Le dernier examen

Deux fillettes discutaient avec ardeur de leurs familles respectives.

L’une demanda :

- Ta grand-mère est bien fatiguée. Pourquoi lit-elle autant la Bible ?

Et l’autre fillette de répondre :

- Elle doit être en train de " bûcher " son dernier examen ! …

Si cette dernière répartie est vraie, elle ne manqua pas d’à-propos !

La grand-mère, en lisant sa Bible, se préparait-elle donc à rencontrer Dieu ?

Au dire de la fillette, elle étudiait en vue de son dernier examen, c'est-à-dire en vue de sa comparution devant Celui qui est le juge des vivants et des morts.

Je voudrais cependant dissiper deux malentendus que la réponse de la fillette pourrait faire naitre en vous.

Tout d’abord, le Ciel ne s’obtient pas à force de " bûcher " la Bible.

Il ne nous est pas donné consécutivement à un examen dont nous aurions subi les épreuves.

Ensuite, il n’est point besoin d’être parvenu dans le grand âge pour lire la Bible et se préparer pour l’éternité.

Dès maintenant, vous devez vous préoccuper de cette question capitale et la régler au plus vite.

Ne dites pas que votre bonté ou votre honnêteté, vos qualités ou vos mérites vous vaudront bien une place au Ciel.

Toutes ces choses ne sont aux yeux de Dieu, selon le témoignage de la Bible, que comme un vêtement souillé.

Ne dites pas non plus que vous avez de la religion, et que, après tout ce que vous faites pour Lui, le Seigneur vous réservera bien une petite place Là-haut.

Dieu vous répond, par sa Parole : " Ce peuple m’honore des lèvres, mais son cœur est éloigné de moi. C’est en vain qu’ils m’honorent en donnant des préceptes qui sont des commandements d’hommes. "

Jésus ajoute : " Vous abandonnez le commandement de Dieu, et vous observez la tradition des hommes. "

Que faut-il entendre par ce " commandement de Dieu ? "

En premier lieu, la Parole du Seigneur dans son message d’ensemble.

Elle est ignorée le plus souvent, et lorsqu’elle est lue, elle est, dans la plupart des cas, mieux connue que pratiquée.

" Vous abandonnez le commandement de Dieu. "

Cela signifie aussi que les vérités essentielles de la Bible sont tenues dans l’oubli.

Nous voulons vous les rappeler afin que vous ne soyez pas dans l’ignorance.

Nous allons citer maintenant des passages de l’Ecritures sainte, laissant au Saint-Esprit le soin de vous éclairer, et vous laissant la possibilité de réfléchir.

La Bible déclare :

" Repentez-vous et convertissez-vous pour que vos péchés soient effacés. "

" Si vous ne vous convertissez et si vous ne devenez comme les petits enfants, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux. "

" Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé. "

" Si un homme ne nait de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu…. Si un homme ne nait d’eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu ", dit Jésus.

En fait, cette nouvelle naissance est la seule condition pour entrer au Ciel.

Nul besoin d’un " examen de passage " ; il vous faut naitre de nouveau.

Il faut vous repentir de votre péché, et accepter Jésus-Christ, mort et ressuscité pour vous, comme votre Sauveur personnel.

Le voulez-vous ?

Lucien CLERC

Croire et Servir

La croix

Il y a des théologiens qui prétendent que la croix de Christ n’a rien à faire avec le salut du monde.

Elle n’importe pas beaucoup plus que la ciguë que Socrate a dû boire ou les tourments de ces milliers d’innocents qui ont péri, victimes de l’injustice humaine.

Dans les alambics de leur théologie ces hommes ont distillé le mystère du Calvaire ; comme les chimistes traitent les racines médicales pour en extraire les alcaloïdes, ils ont extrait, eux aussi, de l’histoire évangélique un certain nombre de principes moraux indiscutables pour guérir l’humanité.

Seulement, de même que le malade dont les sulfates délabrent l’estomac, et qui profiterait beaucoup plus de la médecine telle que la nature l’a préparée elle-même, le cœur humain n’est pas régénéré par l’exposé froid des vérités théologiques…

La puissance qui le vainc, c’est la croix.

Et, malgré les sourires supérieurs des professeurs modernes, la croix, puissance de salut, continue à travers le monde sa course triomphante.

Et c’est elle, la croix rayonnante de la justice et de l’amour divins qui attire tous les hommes en haut… vers les sommets de la vie religieuse que les nations païennes n’eussent jamais connus sans la croix.

De tous les moyens que l’humanité a imaginés pour travailler à son perfectionnement moral, la croix demeure le grand, l’unique.

Aussi bien ne fut-elle pas inventée par l’homme, mais elle lui fut donnée de Dieu.

H. JUNOD, Missionnaire

Un coeur purifié dans le sang

Il y a parait-il, ici, des gens qui assistent pour la première fois, à une Convention.

Je désire donc leur parler très simplement et leur montrer, tout d’abord, le but réel dans lequel nous nous réunissons.

Le voici : C’est que puisque Dieu vient à nous et nous demande : " Demande et je te donnerai ", nous puissions répondre : " Seigneur je demande un cœur purifié dans le sang de Christ. "

Au Psaume 51, le psalmiste, ce fidèle et dévoué imitateur de Dieu, exprime ce besoin.

Au verset 8, c’est un cœur droit et véridique après lequel il soupire.

Au verset 9, c’est un cœur purifié.

Au verset 19, c’est un cœur brisé et contrit.

Dans Ezéchiel, chapitre 36, nous voyons l’état du cœur décrit sous trois aspects : la souillure, l’idolâtrie, l’endurcissement.

Un cœur lavé de sa souillure est un cœur purifié ; un cœur lavé de son idolâtrie est un cœur droit ; un cœur de pierre, transformé en cœur de chair, est un cœur brisé et contrit.

Vous vous rappelez que le Seigneur Jésus parle du Saint-Esprit comme de l’Esprit de Vérité : c’est donc Lui qui peut rendre notre cœur droit.

Etant le Saint-Esprit, Il peut nous rendre saints.

Le Seigneur Jésus l’appelle le Consolateur et comme tel, Il peut mettre Son baume sur le cœur brisé.

Je pourrais parler de la souillure de l’esprit : l’orgueil, la vanité, la frivolité, la folie, l’amour des louanges, la jalousie, l’envie.

Je pourrais vous parler de l’idolâtrie : aimer quelque chose plus que Celui que nous devrions aimer plus que tout.

Je pourrais aller plus profondément et parler de cet étrange état du cœur qui s’appelle l’endurcissement ; c'est-à-dire un cœur sur lequel Dieu peut écrire Ses paroles ; un cœur fermé et incrédule ; un cœur qui voit, qui sait, qui réalise, et pourtant ne peut pas croire : un cœur qui n’a pas une confiance pleine d’amour envers Dieu.

Maintenant, Dieu dit que Lui fera cette œuvre si vous consentez seulement à Le laisser faire.

" Que le Dieu de paix vous sanctifie Lui-même tout entiers. " (1 Thessaloniciens, chapitre 5, verset 23).

Oui, le Dieu de paix saura en finir avec la souillure, l’idolâtrie et l’incrédulité.

Que devons-nous donc faire ?

Disons-Lui tout ce qui nous concerne, en détails ; ne craignons pas de faire passer la charrue dans le sillon, et de retourner la terre, afin que le soleil tue tous les insectes nuisibles.

Laissez-moi expliquer cette pensée : un jeune homme qui ne croyait pas en la divinité de Christ, vint me voir, il y a quelque temps, très préoccupé, et me dit : " Depuis que je vous ai rencontré, j’ai beaucoup désiré devenir un vrai chrétien. Je veux être sauvé. Je me rends compte que je ne suis pas du tout converti et parfois, je me demande si je suis bien sincère. Il m’arrive de le croire, mais à certains moments, je me prendrais plutôt pour un faux chrétien. "

Je lui répondis : " Mon cher garçon, dans quel but croyez-vous que le Seigneur Jésus soit venu, si ce n’est pour les cas comme le vôtre, pour sauver les gens comme vous ? Le malheur c’est que vous lui dites tout le bien que vous pouvez de vous-même, toutes vos prétendues aspirations à la Sainteté et au Service ! Ne voulez-vous pas maintenant lui dire juste ce que vous venez de me confier à moi ? "

Il répliqua : " Mais supposez que je ne sois pas sincère, en ce moment, mais hypocrite et ne pensant pas ce que je dis ! "

Je répondis : " Eh bien ! dites-lui cela aussi. "

" Est-ce vraiment tout que qu’il y a à faire ? Vous croyez que cela me réussira ? " demanda-t-il.

" C’est exactement ce que je veux dire " répondis-je.

" Le Seigneur Jésus est venu pour résoudre les problèmes comme le vôtre. Si seulement les Siens voulaient lui dire la vérité au lieu d’essayer de conserver pour eux-mêmes toutes les choses mauvaises, de les arranger et de les couvrir à leur manière !

C’est ainsi que, inconsciemment, ils mentent à Dieu. Mais si vous voulez tout simplement venir à Christ, tel que vous êtes, Il vous recevra et vous sauvera. "

Une quinzaine de jours après, je reçus une lettre de ce jeune homme, dans laquelle il disait : " Oh ! Monsieur, que tout cela est merveilleux ! Je n’osais pas vous croire, mais je suis si heureux d’avoir suivi votre conseil, car maintenant, j’ai quelqu’un à qui aller ! Je n’avais jamais connu jusqu’à aujourd’hui, le vrai bonheur. Comment pourrai-je jamais vous remercier assez de m’avoir conduit à Lui ! "

Ah ! Béni soit Dieu, Il peut faire de telles choses ! Si seulement nous voulons être vrais et honnêtes avec Lui, et tout lui dire, comme un petit enfant, Il nous affranchira en un instant.

Lui, seul le peut. David, qui soupirait après Dieu, faisait cette prière : " O Dieu, créé en moi un cœur pur ", prière certes, bien simple, mais David comprenait qu’un cœur pur est une nouvelle création.

Et nous, le comprenons-nous ?

Examinons, maintenant, quelques-unes des bénédictions accordées à un cœur purifié.

Tout d’abord : " Heureux ceux qui ont le cœur pur, car ils verront Dieu. "

Remarquez qu’il n’est pas dit que ceux qui voient Dieu auront un cœur pur.

Non, il n’y a qu’une chose qui puisse purifier ; ce n’est pas la vision du Christ, c’est Son Sang.

C’est le seul moyen de nettoyer les recoins les plus secrets du cœur, même les désirs et les motifs.

Et lorsque le cœur est net, alors, la vision de Dieu est possible.

Ceux qui ont le cœur pur verront Dieu : dans Sa Parole, dans les réunions, lorsqu’ils rencontrent des frères, dans les sacrements, dans la nature.

Ils le verront partout, dans Sa puissance, Sa fidélité et Son amour.

C’est le grand remède pour les rétrogrades.

Où que j’aille, je rencontre des rétrogrades : des gens autrefois joyeux et alertes, qui maintenant sont tristes et comme en léthargie, sans vie spirituelle ; ils ont perdu ce qu’ils avaient acquis.

Pourquoi ? parce qu’ils n’ont jamais reçu de Dieu un cœur pur, et que, par conséquent, ils ne Le voient pas.

Secondement, dans le Psaume, chapitre 24, verset 3, nous lisons que l’homme qui a le cœur pur, " montera à la montagne de l’Eternel et s’élèvera jusqu’à Son lieu saint. "

C’est l’homme qui se tiendra à la brèche pour prier, sans jamais penser à soi.

Il ne fait pas la prière de l’homme non sanctifié : " Qui me délivrera de ce corps de mort ? "

Encore moins pousse-t-il le cri du pécheur inconverti : " O Dieu, aie pitié de moi qui suis pécheur ! "

Il ne pense pas tellement à prier pour lui-même. Pendant cette Convention, avons-nous décidé de demander au Seigneur une certaine bénédiction bien définie ?

Quelque chose qui aille encore plus profond que nos volontés ?

N’avons-nous pas souvent découvert de secrets motifs et des désirs que notre volonté ne pouvait jamais dominer ?

Nous avons lutté et cherché à déraciner et à rejeter tout cela par notre propre effort, mais en vain.

Béni soit Dieu, le précieux sang de Notre Seigneur Jésus-Christ peut nous débarrasser de toute cette souillure, nous rendre et nous conserver purs !

Alors, nous aurons la vraie liberté de prier pour les autres.

Je ne sais pas bien l’expliquer, mais je sais que j’en reçois un sentiment béni de pureté intérieure.

C’est que quelque chose, en dehors de moi, autre que mes efforts ou ma volonté, pénètre dans les endroits secrets de mon âme, et cela, lorsque le cœur est purifié dans ses affections, désirs et motifs.

Que de fois nous avons résolu et pris l’engagement de prier, lu des livres sur la prière, parlé les uns avec les autres du grand besoin de la prière !

Mais quelle qu’en soit la raison, nous n’avons pas prié.

N’est-ce pas parce que nos cœurs sont occupés de nous-mêmes que nous ne sommes pas libérés des soupirs secrets, des désirs et des motifs qui souillent et défigurent l’âme ?

Troisièmement : " Celui qui a la pureté du cœur, qui a la grâce sur les lèvres… " (Proverbes, chapitre 22, verset 11).

La grâce a vite fait de chasser les pensées mécontentes, dures, amères.

Lorsque nous retournons parmi les gens désagréables, avons-nous la grâce sur les lèvres ?

Il est dit du Seigneur Jésus : " Que des paroles de grâce sortaient de sa bouche " (Luc, chapitre 4, verset 22).

Depuis des centaines d’années, on avait lu et relu dans la synagogue, ces paroles d’Esaïe : " L’Esprit du Seigneur est sur moi, car l’Eternel m’a oint pour porter de bonnes nouvelles aux malheureux. "

Mais lorsque cette merveilleuse figure se leva et cria : " Aujourd’hui, cette parole de l’Ecriture que vous venez d’entendre est accomplie ", alors vraiment, c’était la grâce qui parlait !

Elle dit toujours " aujourd’hui ", jamais " demain ".

Le Seigneur est toujours prêt à bénir sur le champ.

La grâce ! Oh ! que j’aime ce mot !

L’homme dont le cœur est purifié aura toujours la grâce sur les lèvres.

Il voudra sans cesse inviter les pécheurs à venir à Jésus, et à y venir maintenant, car le Seigneur n’a jamais dit à personne de venir demain.

Si nos cœurs sont purifiés, il y aura de la grâce sur nos lèvres et nous serons capables d’indiquer aux pécheurs la voix du salut.

Quatrièmement, dans le Psaume 73, nous lisons : " Oui, Dieu est bon pour Israël, pour ceux qui ont le cœur pur. "

Dans l’histoire de l’Enfant Prodigue, le frère aîné dit insolemment à son père : " Voici ton fils est revenu. "

Le père, en un tendre reproche, dit : " Voici, ton frère. "

Combien le père était bon pour ses deux fils ! Et pourtant, l’aîné est absolument incapable de sympathiser avec le prodigue ou d’apprécier la bonté du cœur paternel, et cela, quoiqu’il eût tous les biens de son père à sa disposition et fût pour toujours à ces côtés.

Il n’avait jamais goûté la bonté de son père, quoique celui-ci lui eût dit : " Mon fils, tout ce que j’ai est à toi. "

Tout était à lui, en effet, mais il n’en jouissait pas.

Ce n’est pas la faute de Dieu si les hommes ne goûtent pas son amour, mais parce que le cœur n’est pas dans les conditions voulues pour t’apprécier.

Dieu est infiniment bon pour tous les hommes, mais Il use d’une bonté particulière envers l’homme au cœur purifié et celui-ci sait apprécier cet amour.

Oh ! Que Dieu créé en nous la faim de ces choses !

Puissions-nous en être affamés, au point de ne pouvoir aller plus loin sans avoir un cœur lavé dans le sang !

Cinquièmement, le Psaume, chapitre 51, versets 10 et 13 dit : " Crée en moi un cœur pur… J’enseignerai tes voies à ceux qui les transgressent et les pécheurs reviendront à toi. "

Pourquoi ne pouvons-nous pas enseigner aux pécheurs les voies de Dieu ?

N’est-ce pas parce que nous les ignorons nous-mêmes ?

Moïse priait ainsi : " Fais-moi connaître tes voies " et Dieu répondit : " Je te donnerai du repos ".

L’homme au cœur pur sera capable de faire connaître aux autres les voies de Dieu.

Oh ! frère ou sœur bien-aimé, que vous en semble ?

Ne pensez-vous pas qu’un cœur croyant, droit, pur, plein d’amour tendre et compatissant, est la chose la plus précieuse au monde, une perle de grand prix ?

Ne vaut-elle pas la peine qu’on la recherche ?

Ne mettrons-nous pas de côté la frivolité, la vanité, la paresse, la léthargie, et ne crierons-nous pas à Dieu de fortifier nos cœurs afin que nous puissions recevoir de Lui ce don inestimable ?

Sixièmement, nous voyons dans 1 Timothée, chapitre 1, verset 9 et dans 1 Pierre, chapitre 1, verset 22, que l’Amour est la sixième grande bénédiction qui résulte d’un cœur pur.

En regardant en arrière, à 18 années de servie, la chose que je regrette le plus, c’est de ne pas avoir aimé davantage.

Certains chrétiens pensent que, lorsqu’ils n’ont pas d’antipathie particulière pour des gens désagréables et peu aimables, ils ont bien du mérite !

D’autres pensent qu’ils sont arrivés à un haut degré de piété lorsqu’ils ne commettent pas de péché extérieur.

Mais si le Christianisme est quelque chose, il doit être tout d’abord pratique et positif, non pas simplement négatif ; et l’amour, non pas simplement de l’émotion et du sentiment ; l’amour qui n’est que sentimental est sûr de périr.

Nous avons pris la résolution d’être aimables, mais nous ne le sommes pas.

Pourquoi ? Parce que nos cœurs ne sont pas purifiés.

Nous ne pouvons aimer comme Dieu aime et comme Dieu veut que nous aimions, qu’avec un cœur net.

En conclusion : Nous avons dans Marc, chapitre 1, l’histoire du lépreux qui vint à Jésus pour être guéri.

Relisons le verset 40 : " Il vint à Lui et Lui dit, d’un ton suppliant : Si Tu le veux, Tu peux me rendre pur. "

Une dame vint me voir un jour, dans une grande angoisse.

J’ai rarement vu une conviction de péché si profonde.

Monsieur Wilkes, me dit-elle, combien j’ai douté de la puissance du sang de Christ ! Dieu pourra-t-il me pardonner ?

Dieu lui avait révélé le péché de ce doute ; car il ne suffit pas d’y croire pour la rémission des péchés, mais il faut encore avoir foi en la puissance de ce sang merveilleusement précieux, pour purifier constamment du péché.

Nous nous agenouillâmes et priâmes ensemble. Et Dieu répondit, non seulement en pardonnant, mais en révélant à cette âme qu’il était possible d’avoir un cœur semblable à celui d’un enfant ; simple, transparent, purifié dans le sang de Christ.

Qu’il en soit ainsi pour chacun de nous.

A. PAGET WILKES

Cette causerie a Eté donnée à la Convention de Swanick, Angleterre, en 1915

221 - Une anesse obéissante

Une anesse obéissante, un prophète désobéissant Vieille histoire ! Oui, mai...

222 - Témoignages (suite)

Comment ils moururent Un aumônier des prisons, pasteur des Assemblées de Di...

223 - Evangélisation

Le dernier examen Deux fillettes discutaient avec ardeur de leurs familles...

224 - Témoignages

Les pécheurs de Cornouailles Une flotte considérable de jolis bateaux pêche...

225 - Délivrances

Un témoignage La Tempérance en a déjà provoqué et enregistré beaucoup de te...

226 - Pauvres mais heureux

Le pain quotidien " Jésus prit le pain et le bénit " Luc, chapitre 24, vers...

227 - Anecdotes

La légèreté des impressions On faisait remarquer un jour, à un prédicateur...

228 - Petites lueurs

Trois pensées de Gaston FROMMEL Après tout, la vie n’est qu’une expérience...

229 - Le meilleur est devant nous

Le meilleur est devant nous Regards sur l’avenir " Je dois être franc avec...

230 - Jésus au secours des pauvres

Une école irlandaise La Combe est une rue de Dublin qui, commençant près de...

231 - Petites lumières

Conversion d'un père par son fils J’ai connu un jurisconsulte, véritable ty...

232 - Les trois témoins

Les trois témoins Poème en prose Scène : Jérusalem après l’entrée triomphal...

233 - Les leçons de la nature

Considérez les oiseaux de l'air Par une belle journée d’automne, le 8 octob...

234 - L'amour d'une mère

Tenir sa mère en honneur Avez-vous jamais entendu l’histoire de ce garçon q...

235 - La onzième heure d'un soldat françai...

La onzième heure d'un officier français Le 31 juillet, mourait à Paris le l...

236 - Pour ceux qui souffrent

Pour ceux qui souffrent Il n’est personne dont la somme de bénédictions dan...

237 - Paraboles

La folie de la rose Un jour que je me promenais au jardin, il se mit à souf...

238 - Courage et lacheté

Un écolier modèle Le journal des Débats du 21 janvier dernier, contenait le...

239 - Poésies à la gloire de Dieu

Voir, savoir et pouvoir Voir, c’est savoir. Savoir, c’est pouvoir. Pouvoir,...

240 - Conversions

La conversion du Missionnaire John WILLIAMS Williams naquit à Londres en 17...