Le vieux Sérapion a beaucoup voyagé durant sa vie ; depuis de longues années il n’a même plus un domicile fixe.

Il a parcouru tantôt son pays natal, qui est l’Egypte, tantôt la Terre Sainte, tantôt les villes de la Grèce ou les environs de Rome.

- Si tu restais chez nous, père ! Il est grand temps de t’arrêter, ton corps vieilli réclame le repos.

Ainsi parlaient ceux qui hébergeaient le vieillard, attirés qu’ils étaient par ses discours, marqués du sceau de la sagesse et de l’amour, sur le Christ et la vie chrétienne.

- Je ne le puis pas, répondait le vieux Sérapion. Mon cœur ne me le permet pas. Il cherche le repos ; voilà pourquoi je marche ; il le cherche et ne le trouve pas ; il cherche dans les hommes la vérité, la vie d’amour ; mais, hélas ! en eux ces vertus manquent.

- Que faire, s’il n’y en a point ? lui disait-on.

- Il faut les propager. Les marchands montrent bien et expédient leurs échantillons dans les pays lointains pour tâcher d’éveiller le désir d’acheter leurs marchandises.

Imitons leur exemple avec la vérité évangélique. Il nous faut la porter partout ; il nous faut la montrer et la faire désirer.

- Il y a peu d’amateurs pour ce bien-là, disaient ses interlocuteurs en secouant la tête.

- Qui sait ? répliquait Sérapion. On a vu croître des arbres jusque dans les fentes des roches escarpés ou sur le haut d’une tour.

D’où venaient-ils ? en traversant la forêt, le vent s’était emparé de quelques graines, les avait portées sur ses ailes et semées çà et là.

Un grain est tombé sur la tour, l’autre dans la fente du rocher, et voilà, un arbre en était sorti.

C’est ainsi qu’il faut répandre la semence de Christ dans les âmes des hommes.

Et c’est là ce que je fais ; peut-être poussera-t-elle quelque part.

" Que de place vide il y a encore, soupirait-il ; comment s’arrêter et laisser là la graine ? il faut parcourir le champ de Dieu, la terre, qui est bien vaste. "

Et l’infatigable voyageur prenait son unique bien, un manuscrit de l’Evangile, puis il poursuivait sa route.

Jadis il avait été riche, possesseur de terres et d’un grand commerce, mais il avait tout abandonné.

- Je n’avais plus le temps de m’en occuper, disait-il à ceux qui l’interrogeaient. Ces préoccupations m’empêchaient de penser.

Voulais-je réfléchir sur le sens de la vie ? on me parlait des prix du marché. Je voulais me consacrer à l’œuvre de Dieu, mais les soucis du ménage m’en détournaient.

Un vaisseau ne peut pas prendre la mer aussi longtemps que les ancres le retiennent. Il faut ou qu’il reste en place ou que l’on coupe les amarres : pour être libre, je les ai coupées.

N’ayant point de domicile, Sérapion était, en effet, absolument libre.

Libre de biens et libre de soucis.

Tout son avoir était une pièce de drap grossier pour couvrir son corps et protéger son Evangile.

- C’est la corbeille, c’est le sac de semences de Dieu, disait-il, en désignant son livre. Quoi qu’on y prenne pour semer, toujours il est plein.

Et plus on avance, plus est gros le grain que l’on y puise.

C’est avec ce sac à semences que Sérapion allait de village en village et de pays en pays.

Il arrivait bien que l’on ne voulait pas l’écouter ; on ne s’arrêtait pas même pour échanger une parole avec lui.

Alors, s’asseyant tout seul au milieu d’une place publique, ou d’un carrefour, il répandait des larmes amères qui coulaient le long de ses joues ridées.

- Pourquoi pleures-tu, vieillard ? lui demandait-on en l’écoutant ; es-tu malade ? as-tu quelque chagrin ?

- Un grand chagrin, répondait-il ; le Maître m’a confié ainsi qu’à mes compagnons de route, un grand trésor, et voici nous l’avons perdu ; que ferons-nous ? comment retournerai-je auprès de mon Seigneur et que lui dirai-je ?

- Où sont tes compagnons ?

- Ils se sont dispersés en renonçant à retrouver le trésor du Maître.

Rempli d’étonnement, le peuple examinait les haillons de Sérapion et son corps décrépit.

- Quel maître as-tu donc ? quel trésor a-t-il pu te confier ? tu as l’air d’un mendiant.

- Mon Maître ne considère pas l’extérieur de son serviteur, répondait le vieillard ; au mendiant comme au roi il a confié le même trésor.

- Quel trésor un mendiant peut-il avoir ? demandait-on encore.

- L’âme, disait Sérapion. Le Seigneur nous a confié à tous, sur cette terre, ce qu’il a de plus précieux ; son image, sa ressemblance, afin que nous la gardions et l’ornions et l’enchâssions dans une vie bonne. Et nous, comment employons-nous ce trésor ?

- Ah ! voilà où il en veut venir, s’écriaient quelques-uns qui, devenus pensifs, s’arrêtaient pour s’entretenir encore avec lui, tandis que d’autres l’invitaient à entrer chez eux.

En le reconduisant, plusieurs lui offraient de l’argent, de la nourriture, un vêtement….

- Merci, disait-il, donnez à ceux qui ont besoin et qui souffrent. Pour moi, c’est là un fardeau inutile.

Et, s’enveloppant de sa couverture, serrant l’Evangile sur son cœur, il allait plus loin, vers d’autres gens, pour chercher un nouveau champ à ensemencer au nom de Christ.

Un fois, il resta même sans couverture.

Il était arrivé avec un disciple à Alexandrie.

C’était en hiver, il ne faisait pas aussi froid que chez nous, cependant l’air était vif.

A l’extrémité de la ville, il rencontre un mendiant qui n’avait pour tout vêtement qu’une ceinture en grossière toile autour de ses reins.

Sérapion dit alors à son disciple de poursuivre sa route et lui, il s’arrête près du mendiant.

Il pensait : " que d’autres passent près du pauvre et le laissent grelotter, c’est triste, sans doute, mais, hélas ! compréhensible : les hommes ignorent ou bien ont oublié Jésus et ses paroles :
" J’étais nu et vous m’avez vêtu ! "

Mais, pour moi, c’est différent ; je porte, serré contre mon cœur, l’Evangile où ces paroles sont écrites. Comment pourrais-je ne pas partager avec ce malheureux ?

Il me communiquera de son froid, je lui donnerai de ma chaleur ; auparavant j’avais chaud et lui froid ; qu’il se réchauffe maintenant et que j’aie froid. "

Sérapion donne donc au mendiant sa couverture et lui prend sa ceinture.

C’est ainsi qu’il entre dans la ville.

Il y rencontre une personne, qui, le reconnaissant, lui dit tout étonnée :

- Père Sérapion, qui t’a dépouillé ?

- Ce saint livre, répondit-il en montrant l’Evangile.

Son interlocuteur s’étonne encore plus, et, pensant que Sérapion n’est pas dans son bon sens, passe outre.

Il n’avait pas compris le sens des paroles du vieillard.

Une autre personne, sans lui faire de questions, ôte son vêtement de dessus et l’en couvre.

- Que le Seigneur t’accorde, pour cet habit que tu me donnes, un vêtement incorruptible dans ses demeures éternelles.

C’est par ces paroles que Sérapion remercie le brave homme, puis il se rend sur la place publique.

Là un triste tableau se présente à ses yeux.

On vendait comme esclave un pauvre homme insolvable.

- Jésus, le Fils de Dieu, s’est vendu pour nos dettes à tous, dit Sérapion à la foule : ne se trouvera-t-il pas, parmi vous, une âme compatissante qui se chargera de la dette de cet indigent ?

Dans la foule on se met à rire.

- Il parait que tu es riche ; fais-le donc toi-même.

Alors Sérapion s’approche du créancier et lui dit :

- Rends le père aux enfants et prends-moi ou vends-moi comme esclave à sa place.

Le créancier jette un regard de mépris sur le corps caduc de Sérapion et lui dit rudement :

- Tu ne vaux pas même comme pâture pour les chiens, tu n’as que des os !

Sérapion se tait et se retire.

Mais une idée lumineuse a traversé son esprit ; il s’approche du créancier et lui présente le manuscrit de l’Evangile.

Le manuscrit ayant de la valeur et la dette étant insignifiante, le créancier consent à lâcher prise ; dans sa joie, le pauvre homme voudrait se prosterner aux pieds de son bienfaiteur, mais celui-ci l’en empêche.

- Remercions Dieu, lui dit-il, de ce qu’il nous a accordé une si grande joie.

Sérapion n’était pas moins heureux que le débiteur libéré.

Puis, lorsque le disciple dit à Sérapion :

- Père, où est ton Evangile ?

Sérapion répondit :

- J’en ai fait ce qu’il m’a toujours enseigné dans cette parole : " Vends ce que tu as et le donne aux pauvres ! "

C’était mon bien, je l’ai donné. Maintenant j’ai, je le crois, de quoi payer ma place à la table du Seigneur.

C’est ainsi que Sérapion se sépara de son dernier bien et dès lors il n’eut plus que ce qui couvrait son corps.

Il allait par le monde, comme les oiseaux de Dieu, en réunissant autour de lui ceux qui avaient le cœur ouvert pour les choses d’en haut.

Dans ses pérégrinations il arriva à Athènes.

La vie bruyante de la grande cité roulait ses vagues comme la mer : personne ne fit attention à Sérapion, et le pauvre vieillard, isolé dans la ville étrangère, passa trois jours sans manger.

Tourmenté par la faim, il commence à implorer la pitié des passants.

- Hommes athéniens, sauvez-moi de mon ennemi, ne lui permettez pas de me perdre !

- Qui est ton ennemi et qui es-tu ? lui demande-t-on ; quel danger cours-tu ?

- Je suis Egyptien, répond-il ; depuis des années je fais un long et pénible voyage. Je veux de la terre m’élever au ciel, vers mon Dieu, mon Père céleste, mais mes ennemis s’y opposent dès les premiers jours de ma vie.

Autrefois ils étaient trois : mes passions déréglées, l’amour de l’argent et la gourmandise. Il y a longtemps que j’ai dompté mes passions ; j’ai aussi arraché de mon cœur l’amour de l’argent, mais je ne puis oublier mes entrailles.

La faim se fait sentir comme auparavant, elle tourmente jusqu’à ce qu’on lui donne sa pâture.

Je vous en supplie, mes frères, aidez-moi à m’en débarrasser, autrement cet ennemi m’ôtera la vie et je n’ai pas encore parcouru tout le chemin jusqu’à Dieu.

Les Athéniens apprécièrent le discours de Sérapion.

- Il parle bien, dirent-ils.

- Pourvu qu’il ne soit pas un trompeur, objecta quelqu’un.

- Eh bien, je vais le mettre à l’épreuve, dit un autre, à voix basse, à son voisin.

Et là-dessus, il donna à Sérapion une grosse pièce d’argent.

- Tiens, apaise ton ennemi !

Sérapion se rend alors chez un boulanger, mais son bienfaiteur le suit et l’observe.

Sérapion présente l’argent, prend un petit pain et se met à le manger.

Lorsque le boulanger lui eut rendu le surplus du prix, Sérapion regarda autour de lui, et, apercevant des mendiants, il leur donna cet argent.

- Je me suis débarrassé pour aujourd’hui de mon ennemi, dit-il, mais, vous, vous êtes encore aux prises avec lui ; chassez-le maintenant.

Alors ceux qui avaient suivi Sérapion s’approchèrent et s’entretinrent longuement avec lui.

- Comment peux-tu vivre ainsi ? lui demandèrent-ils.

- De quelle manière, voulez-vous dire ?

- Mais oui, en ne possédant rien. Tu pourrais mourir de faim.

- Vous voyez bien que je n’en suis pas mort. Je suis devenu vieux et je pense que j’irai ainsi jusqu’au bout.

Il ne faut pas trop s’occuper de soi-même, mais penser davantage à Dieu et avoir le souci de son âme plus que de son pain.

Un long entretien instructif s’engagea.

Les pensées de Sérapion étaient nouvelles pour ces gens, ils y réfléchissaient.

La semence divine tombait ainsi dans de nombreux cœurs.

Une semaine ou deux plus tard, l’infatigable voyageur reprit sa route, et, dans une autre contrée, au milieu d’autres auditeurs, on put voir de nouveau les haillons de sa misère.

Une fois seulement Sérapion demeura longtemps dans la même localité, grâce à une circonstance particulière.

Il avait rencontré un bouffon sur la place publique d’une grande cité.

Bel extérieur, yeux intelligents, cet homme avait tout pour amuser le peuple, surtout par ses plaisanteries indécentes.

Et la foule de rire et d’applaudir !

Encouragé par l’approbation générale, le bouffon s’efforçait de se surpasser lui-même.

Sérapion attendit la fin de la représentation, et, lorsque le bouffon se disposa à rentrer chez lui, Sérapion s’approcha et lui dit :

- Ami, es-tu satisfait de tes succès ?

- Très satisfait. N’as-tu pas vu comment la foule accueillait mes plaisanteries ? Que pourrais-je souhaiter de plus ?

- Vraiment ! répliqua Sérapion avec des marques d’étonnement. Tu es content de si peu ? tu as si bonne tournure ; tes yeux pétillent d’intelligence et le rôle de bouffon te suffit ?

- Que veux-tu ? …. il faut bien qu’il y ait aussi quelqu’un pour faire le bouffon !

- Oui, répondit Sérapion, la vie a beaucoup d’exigences, mais ne faut-il pas se demander toujours ce qui est le plus utile ? les petits enfants ont besoin d’une bonne, d’un tas de décombres ou d’immondices, par conséquent d’un balayeur ; mais t’engagerais-tu comme bonne d’enfants ou comme balayeur ?

- Pour cela non, dit en riant le bouffon. Je pourrais faire quelque chose de mieux.

- Par exemple,  ….. être bouffon ?

La conversation captiva si bien le bouffon qu’il emmena Sérapion dans sa demeure.

En y pénétrant, celui-ci constata que son hôte avait toute une famille, femme, petits-enfants et deux belles jeunes filles.

" Que deviendront-elles ? se demanda Sérapion le cœur serré ; sur quoi il dit à son hôte :

- Il fait bon chez toi ; je m’y plais ; achète-moi comme esclave ; je ne demanderai que peu et je te servirai avec fidélité.

L’idée d’avoir un esclave plut au bouffon ; il acheta donc Sérapion pour une faible somme d’argent et Sérapion s’installa dans la maison.

Le premier levé, il faisait tout le travail en s’efforçant de contenter chacun.

Tout était accompli aimablement, et, quant aux enfants, très attachés au vieux serviteur, ils l’entouraient à l’envi dès qu’il avait un moment libre.

- Grand-père, raconte-nous quelque chose !

Et grand-père racontait ; il avait beaucoup vu et savait présenter toutes choses sous un jour qui lui était propre.

Les enfants l’écoutaient, retenant leur souffle, et, restés seuls, ils réfléchissaient longuement, profondément sur ce qu’ils avaient entendu.

Au bout d’un an ils étaient tellement changés que père et mère ne les reconnaissaient plus.

Du reste, le père aussi n’était plus le même.

- Sais-tu vieillard, dit-il un jour, mon métier ne me plaît plus. J’en ai honte à cause de mes enfants. Oh ! s’ils m’entendaient quand j’amuse la foule.

- C’est vrai, répondit Sérapion avec calme, ils n’entendraient rien de bon. C’est une triste chose quand le père a honte de son métier.

- Eh bien voici, je ne serai plus bouffon ; j’ai acheté un morceau de terre et je vais désormais me livrer à l’agriculture.

- Que le Seigneur te vienne en aide ! s’écria Sérapion.

Le bouffon tint parole. Il se mit à cultiver la terre.

Quant à Sérapion, il rapporta à son maître l’argent que celui-ci lui avait donné pour son service.

- Tiens, dit-il, mon œuvre est achevée ; tu as trouvé un travail digne de toi, tu n’as donc plus besoin de moi ; dès lors je suis libre ; voici ton argent ; laisse-moi partir.

Son hôte voulait le retenir.

- Reste avec nous, tu seras comme un membre de la famille ; désormais c’est nous qui te servirons.

- Je ne le puis pas, répondit le voyageur de Dieu. Mon voyage n’est pas à son terme ; il faut que je continue. Tu as trouvé le bon chemin, mais dans le monde il y a beaucoup de bouffons encore.

Ils s’occupent de tout sauf des affaires de Dieu. Sous différentes formes ils font des folies.

Ne faut-il pas aller frapper à la porte de leur âme et leur dire : " de quoi vous occupez-vous, à quoi dépensez-vous votre vie ?

- Prends au moins ton argent, tu l’as bien mérité.

- Eh ! qu’en ferai-je ? peut-on évaluer une âme d’homme au prix de l’argent ? tu t’es converti à Dieu, toi et ta famille, est-ce le moment de parler de paiement pour la peine ? acquittez-vous de vos dettes et de vos vœux envers le Seigneur, mais non pas envers moi.

Là-dessus, Sérapion dit adieu à la famille, prit son bâton et recommença son voyage.

Après s’être rendu à Rome, il rentra dans son pays natal où, avancé en âge, il acheva paisiblement son pèlerinage terrestre.

Il n’eut rien à léguer à personne, mais il emporta au ciel, vers son Dieu, le grand trésor d’une âme qui a déposé des richesses cachées dans un grand nombre de cœurs.

Pétroff (prêtre de l’église grecque en Russie)

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