Un témoignage

La Tempérance en a déjà provoqué et enregistré beaucoup de tels ; n’importe, nous croyons qu’un de plus encouragera toujours davantage ses partisans.

Le voici donc tel que nous le trouvons dans le VOLKSBOTE de Bâle.

" Il y a maintenant dix années que je suis mécanicien de locomotive.

C’était là l’objet de mon ambition et de mes rêves de bonheur.

Parvenu à ce but de mes efforts, j’épousai mon Hélène, une brave, laborieuse et pieuse femme.

Qu’elle fut pieuse, à cette époque, cela me paraissait un peu de trop.

Car je préférais de beaucoup l’auberge et la société des gais camarades à l’Eglise et aux joies tranquilles du foyer domestique.

D’autant plus que chacun de nous n’a que peu d’heures ou de jours de congé.

Aussi pensions-nous, mes camarades et moi, que le plus grand plaisir de la vie était de boire, et de boire un bon coup.

A chaque station où le train s’arrêtait suffisamment il fallait donc boire, sans compter que sur la locomotive la cruche de bière ne devait jamais faire défaut.

C’est qu’il y fait chaud là-haut et que l’on y a mortellement soif.

Vainement ma femme essayait-elle de me persuader que la bière ne valait rien pour se désaltérer, je ne la croyais pas malgré tout l’amour qu’elle me témoignait.

A quelque heure que je rentrasse le soir, la tête enflammée, je trouvais bien, préparé par elle, le plus excellent repas accompagné de bon café ou de thé ou de limonade ; tout cela ne servait à rien ; c’était de la bière que je voulais avoir.

La tête lourde je me levais le matin, et, au lieu de prier, c’était avec des jurons que je retournais à ma locomotive.

Quelle responsabilité effrayante je portais comme conducteur du train rempli de vies précieuses mais, malgré les supplications de mon Hélène, je ne m’en débarrassais pas.

Cependant quand, dans la nuit, après avoir trop bu avec les camarades dans notre auberge, je rentrais à moitié ivre à la maison pour y trouver en pleurs ma pauvre femme, repris par ma conscience, je me promettais bien de ne plus lui faire ce chagrin.

Mais le lendemain j’étais de nouveau l’esclave de la bière.

Ah ! Mes amis, il m’est impossible de décrire mon état de vil esclavage ; c’est avec effroi que j’y pense maintenant, et je ne puis cesser de bénir l’inexprimable pitié de Dieu qui m’a sauvé.

" Un jour, jour anniversaire de mon Hélène, où mon service devait finir à sept heures du soir, j’avais promis solennellement de rentrer directement de la gare.

Et pendant toute la journée je m’étais réjouis en pensant à la soirée.

Aussi vite que possible je remis ma locomotive à mon suppléant et me dirigeai vers la maison.

Mais ne voilà-t-il pas que, lorsque je passe devant notre auberge, l’un de mes camarades m’apostrophe pour me demander où j’allais si vite.

" Conrad, ajouta-t-il, tu dois entrer avec nous " ; et là-dessus il me prend par le bras pour m’entrainer dans le local.

" Je ne puis ni ne le veut, m’écriai-je, Hélène, ma femme, m’attend, nous avons aujourd’hui quelque chose en perspective. "

" Des bêtises, répliqua-t-il, et dans une demi-heure tu pourras aller. Allons entre un moment. "

Et, avant que je pusse réfléchir, me voilà assis avec les camarades, dans une épaisse fumée de tabac, et avec une cruche de bière devant moi.

Ce n’est pas une demi-heure mais la moitié de la nuit que je passai là.

Lorsqu’enfin je partis et m’acheminai pesamment vers la maison, j’étais rempli de honte de ce que je n’avais pas tenu parole.

Minuit sonnait lorsque j’arrivai devant notre porte.

Les ténèbres régnaient dans la chambre ; cependant un lumignon était là sur le seuil pour m’aider à trouver mon chemin.

J’entrai doucement dans la chambre à coucher ; tout le monde dormait.

Sur la table pourtant il y avait encore un gros morceau du gâteau que nous nous étions tant réjouis de manger en famille.

" Je n’y touchai pas et me mis au lit sans bruit comme un écolier qui sent ce qu’il a mérité.

Mais, précisément parce que j’avais mauvaise conscience et une telle honte, j’étais résolu à ne pas supporter le moindre reproche de la part de ma femme. Mais elle ne fit pas un mouvement. Dormait-elle ? J’en doute.

" Comme la bonne, la fidèle compagne m’avait attendu toute la soirée avec les enfants !

Elle avait tout si bien préparé, jusqu’à des fleurs pour l’homme qui lui avait promis de passer la soirée en famille.

Aussi mes pensées s’agitaient-elles, et m’accusaient-elles ; de sommeil, par question, quoique rendu de fatigue.

Enfin il fallut bien que je donnasse libre cours à ma douleur.

Malgré tous mes efforts, les larmes jaillirent de mes yeux et avec elles un soupir.

Le tourment était trop grand !

" Alors je sentis une main très douce sur mon épaule et une voix bien tendre me dit : " Conrad, qu’as-tu ? es-tu malade ? "

Pas un mot de reproche ; pas une plainte au sujet de mon manque de parole !

Une telle bonté, une telle douceur me subjugua complètement.

Je saisis sa main fidèle : " Oui, Hélène, tout m’abandonne, mon honneur, et ton estime que je ne mérite plus. Je suis un misérable.,"

Puis vint ma confession sortie d’un cœur profondément repentant.

Mais mon excellente, ma noble femme se mit à me consoler, en m’assurant de son pardon, et la conclusion fut que dans cette terrible nuit je lui jurai, la main dans la main, que je deviendrai un autre homme.

" Que notre Dieu tout puissant, que notre miséricordieux Sauveur te soit en aide ! " s’écria-t-elle du plus profond de son âme, débordante de reconnaissance et de joie.

Le matin venu, en me levant, je sentis que j’étais devenu un nouvel homme.

Un bonheur que je n’avais jamais éprouvé envahit toute mon âme.

Mais bientôt je dus éprouver combien indispensable était pour moi le secours de Dieu, d’un Dieu vivant, d’un Sauveur qui se tint tout près de moi pour que je fusse fidèle à mon engagement.

Cela ne se fit qu’avec les mains sans cesse élevées vers lui ; et ma fidèle compagne m’aida aussi à prier.

Les moqueries et les persécutions des camarades chaque jour au dehors, et la terrible habitude de la soif au-dedans, ces redoutables ennemis tentèrent longtemps de me subjuguer.

Le combat fut acharné, je dois le reconnaître ; mais chaque victoire accrut mon courage et ma joie ; et la récompense ne se fit pas attendre.

Avec quel contentement j’apaisais ma soif sur ma locomotive avec le thé froid ou le café dont chaque matin ma brave femme remplissait ma cruche.

Avec quelle tête claire, debout sur ma plateforme, je dirigeais ma locomotive, tandis qu’autrefois ce n’était qu’à un heureux hasard que je devais de la mener en bon état à la dernière station.

En y pensant j’en remerciais Dieu plus tard comme d’un vrai miracle.

Et que dire de nos soirées et de nos journées de congé !

Comme je jouissais de notre modeste chambre où femme et enfants, si longtemps sacrifiés, m’entouraient d’un tendre amour.

Et que de bonheur encore lorsque, en famille, nous nous rendions à l’Eglise pour y chercher encouragement et paix.

Oui, mes amis, maintenant je suis vraiment un homme heureux, qui ne voudrait échanger son lot avec personne.

Mais je dois le dire hautement : après Dieu, c’est à ma femme que je dois tout ce bonheur.

Si dans cette nuit critique elle m’eût traité comme je le méritais, pour mon malheur, les choses auraient pris une toute autre tournure.

Sa piété véritable, sa crainte de Dieu, son humilité et son amour inépuisablement patient ont remporté la victoire.

Que Dieu l’en récompense pendant toute l’éternité. "

Simple histoire

L’épouse d’un officier français, jeune femme qui avait eu une conduite mondaine et légère, était retenue depuis quelques temps sur un lit de douleur, par une maladie qu’elle-même sentait devoir être mortelle.

Cette perspective d’une mort certaine et prochaine la fit rentrer en elle-même.

Elle repassa les fautes de sa vie, l’oubli de Dieu dans lequel elle avait coulé ses jours, et la terreur d’empara d’elle à la pensée de paraître bientôt devant le tribunal du Juge trois fois saint.

Elle essaya de se rassurer en se disant qu’après tout, Dieu devait être bon plutôt que sévère, indulgent et miséricordieux plutôt que redoutable.

Mais elle s’aperçut sans peine qu’elle ne faisait que se tromper elle-même et qu’il ne servait de rien de se faire illusion.

- J’ai non seulement fait le mal, se disait-elle, et désobéi mille et mille fois aux commandements de Dieu, j’ai fait ce que ma conscience condamnait et je n’ai pas fait ce qu’elle réclamait, mais encore j’ai été ingrate, rebelle, impie, en méprisant l’amour et la miséricorde de Dieu, qui m’invitait à la repentance, qui m’encourageait par ses bienfaits, qui me supportait de jour en jour.

J’ai abusé de sa grâce : comment pourrais-je compter maintenant sur son indulgence ?

Fatiguée de ces combats, qui ne lui laissaient de repos ni le jour ni la nuit, elle désira consulter quelqu’un qui pût l’éclairer.

Il ne se trouva dans son voisinage qu’un jeune homme qui avait étudié pour le pastorat, mais qui était tombé dans l’incrédulité.

Faute de mieux, elle le fit appeler.

A peine fut-il assis auprès du lit de la mourante :

- Monsieur, dit-elle, j’ai désiré m’entretenir avec vous de ce qui me préoccupe : je voudrais que vous puissiez m’apporter quelque consolation, mais, je le crains, ce sera bien en vain.

Il est trop tard ; j’ai offensé Dieu si longtemps et j’ai tant attendu pour me réconcilier avec lui, qu’il n’est plus temps.

- Mais, Madame…, interrompit le jeune homme, voulant donner un tour moins triste à ses pensées.

- Non ! Monsieur, non, n’essayez pas de me rassurer, c’est inutile, et si vous voulez me proposer quelque moyen d’apaiser Dieu envers moi, je n’en vois aucun qui pourrait avoir de l’effet.

Me conseilleriez-vous de faire des aumônes ? Mais de quel prix seraient-elles ?

Arrachées par la crainte de la mort et de l’enfer, faites sans charité dans le cœur, elles seraient odieuses devant Dieu.

Non, mon or ne peut racheter mes péchés. Me diriez-vous de changer de conduite, de faire des bonnes œuvres ? mais la mort est là…

M’inviteriez-vous à me repentir, mais encore quel cas ferait Dieu d’un repentir arraché par la peur ?

Les plus grands criminels se repentent en présence de l’échafaud, les anges déchus regrettent leur révolte dans les tourments ; non, mon repentir n’aurait plus aucun prix.

Oh ! Mon Dieu, mon Dieu ! que faut-il faire ? reprenait la malheureuse, en tordant ses bras de désespoir. Que faut-il faire ? N’y a-t-il plus de ressource, plus rien qui puisse satisfaire ta justice ?

Le jeune homme était là, silencieux, stupéfait, ne sachant que répondre.

Lui-même n’avait aucune foi ; les doutes auxquels il s’était adonné, en laissant libre champ à sa raison, avaient détruit en lui toute confiance en Dieu, toute espérance chrétienne, toute pensée pieuse, bien qu’il fût resté un homme moral et de bon cœur.

L’état de la mourante lui inspirait la plus vive compassion, mais il n’avait aucune consolation à lui donner, aucune lumière à lui apporter.

Il avait toutefois pris avec lui la Bible, livre qu’il connaissait bien dès son enfance, et tout en écoutant les gémissements de cette âme cherchant le pardon, il se demandait quel passage il pourrait bien lire ou citer qui répondit à ses anxieux désirs et lui apportât le calme et la paix.

- Voyez-vous, Monsieur, dit encore la jeune dame, pour avoir mon pardon, il faudrait que Dieu me le donnât ! Il faudrait qu’au lieu de me faire gagner mon salut, il m’en fit don, qu’il n’y eût qu’à le prendre ; mais c’est demander l’impossible, c’est prétendre à l’absurde… Non, non, je suis perdue !

La malade, épuisée de fatigue, était retombée sur ses coussins, immobile, comme si elle avait renoncé à tout espoir, comme si elle se livrait d’avance au jugement qu’elle voyait réservé pour elle et attendait l’exécution de la sentence.

Emu profondément par ce spectacle, le jeune homme prit une subite résolution, celle de lire dans la Bible, à haute et intelligible voix, une série de paroles qu’il savait parfaitement où trouver, ici et là, dans l’Ancien et le Nouveau Testament, et qui offrent précisément au pécheur ce pardon entièrement gratuit que réclamait la pauvre femme.

Lui-même se refusait à croire les affirmations que renferment ces passages ; il les avait toujours traités d’absurdes, mais il savait que ces paroles font la consolation et la joie de tous ceux qui croient au Saint-Livre et qui s’attendent à Dieu.

- Ecoutez, dit-il, Madame ; écoutez ce que Dieu dit dans les Saintes Ecritures. Ce n’est pas moi qui vais parler, c’est Dieu lui-même :

" Oh ! Vous tous de tous les bouts de la terre, écoutez et soyez sauvés ! "

" Quand tes péchés seraient rouges comme le cramoisi, ils seront blanchis comme la neige. "

" Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui, ne périsse pas, mais ait la vie éternelle. "

" Il a été navré pour nos offenses et froissé pour nos iniquités ; le châtiment qui nous apporte la paix a été sur lui, par sa meurtrissure nous avons la guérison. Nous avons été errants comme des brebis, nous nous sommes détournés, chacun en suivant son propre chemin et l’Eternel a fait venir sur lui l’iniquité de nous tous. "

" Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous soulagerai ; mon joug est facile et mon fardeau léger. "

" Je ne repousserai aucun de ceux qui viendront à moi. "

" Mon sang est versé pour la rémission des péchés. "

" Qui croit en moi a la vie éternelle. "

A mesure que les paroles divines se faisaient entendre, la malade prêtait de plus en plus son attention, fixant ses regards sur le Saint-Livre d’où elles sortaient.

Ces paroles paraissaient tomber sur son âme comme autant de gouttes d’une rosée bienfaisante.

Ce fut d’abord de l’étonnement, puis un sourire de contentement, de joie, d’espérance.

Ses mains se joignirent et elle parut absorbée dans une ardente prière.

Cette prière épuisa ses forces, les mains tombèrent inertes, la bouche fut immobile, les traits se couvrirent de la pâleur de la mort.

Elle n’était plus, mais la lumière d’en haut semblait avoir éclairé enfin sa vie.

Le jeune homme, rentré chez lui dans une vive émotion, réfléchit longtemps à ce qui venait de se passer.

Il reprit pour lui-même l’étude de ces passages de la Bible et des enseignements divins qu’ils renferment.

Il abandonna ses doutes et son incrédulité et revint à la foi.

Puisse chacun de nos lecteurs saisir à son tour avec empressement le salut qu’annoncent ces paroles de notre Dieu !

Sauvée du ruisseau

F. …, jeune fille grande, altière, attitude provocante et désinvolte, commence à se prostituer à 16 ans.

Au bout de trois années de ce métier, veut sortir de la maison à laquelle elle était attachée, se heurte au refus du tenancier, se bat avec lui et réussit à se faire blesser, afin d’être envoyée à l’hôpital.

Une fois guérie, âgée de 20 ans, on l’envoie dans un refuge de l’Armée du Salut ; se rend intolérable par sa nature récalcitrante, refuse tout travail, veut s’échapper ; s’assure la complicité d’un domestique du voisinage qui, lors de leurs rendez-vous lui apporte des cigarettes.

Elle fume en cachette ; prise sur le fait, elle sourit narquoisement.

On doit s’en séparer, car elle est un élément perturbateur qui corromprait infailliblement les autres filles moins gangrénées.

Elle va à Versailles où elle s’engage dans une maison de prostitution où elle reste deux mois ; réussit à s’évader, retourne au refuge salutiste, mais ne peut s’assujettir à aucun travail et le quitte.

Va dans une autre ville et dans une autre maison de prostitution, et y reste quatre à cinq mois…

Elle s’échappe et se fait admettre une troisième fois au refuge de l’Armée du Salut.

Réussit à sortir avec une domestique, s’échappe, absorbe plusieurs absinthes.

Rentre au refuge, raconte pendant son ivresse ce que fut sa vie jusqu’à ce jour.

Devenue furieuse, on est obligé de la tenir de force pendant quatre à cinq heures.

Revient à elle, mais devient gravement malade et doit être transportée à l’hôpital ; elle ne veut plus retourner dans la maison de l’Armée du Salut, parce qu’on connaît son histoire, mais accepte d’être envoyée dans un autre refuge.

C’est alors qu’elle se sent émue de la patience de la Directrice de la Maison de Relèvement de l’Armée du Salut qui l’accueillit à trois reprises, bien qu’elle semblât incurable.

L’œuvre entreprise dans ce nouveau refuge porta bientôt ses fruits : une transformation totale.

F. … écrit elle-même : " Je ne puis croire que c’est moi qui ai mené une telle vie… "

Sa conduite désormais, fut exemplaire ; elle épousa un missionnaire, l’accompagna dans son champ de travail en Afrique.

Depuis donc, depuis vingt-huit ans, elle est restée en rapport avec ses sauveteurs et n’a pas eu de rechute.

Extrait de " La Psychothérapie Religieuse " du docteur S. LORTSCH

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