père céleste ; je me souviens bien clairement du jour où l’un d’eux me tirant par la robe, me dit : " Mère, allons parler à Dieu. "

Les mères qui ont les moyens d’avoir des bonnes pour leurs enfants ne sont pas toujours assez soigneuses dans le choix de ces aides.

Les enfants sont de grands imitateurs.

Il est donc essentiel de ne mettre auprès d’eux que des personnes dont ils pourront suivre l’exemple en toutes choses.

Il ne faut pas, sous prétexte qu’il est mauvais de toujours gronder les enfants, leur laisser exercer le métier de petits vandales comme c’est souvent le cas ; grimper sur les fauteuils et les canapés, écrire sur les murs, déchirer les tapisseries ou leurs livres d’images.

Le goût destructeur des enfants doit être réprimé, le plus tôt possible.

De même, l’habitude d’être très bruyants n’est point du tout nécessaire à leur bonheur comme certains parents se l’imaginent.

Le culte de famille ne doit jamais sous aucun prétexte, être omis, autrement les enfants s’imaginent que Dieu peut être mis de côté à volonté.

Que la lecture de la Bible ne dépasse pas dix ou quinze versets et faites-la suivre d’une courte explication.

Que la prière soit également courte et très simple afin que les enfants s’en souviennent et en profitent.

Les vacances et les longues soirées

Les vacances sont souvent une rude épreuve pour les mères.

Les petites mains oisives ont si vite trouvé de mauvaise besogne !

L’essentiel est donc de les occuper utilement par un travail agréable à eux-mêmes et aux autres.

Par exemple, la préparation de petits cadeaux pour les anniversaires et le Nouvel An suivant.

Les garçons peuvent essayer les découpages sur bois, la pyrogravure, etc…

Les fillettes, tous les travaux au crochet, à l’aiguille, au crayon, des vêtements pour leurs poupées.

Ne craignez pas de dépenser quelque argent pour leur fournir des matériaux, ou bien encouragez-les à en gagner.

J’avais l’habitude de payer mes fils pour nettoyer les vitres, les couteaux, les chaussures ; je faisais tout pour les occuper.

Les filles apprenaient à faire tous les travaux du ménage et ainsi les vacances passaient agréablement et utilement.

A la campagne, on fera de longues promenades et on encouragera les collections d’histoire naturelle.

Les petits sont très intéressés à découper des images dans de vieux catalogues et de vieux journaux. Si on leur permet de les coller, leur joie est à son comble.

Quand ils grandissent

Il faut sans crainte avertir les enfants, à mesure qu’ils grandissent, des phénomènes naturels de la vie et leur dire ce dont il faut se garder.

Tout ce que Dieu a ordonné est bon et pur et la connaissance est nécessaire pour ne pas enfreindre ses lois.

Même les enfants très protégés chez eux sont atteints par la souillure extérieure.

Encouragez-les à tout vous dire et à vous demander des explications sur tout ce qui les trouble.

Interrogez-les souvent et ne les grondez pas, quelles que soient leurs réponses, car ils vous cacheraient désormais leurs pensées.

Que la mère chrétienne fasse son devoir et Dieu fera le sien.

Elle aura certainement sa récompense.

Je puis dire qu’après avoir humblement essayé d’accomplir ce devoir, Dieu a répondu à mes prières et que mes dix enfants sont vivants et servent le Seigneur.

J’ai même la joie de voir mes petits-enfants suivre le même chemin.

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