Israël et le monde chrétien

Brève histoire des juifs et des missions chrétiennes parmi Israël, par G. Naymark. Librairie des Semailles, Lausanne, Suisse.

M. G. Naymark est un israélite converti à Jésus-Christ.

Il est pasteur. Son volume, très soigné, quant à la forme et au fond, est une histoire condensée, pleine de faits, du peuple d’Israël, écrite avec une grande impartialité.

Quelles souffrances ce peuple n’a-t-il pas endurées !

En répondant à Pilate : " Que son sang retombe sur nous et sur nos enfants ", il ne se doutait pas des châtiments terribles et prolongés qu’il s’attirait.

Il a atrocement souffert depuis dix-huit siècles.

Mais il a toujours puisé dans la Bible, dans son attachement à la loi, dans sa foi aux promesses messianiques des prophètes, la force d’endurer les pires persécutions.

Il est resté à travers les siècles le peuple de l’espérance, et aujourd’hui le christianisme exerce sur les juifs, quand des chrétiens vivants s’efforcent de le leur faire connaître, un puissant attrait.

Après la destruction de Jérusalem et du Temple, en l’an 70, beaucoup de juifs se réfugièrent en Babylone et en Egypte où se trouvaient de nombreuses communautés israélites.

C’est en Babylone que toutes les traditions juives qui étaient réunies dans deux ouvrages : la Mischna et la Guemarah, formèrent ce qu’on appelle le Talmud, ce qui signifie enseignement, étude.

Une partie du Talmud a malheureusement pour les juifs la même autorité que la loi de Moïse.

Au Moyen-âge, de l’an 500 à l’an 1500, les juifs furent horriblement persécutés.

Le 4ème concile de Latran, au commencement du 13ème siècle, obligea tous les juifs de tous les pays à porter un costume spécial destiné à les différencier des chrétiens et à en faire les parias de l’humanité.

" Ce fut l’origine de cette " rouelle jaune " qui désignait le juif aux chrétiens comme un homme à mépriser et à persécuter. "

Les juifs eurent l’héroïsme de résister à leur ennemie séculaire, l’Eglise romaine.

La révolution de 1789, rendit aux israélites la liberté dans la plupart des pays, mais en Russie on a continué à les persécuter jusqu’à maintenant.

Les savants juifs ont été nombreux tant au moyen âge que de nos jours.

Le sionisme dont on parle tant aujourd’hui, flotte dans l’air depuis longtemps.

Deux hommes, Moïse Hess et le docteur Piusker, ont surtout exercé une influence considérable dans la formation de l’idée nationale juive et ont facilité, longtemps à l’avance, l’acceptation enthousiaste du projet du docteur Herzl.

Dans un livre paru en 1862 : Rome et Jérusalem, Moïse Hess préconise l’acquisition d’une patrie juive par l’immigration en masse en Palestine.

Déjà en 1840, il écrivait : " Nous serons toujours des étrangers parmi les nations qui nous accordent certains droits pour des raisons humanitaires ou par sentiment de justice, mais qui ne nous respectent pas, aussi longtemps que nous mettons nos grands souvenirs au second rang. "

Le sionisme n’est pas religieux.

Le docteur S. Bernstein a écrit en 1919, dans une publication officielle :

" Le sionisme n’a rien à faire avec le messianisme. Il est le contraire du messianisme. L’idée messianique dans l’Ancien Testament a pour origine la foi au miracle, au salut par Dieu, à la restauration théocratique du peuple d’Israël en Terre sainte, au moyen de miracles et de manifestations de la grâce.

La nature de la promesse messianique est l’attente patiente du jour de Dieu.

Le sionisme est étranger à cette psychologie.

Sans prendre position vis-à-vis des promesses messianiques, il estime que l’attente patiente d’une délivrance miraculeuse est un malheur pour notre peuple.

Le peuple juif doit prendre son sort en ses propres mains.

Le sionisme est la reconnaissance du sens des réalités dans le judaïsme. "

Les congrès sionistes sont, en effet, beaucoup moins préoccupés de l’état religieux du peuple juif que de son état social et économique.

Au point de vue religieux, les hommes pieux qui tentèrent des réformes, furent assez nombreux.

L’un d’eux, nommé Israël, naquit en Bukovine vers l’an 1700.

Il proclama les droits du cœur et de l’âme, leur besoin de vivre, de pouvoir aspirer à la vie avec Dieu.

Aux yeux de Dieu, dit-il, une âme qui cherche à s’unir à Lui d’un élan sincère et avec amour, a plus de valeur que tout le savoir théologique du monde.

M. Naymark nous trace un tableau fort bien fait de la mission évangélique parmi les juifs en Europe, en Asie, en Afrique et en Amérique.

L’histoire des juifs depuis plus de quinze siècles est écrite avec du sang versé par de soi-disant chrétiens.

C’est au nom du christianisme qu’on l’a persécuté.

Il n’est pas donc pas toujours facile de l’évangéliser.

Pourtant cette évangélisation devient d’année en année plus fructueuse.

En 1918, il y avait en Palestine 55 000 juifs.

En 1925, il y en avait 125 000.

En 1924, les juifs ont fondé en Palestine, 65 établissements industriels représentant un capital de vingt-six millions de francs français.

Durant la même année, ils ont dépensé plus de 500 000 livres sterling pour la colonisation agricole, ce qui représente 615 millions de francs français.

Le 21% des juifs travaille la terre.

On compte en Palestine 132 écoles juives avec 550 professeurs et 12846 élèves.

L’inauguration en 1925 de l’Université juive de Jérusalem sous la présidence du ministre Balfour, en présence de délégations de la plupart des grandes universités, peut être considérée comme un évènement dont on ne saurait exagérer la portée au point de vue de la restauration nationale du peuple juif.

Tout juif pieux demande chaque jour à Dieu : " Tu nous permettras de voir bientôt la disparition de toutes idolâtries et l’établissement du règne du Tout-Puissant sur toute la terre.

Toute créature invoquera ton nom, tous les impies reviendront à Toi et tous les mortels reconnaitront que devant Toi, tout genou doit fléchir, à Toi toute langue doit jurer fidélité !

Devant Toi, ô Eternel ils se prosterneront et ils glorifieront ton nom majestueux.

Tous les hommes proclameront ta souveraineté et tu seras à jamais leur Roi.

C’est à Toi, en effet, qu’appartient la domination éternelle, comme il est dit dans la Loi : " L’Eternel règnera à jamais. "

Et ailleurs : " L’Eternel sera le Roi de l’univers. En ce jour, il sera reconnu que l’Eternel est le seul Eternel, et son nom sera le seul nom. "

" La venue du Messie des juifs, le Christ des chrétiens, dit excellemment Naymarck, en marquant la fin d’une période de l’histoire et le commencement de temps nouveaux, fait partie de l’évolution religieuse du peuple juif, dont l’aboutissement doit être selon l’apôtre Paul, la réintégration dans l’alliance de Dieu, momentanément rompue :

" Ils seront greffés sur leur propre tronc. "

C’est là que se trouve la solution définitive du problème juif, l’aboutissement naturel de son histoire. "

S. D.

Progrès de la Palestine dans la civilisation - 1855 à 1880 par M. SCHIK

Nous empruntons à une publication autrichienne des détails intéressants sur les progrès accomplis dans la Palestine depuis vingt-cinq ans.

Ces progrès sont surtout démontrés par le grand nombre de constructions nouvelles qui se sont élevées dans ce pays.

Dans les petits villages, il est vrai, on ne voit que très peu de maisons neuves ; mais une grande extension s’est produite, au contraire, dans les centres un peu plus importants.

Cela est surtout remarquable relativement à la population chrétienne.

A Jérusalem, dans l’intérieur de la ville, les maisons dégradées ou ruinées ont été restaurées ou rebâties par des particuliers ou des compagnies.

Hors de la vieille ville, de nouveaux faubourgs entièrement neufs se sont élevés.

L’extension de la ville se fait surtout du côté de l’ouest.

Les Juifs ont formé entre eux des sociétés pour la construction des bâtiments, et ils ont élevé de longues maisons semblables à des casernes pour l’habitation de plusieurs familles.

On peut estimer que le nombre des habitations, depuis vingt-cinq ans, a plus que doublé, et probablement triplé.

Il en est particulièrement ainsi à Bethléem, qui a tout à fait l’aspect d’une ville nouvellement construite.

A Jaffa, le mur de la ville a été démoli, le fossé comblé et un grand nombre de maisons neuves, de magasins et même de véritables palais ont été érigés.

De même dans les jardins de Jaffa, beaucoup de nouvelles maisons ont été construites.

Au sud et au nord de la ville, des faubourgs tout entiers ont été construits par les Arabes, venus en grande partie d’Egypte.

A Ramleh, on voit aussi des maisons neuves.

On en voit encore un plus grand nombre à Kaïffa, que M. Schik (l’auteur de l’article que nous citons) a eu peine à reconnaître depuis sa dernière visite.

A proximité de cette petite ville de Kaïffa se trouve la nouvelle colonie allemande au pied du mont Carmel.

Nazareth donne presque la même impression ; cette ville s’est accrue en étendue et semble avoir été rebâtie.

Tibériade a ses maisons neuves.

A Jenin, un nouvel arsenal militaire a été élevé, ainsi qu’à Naplouse, avec une belle caserne.

Près de là, la solitaire vallée qui s’étendait vers l’est prend un aspect animé ; dans la ville même, on voit beaucoup de nouvelles maisons et un nouveau khan ; il y a aussi une nouvelle école, un monastère catholique et les bâtiments d’une mission protestante.

A Bethléem, une caserne et un arsenal ont été construits.

Grâce aux écoles et à l’accroissement du commerce, le goût de la population ouvrière s’est développé ; les maisons nouvelles sont en grand progrès sur les précédentes, non sur les plus anciennes, qui, en règle générale, étaient bien bâties.

Presque toutes les maisons ont maintenant des fenêtres vitrées, ce qui était rare il y a vingt ans.

Comme signe de progrès dans l’agriculture, il faut noter qu’à Jaffa, les jardins ont quadruplé en étendue depuis un quart de siècle.

Outre la colonie allemande dont nous avons parlé, on rencontre de nouveaux établissements sur la rivière de l’Aujeh (près de Jaffa) et dans les plaines voisines, ainsi que beaucoup de jardins et de nouvelles plantations.

Les gens de la campagne emploient aussi leurs capitaux à l’élever des bestiaux.

Dans les environs de Jérusalem, presque toute la terre est occupée ; des arbres ont été plantés ; on a creusé des citernes.

L’aqueduc qui, dans les anciens temps, amenait à Jérusalem les eaux des célèbres réservoirs de Salomon, a été relevé et il aboutit à la place du Temple.

On remarque un grand progrès dans l’éclairage des villes et dans les dispositions prises pour leur assainissement ; sous ce dernier rapport, il reste cependant beaucoup à faire.

Les portes des villes ne sont plus fermées au coucher du soleil, au grand détriment du commerce, et les habitants ne sont plus emprisonnés dans des murailles.

Les rues sont aussi beaucoup mieux pavées.

A Bethléem, même pendant l’hiver, elles sont très praticables, ce qui était loin d’exister autrefois.

A Jérusalem, les tanneries et les abattoirs ont été relégués hors de la ville.

Sur beaucoup d’édifices, on a placé des horloges pour indiquer l’heure au public.

M. Schik signale le progrès qu’a fait la tolérance entre les différents cultes depuis vingt-cinq ans ; juifs, musulmans et chrétiens vivent en bonne intelligence, et personne n’est en général persécuté pour sa croyance.

Même le fez rouge n’est pas obligatoire pour les fonctionnaires non musulmans.

Les costumes européens sont maintenant communs pour les hommes et pour les femmes, et beaucoup de celles-ci s’habillent à la dernière mode de Paris.

Les pachas ne sortent plus constamment avec un grand cérémonial officiel ; on les rencontre souvent à pied dans les rues, n’ayant pour suite qu’une ou deux personnes.

Les meubles européens, chaises, canapés, tables, sont devenu communs.

Il est permis de sonner les cloches dans les Eglises chrétienne ; les vieilles Eglises sont restaurées, et il en a été bâti de nouvelles à Jérusalem, à Nazareth, à Tibériade, au Thabor, à Naplouse, à Jifné, à Ramallah, à Beit-Jal, à Lydde, etc…. ainsi qu’un grand nombre de synagogues à Jérusalem.

Ces progrès n’indiquent cependant aucun relâchement dans les sentiments religieux des mahométans, qui, pendant ce temps, ont bâti beaucoup de nouvelles mosquées.

La justice est aussi administrée avec beaucoup plus d’impartialité qu’auparavant, et les châtiments barbares ont été abolis.

De tous ces faits, on peut assurément conclure que la Palestine a fait de réels progrès depuis un quart de siècle.

Sionisme militant

Le Sionisme vient de se soulever pour protester contre les mesures prises par l’Angleterre vis-à-vis de leur programme.

La Grande-Bretagne a, en effet, rendu plus stricte la loi d’émigration, de telle sorte que le développement de la Palestine aura à en souffrir et les Sionistes accusent l’Angleterre d’infidélité à ses promesses et de trahison à leur cause.

Dernièrement, Menachen Ussihkin, de Jérusalem, Président du Fonds National Israélite et Chef Sioniste, s’est rendu à New-York où il a été l’objet d’une chaude réception de la part du Maire Walker et d’un Comité Social.

Il expliqua le but de sa visite en ces termes :

" J’ai vu que le moment était venu et que mon devoir était d’aller visiter mes frères d’Amérique pour leur dire, au nom des pionniers palestiniens, 180.000 en nombre :

" Sauvez l’avenir de notre peuple ! Tenez-vous en première ligne dans ce combat sacré pour une espérance séculaire et pour l’honneur de notre peuple, que nos ennemis cherchent à détruire.

" Vous, Juifs américains, par votre influence politique et vos ressources financières, êtes à même d’intervenir d’une façon efficace.

" C’est donc à vous qu’il incombe d’opposer toute votre résistance au plan de nos ennemis et de centraliser tous vos efforts pour soutenir l’établissement et l’extension du Home National Israélite en Palestine, et cela en dépit des difficultés présentes. "

Non ! Le Sionisme ne peut pas être anéanti car ce mouvement de restauration de la part d’un certain nombre de Juifs est dans le plan de Dieu, et, croyons-nous, à Son heure.

Quoi que fasse l’Angleterre, elle ne pourra juguler la marge ascendante du Sionisme.

Les Sionistes se doutent fort peu qu’ils avancent aussi rapidement vers le jour où ils seront plongés dans une calamité telle que leur longue histoire de souffrances n’a jamais connue.

Mais immédiatement " après ces temps-là ", ils salueront la venue de leur Messie-Roi et leurs espérances seront enfin réalisées.

Our hope

Reddition de Jérusalem

Un siècle ne s’est pas encore écoulé depuis la prise de Jérusalem par Godefroy de Bouillon, et déjà la ville sainte est réduite à capituler entre les mains des Turcs.

La victoire de Tibériade (1187), a ouvert à Saladin le chemin de la Palestine.

Naplouse, Jéricho, Ramla, Ptolémaïs, Césarée, Ascalon ont ouvert successivement leurs portes à l’ennemi.

Quelques pèlerins accourus d’Occident, des fugitifs échappés aux récents désastres, une reine éplorée, voilà les seuls défenseurs de la ville de Jésus-Christ.

Saladin fait appeler les principaux habitants, il leur offre de l’argent, des terres s’ils veulent sortir sans combat :

" Nous ne pouvons, disent les chrétiens, céder Jérusalem où notre Dieu est mort, la vendre encore moins !

- Eh bien ! Que les tours et les remparts de Jérusalem périssent avec vous ! " S’écrie le sultan, et le siège commence.

Le roi Gui de Lusignan, captif avec ses plus braves chevaliers, ne peut secourir sa capitale.

Les assauts se multiplient, toujours repoussées ; mais le nombre des chrétiens diminue de jour en jour.

La ville doit se rendre.

Lorsque Balean d’Ibelin demanda une capitulation, le sultan ne répondit pas ; à une seconde demande il ne répondit pas davantage.

A la troisième il répondit avec dédain : " Comment accorderais-je des conditions pour une ville prise ? "

Il consentit cependant à accorder la vie et la liberté, aux hommes pour dix pièces d’or, aux enfants pour deux, aux femmes pour cinq.

Les guerriers eurent la permission de regagner Tyr et Tripoli.

Bien des larmes coulèrent quand il fallut quitter la ville.

Après avoir une dernière fois visité le Saint Sépulcre et recueilli les vases sacrés pour les dérober aux profanations, les chrétiens sortirent par la porte de David.

Ils défilèrent silencieusement devant le sultan, assis par terre à la porte de sa tente, et qui ne put, dit-on, s’empêcher de plaindre leurs maux.

C’est ce même prince qui, mourant peu d’années après au Caire, fit porter à travers les rues de la ville par des esclaves le drap qui devait l’envelopper dans son cercueil :

" Voilà, disaient-ils, tout ce que le glorieux sultan Saladin doit emporter avec lui dans son cercueil. "

201 - Le réveil et le retour de Jésus-Chri...

Le réveil et le retour de Jésus-Christ Ces deux notions sont étroitement li...

202 - Le vent souffle où il veut

Le vent souffle où il veut Le ministère apostolique continue. Une de ses ac...

203 - On ne se moque pas de Dieu

Les saturnales interrompues Le 17 janvier dernier avait lieu, à Francfort s...

204 - La médisance

La médisance " Ne médisez pas les uns des autres. " Jacques, chapitre 4, ve...

205 - Satan est-il digne de foi ?

Le lion tenu en laisse " Le diable rôde comme un lion rugissant, cherchant...

206 - Et Dieu répondit à leur foi

La foi Croire, c’est admettre la véracité d’un témoignage. Ce n’est pas com...

207 - Petites histoires édifiantes

Un sourire Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup, Il enrichit ceux q...

208 - Dieu et la politique

La soumission aux autorités Textes bibliques à consulter pour faire une étu...

209 - Une piété salutaire

Comment lire la Bible ? " Applique-toi à la lecture " (1 Timothée, chapitre...

210 - Georges MULLER - Une vie de foi et d...

La foi La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstr...

211 - Les juifs et le Messie

Au peuple d'Israël O Toi qui nous rendis la vie et l’espérance, Quand un vo...

212 - Vengeance de "juif"

Vengeance de "juif" I Il arrivait de Paris où, après avoir fait de brillant...

213 - Un prophète a parlé - Ben Ezra

Un prophète a parlé : Ben Ezra " Scelle le livre jusqu’au temps de la fin....

214 - La renaissance d'Israël - Tome I

Israël et le monde chrétien Brève histoire des juifs et des missions chréti...

215 - La renaissance d'Israël - Tome II

L'observation du jour de repos dans la Palestine moderne Je voudrais noter...

216 - Aux personnes qui désirent le réveil...

Aux personnes qui désirent le réveil Avis L’actualité de cet opuscule fera...

217 - Aux personnes qui désirent le réveil...

Aux personnes qui désirent le réveil Chapitre 8 " Soyez sobres et veillez d...

218 - Ils ont tous été témoins

Si j'avais milles vies - Isaac HOMEL Le mercredi 27 octobre 1683 entre quat...

219 - Salut et guérison

La guérison dans l'Ancien Testament " Je suis l’Eternel qui te guérit. " C’...

220 - Sur terre et sur mer

Le chant dans le brouillard On raconte qu’il est une île, aux environs de T...