Conseils pour lire la Bible

Si quelqu’un me demandait ce qu’il faut faire pour lire la Bible avec profit, je répondrais d’abord : comprendre que seul Dieu peut l’illuminer par son Esprit ; et puisque Dieu veut que nous lui demandions ce qui nous est bon, il convient que nous implorions sa bénédiction avant de la lire, et pendant que nous la lisons.

Le Saint-Esprit est le meilleur des maîtres et un maître suffisant ; mais il ne s’ensuit pas qu’il réponde immédiatement à nos requêtes.

Nous pouvons avoir à demander bien des fois l’explication d’un passage avant d’être exaucé, mais l’exaucement est certain si nous cherchons patiemment la lumière dans le but de glorifier Dieu.

Il est extrêmement important de lire chaque jour et en suivant une portion de l’Ancien Testament et du Nouveau Testament.

1er- Parce que cela aide à la compréhension du texte. Choisir un chapitre préféré ici et là conduit à ne pas comprendre grand-chose aux Ecritures.

2ème – Aussi longtemps que nous habitons ce corps, le changement nous est nécessaire, même dans les choses spirituelles. Dieu y pourvoit par la grande variété que nous trouvons dans sa Parole.

3ème – Lire la Bible entièrement glorifie Dieu : En laissant ici et là quelques chapitres, nous disons en fait, sinon en paroles, que certaines parties sont meilleurs que d’autres, ou bien qu’il y a des pages inutiles.

4ème – Lire l’Ecriture régulièrement et d’un bout à l’autre peut nous donner une vue d’ensemble, donc aider à sa compréhension. Cela empêche de donner trop de valeur à certaines conceptions qui nous chérissons.

Les Ecritures contiennent tout ce qu’il a plu à Dieu de nous révéler de sa volonté.

Nous devons donc faire notre possible pour lire complètement le document qui l’exprime.

Je crains que de nos jours il y ait bien des chrétiens qui n’ont jamais lu entièrement la Bible ; et cependant ils pourraient le faire en quelques mois, en en lisant quelques chapitres chaque jour.

Il est nécessaire de méditer durant la journée sur ce que nous avons lu, soit sur une partie de notre lecture, soit sur le tout.

Quant aux commentaires, ils remplissent la tête de toutes sortes de notions et aussi de la Parole de Dieu ; mais lorsque le Saint-Esprit lui-même nous enseigne en réponse à la prière et à la méditation, c’est le cœur qui est touché et pénétré.

Or la connaissance intellectuelle enfle, et puis elle est essentiellement variable.

Que de fois nous délaissons quelque théorie, quelque opinion reçue, pour de nouvelles, lorsque nous lisons quelque commentaire qui nous semble meilleur ; quitte à les abandonner aussi par la suite pour d’autres.

Ce que le cœur a saisi rend généralement humble, joyeux, et conduit plus près de Dieu.

La connaissance acquise de cette manière-là ne se laisse pas ébranler par quelque raisonnement que ce soit, et comme elle a pris racine dans notre cœur, nous l’utilisons en l’appliquant à notre vie.

La puissance d'un livre

" Ma parole n’est-elle pas comme un feu, dit l’Eternel, et comme un marteau qui brise le roc ? "

Singulier ouvrage que cette Bible !

Un volume qui est une collection de 66 livres différents, écrits pendant un espace de 1600 ans par plus de 40 auteurs divers : rois, poètes, soldats, philosophes, pêcheurs, bergers, hommes d’Etat, douaniers.

Presque aucun de ces auteurs n’a pu communiquer avec l’autre, et pourtant ce livre possède une unité merveilleuse.

Quel autre ouvrage a été composé de cette manière ?

Prenez les 66 meilleurs livres de médecine écrits depuis 1500 ans pour les quarante meilleurs médecins, allopathes, homéopathes, hydropathes, etc…, et faites-en un volume, et puis tâchez de soigner un malade avec cela !

Les meilleurs livres de médecines et d’autres sciences ont vieilli au bout de 20 ans.

Seule la Bible n’a pas vieilli.

Elle se tient au niveau du progrès dans tous les âges.

On peut dire qu’elle devance la civilisation et qu’elle la conduit.

Tous les incrédules se sont acharnés contre elle sans pouvoir en enlever une page.

Toutes les puissances du monde se sont liguées pour la détruire ; elle a été réfutée, démolie, tournée en ridicule, brûlée, condamnée plus que tous les autres écrits, mais elle ressemble à une enclume qui use tous les marteaux.

Tous les systèmes, toutes les attaques, toutes les violences sont venues se briser contre elle sans pouvoir l’ébranler, tout cela a été balayé, détruit ; elle est restée et restera debout ; elle est aujourd’hui traduite dans plus de 900 langues et dialectes et répandue chaque année dans le monde en plus de onze millions d’exemplaires.

Et partout où ce livre passe, il produit des effets merveilleux.

C’est qu’il est le Livre de Dieu.

Les livres humains nous communiquent, nous infiltrent, pour ainsi dire, les pensées des hommes ; la lecture des romains pénètre le lecteur de pensées impures et coupables, les lui fait trouver bonnes, et adapte son esprit à ce genre de choses, de sorte qu’il vit en conséquence.

La lecture de la Bible nous fait connaitre les pensées de Dieu, la sagesse de Dieu, l’amour de Dieu ; elle nous en pénètre, façonne notre cœur et notre esprit et nous amène à vivre conformément à sa volonté.

N’avez-vous jamais entendu quelqu’un vous dire : " J’étais un malheureux ivrogne, la honte de ma famille et une plaie pour la société ; mais je me suis mis à étudier les mathématiques, la botanique ou un livre de morale, et, depuis ce moment, j’ai changé complètement changé ? "

- Eh bien ! je puis vous demander non pas un, ni dix, ni cent, mais bien des milliers d’hommes qui vous diront : " J’étais un misérable, sans paix, sans espoir, jusqu’au jour où j’ai connu la merveilleuse puissance de ce livre. Il a changé ma vie, j’ai été délivré de mes vices et la paix est entrée dans mon cœur et dans mon ménage. "

- C’est là un miracle que la Bible accomplit journellement.

" La Parole de Dieu est vivante et opérante, et plus pénétrante qu’aucune épée à deux tranchants, et atteignant jusqu’à la division de l’âme et de l’esprit, des jointures et des moëlles ; et elle discerne les pensées et les intentions du cœur."

Traité FAVRE – Extrait de sens unique

La puissance de la Bible

Partout où une nation païenne a été relevée au contact des blancs, la Bible en a été le moyen.

Elle agit au milieu des races les plus déchues : elle a opéré des miracles aux iles Fidji, dans l’Océan Pacifique, parmi les habitants de la Terre de Feu, aussi bien que dans les tribus sauvages de l’Afrique et dans les pays de civilisation avancée comme la Chine et le Japon.

Lorsque la reine Victoria reçut à Londres une députation de tribus africaines et que ces noirs lui demandèrent quelle était la source de sa puissance, la reine se fit apporter une Bible et la leur tendit en disant : " Voici le secret de la grandeur de l’Angleterre ! "

En effet, la Bible seule renferme les principes de régénération morale qui font la grandeur des caractères aussi bien que la force des nations.

Victor Hugo disait : " Ensemencez les villages d’Evangiles, une Bible par cabane. "

" Je voudrais voir dans toutes les maisons, avec le crucifix, un exemplaire des quatre Evangiles, lisait-on dans la Croix de Saintonge.

Il ne suffit pas de mettre en évidence l’image du Crucifié, il faut le faire connaître, il faut le faire aimer.

En France, certains qui se disent chrétiens ignorent la vie et l’oeuvre de Jésus-Christ.

Il faut que nous apprenions à connaître notre Divin Maître, et, pour cela, il faut étudier l’Evangile. "

Le grand écrivain anglais, Dickens, écrivait à son fils : " J’ai mis un Nouveau Testament dans ton bagage. C’est le meilleur livre que le monde n’ait jamais connu et qu’il ne connaîtra jamais. "

Mgr d’Hulst, ancien député, disait en 1893 : " Je suis convaincu que l’abandon de la lecture de la Bible depuis cent ans a été un grand malheur pour la Société chrétienne, une cause de faiblesse pour les âmes… "

Et l’Abbé Garnier : " L’abandon de l’Evangile est la grande cause de tous nos maux… "

L’Américain Lincoln, sous la présidence duquel l’esclavage a été aboli aux Etats-Unis, écrivait à son tour : " De ce livre si grand je n’ai qu’une chose à dire : C’est le meilleur don de Dieu à l’homme. Tout ce que le monde doit à notre Sauveur lui est donné par le moyen de ce livre.

Sans lui, nous ne pourrions pas savoir ce qui est juste et ce qui ne l’est pas. Tout ce qui fait le bonheur de l’homme, ici-bas et après, nous y est décrit. "

Peu après, en 1876, le général Grant s’écriait : " Tenez ferme à la Bible comme à l’ancre de sûreté de vos libertés ; gravez des préceptes dans vos cœurs et pratiquez-les dans vos vies.

C’est à l’influence de ce livre que nous sommes redevables de tous les progrès faits dans le sens de la véritable civilisation.

C’est à lui que nous devons regarder comme à notre guide pour l’avenir. "

Nous pourrions multiplier indéfiniment de semblables citations ; ce livre a présidé aux destinées du monde et établi une civilisation nouvelle sur les ruines de l’ancienne.

La valeur de l’âme humaine, l’égalité des hommes entre eux, l’émancipation de la femme, la liberté de conscience, la suppression de l’esclavage, tout ce qu’il y a de juste et de sain dans les revendications sociales, tout cela découle de la Bible et caractérise les races dont elle a fait l’éducation.

Les autres peuples ignorent ces choses et continuent à déchoir.

L’action indirecte de la Bible est aussi considérable que son action directe.

Aujourd’hui les peuples civilisés ignorent ou dédaignent en bonne partie le livre qui a été la source de leur développement.

Après avoir puisé dans le christianisme les idées apportées par Jésus-Christ, ils ont rejeté le Maître qui les avait énoncées et le volume à l’école duquel ils ont été formés.

Pour n’en donner qu’un exemple, les immortels principes de 89, la devise même de la Révolution française : " Liberté, Egalité, Fraternité " résument les principes même de l’Evangile.

Mais les flots de sang répandus ont démontré combien les hommes étaient loin de l’esprit de Celui qui est venu proclamer cet idéal dans le monde.

La Bible n’a une valeur éternelle et universelle que parce qu’elle est le livre des révélations divines ; elle renferme le message de Dieu à l’humanité.

Elle nous révèle la sainteté de Dieu qui nous condamne, son amour qui nous sauve ; elle nous parle de notre misère pour nous en délivrer, de notre péché pour nous communiquer le secret de la victoire ; elle nous apporte les consolations divines en nous mettant en présence de Jésus-Christ, le Sauveur du monde.

Ernest FAVRE

Y-a-t-il deux Bibles ?

Dans le Figaro du 12 décembre 1949, un envoyé spécial à Rome raconte une scène dramatique qui se serait déroulée quelques jours auparavant au Vatican.

Alors que le Pape venait de réciter des prières dans une chapelle de son palais, au milieu d’un groupe restreint de fidèles, un homme s’avança vers lui, s’agenouilla et lui remettant le paquet qu’il avait à la main lui déclara : " Très Saint-Père, voici le livre dans lequel j’ai jadis étudié l’erreur, et voici le poignard avec lequel j’ai eu l’intention de vous tuer. Je demande pardon… "

Pie XII prit le paquet inattendu, et avec compassion, étendit sa main en disant : " Mon fils, que Dieu te bénisse ! "

L’homme s’éloigna sans être inquiété.

Cet incident émouvant retient surtout notre attention lorsqu’on lit dans l’article l’explication suivante au sujet du contenu du paquet : " Le livre est une Bible protestante ; le poignard se compose d’une lame de Tolède que l’ouvrier, ancien combattant antifranquiste, rapporta d’Espagne, et d’un manche avec l’inscription : Mort au Pape ! "

Ainsi, le livre qui avait conduit cet homme dans l’erreur et qui avait provoqué ou confirmé son intention d’assassiner le Pape était une Bible protestante !

De là, à conclure que la Bible est un livre malfaisant, rempli d’erreurs, susceptible de pousser aux pires actions, il n’y a qu’un pas à franchir.

Nous ne serions pas surpris qu’à la lecture de cet article plus d’un catholique de bonne foi l’ait franchi, et ait senti, une fois de plus, son antipathie envers ces protestants dont le secret dessein serait finalement d’attenter à la vie du Pape.

La Bible catholique, elle, n’aurait jamais inspiré un aussi criminel projet !

Il faut pourtant, en face d’une ignorance aussi répandue, poser la question sans équivoque : oui ou non, y a-t-il deux Bibles ?

Une Bible catholique et une Bible protestante ?

La réponse est d’une simplicité enfantine pour quiconque a feuilleté une Bible éditée par les catholiques et une autre éditée par les Sociétés bibliques protestantes ; il n’y a pas deux Bibles, mais une seule !

La seule différence vient de ce que les éditions catholiques ajoutent, dans l’Ancien Testament, les livres appelés apocryphes ou deutérocanoniques.

Pourquoi cela ?

Un mot d’explication est nécessaire.

Les Juifs de Palestine dont l’Ancien Testament était le Livre Saint (la Loi et les prophètes) ont clôturé le " canon " biblique (c'est-à-dire le recueil des livres hébraïques admis à figurer dans cette Bible à la fin du 1er siècle après Jésus-Christ).

Désormais, le contenu de la Bible hébraïque n’a plus varié.

Mais les Juifs hellénistes, résidant hors de Palestine et surtout à Alexandrie, parlaient le grec plus que l’hébreu, et des traductions grecques de la Bible juive furent établies, parmi lesquelles celle dite des Septantes est la plus célèbre.

Ce sont ces Bibles grecques qui classent les livres dans un ordre un peu différent et surtout qui admettent dans leur " canon " plusieurs livres comme les livres des Macchabées, de Tobie, de Judith, de Baruch, de la Sagesse de Jésus fils de Sirach, de la Sagesse de Salomon, etc.

Ces livres n’ont jamais été reconnus comme ayant la même autorité et la même valeur que les autres ; bien qu’ils présentent un intérêt incontestable à la lecture, malgré des traits plus proches de la légende que de l’histoire.

On les a appelés : deutérocanoniques ; ou apocryphes, c'est-à-dire cachés.

Les éditions protestantes restent fidèles au canon hébreu, tandis que les Bibles catholiques suivent le canon grec.

Les Apocryphes ont été, chez les protestants, édités à part, et chacun peut les lire aisément.

A part cette différence, les Bibles catholiques et protestantes sont les mêmes, en ce qui concerne les textes.

Le Nouveau Testament est rigoureusement identique, et l’Ancien Testament comprend, dans les premières, ces quelques livres supplémentaires.

Nous ne parlons pas des notes explicatives sur le texte qui peuvent exister – surtout dans les Bibles catholiques – pour exposer l’interprétation de certains versets.

L’essentiel est d’affirmer que le texte biblique est bien le même.

Ils le savent bien, les nombreux catholiques et même les prêtres et séminaristes, qui se fournissent de Bibles auprès des Sociétés bibliques, parce qu’elles sont vendues à meilleur compte que les Bibles catholiques.

Pour revenir à la scène dramatique du Vatican, disons que l’homme au paquet n’a pas pu trouver dans la Bible protestante des erreurs, qui ne seraient pas dans la Bible catholique, car il n’y a qu’une seule et même Bible.

Ou bien alors, le livre en question n’était pas une Bible, mais un ouvrage de polémique comme il en existe, ici et là, sorti de la plume de quelque fanatique sectaire qu’on taxe facilement de protestant simplement parce qu’il n’est pas catholique.

La Bible – catholique et protestante – dit bien que la Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée à deux tranchants, pénétrante jusqu’à partager âme et esprit, jointures et moelles, pour juger les sentiments et les pensées du cœur. (Epître aux Hébreux, chapitre 4, verset 12).

Mais pas pour assassiner le Pape !

(Le christianisme au XX siècle)

F. MICHAELI

Comprendre la Bible

- C’est inutile, monsieur, je ne comprends pas la Bible, répondit un commerçant à celui qui la lui offrait.

- Et qu’est-ce que vous ne comprenez pas ? - Mais tout, c’est un livre incompréhensible.

- Voyons monsieur, reprit l’autre, voulez-vous que nous cherchions un passage facile à saisir ?

Et feuilletant sa Bible, il mit le doigt sur ces mots : Exode, chapitre 20, verset 15 ; " Tu ne déroberas point. " Il me semble que voilà quelque chose que vous pouvez comprendre, n’est pas ? Il faut seulement le mettre en pratique.

L’important n’est pas tant de comprendre toute la Bible que de nous soumettre à ce que nous pouvons comprendre à mesure que nous le saisissons ; c’est ainsi que chaque jour elle nous devient un peu plus claire.

Toute la question est de savoir si nous voulons lui obéir.

Si nous ne voulons pas, à quoi servirait-il de la comprendre ?

Et si nous le voulons, Dieu nous la révèle au fur et à mesure de nos besoins.

Croire et Servir

Un livre unique

Ce livre unique, c’est la Bible.

Parmi les soixante-six écrits qui le composent, certains remontent à deux milles ans avant Jésus-Christ et cependant aucun n’est plus actuel.

Tandis que les autres livres perdent rapidement leur valeur et que l’action exercée par les meilleurs n’est que temporaire et locale, l’influence de la Bible est aujourd’hui plus grande que jamais.

Elle a été traduite en cinq cents langues ; plus de trois cent trente millions d’exemplaires complets ou de certaines de ses parties ont été vendus depuis un siècle ; la vente annuelle s’élève à dix millions d’exemplaires.

En France seulement, elle a été réimprimée environ mille fois.

Sa valeur est donc universelle.

Elle s’adapte à toutes les races, tous les caractères, toutes les mentalités.

La meilleure preuve

Spurgeon racontait la conversation entre une pauvre femme et un incrédule :

Ce dernier lui demandait :

- Qu’est-ce que vous lisez ?

La femme répondit :

- Je lis la Parole de Dieu.

- La Parole de Dieu ! Qui vous a dit que c’était la Parole de Dieu ?

- Dieu lui-même.

- Vraiment ! Et quelle preuve avez-vous ?

La pauvre femme, levant les yeux vers le ciel, lui dit :

- Pouvez-vous me prouver que le soleil existe ?

- Bien sûr ; la meilleure preuve c’est qu’il me réchauffe et m’éclaire.

- Parfait ! répliqua la pauvre femme, toute heureuse. La meilleure preuve que la Bible est la Parole de Dieu, c’est qu’elle me réchauffe et qu’elle m’éclaire aussi.

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Eglise de Christ et régimes de ce monde (Nous rapportons ici, le point de v...

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Qu'est-ce qu'un chrétien biblique ? Avant de répondre à cette question, pos...

180 - Etudes diverses II

Conversation avec Christ Si l’on me demandait ce dont le diable, le monde e...