Amitié

Une des suprêmes douceurs de la vie, c’est d’entrevoir une âme sœur dans un étranger ou dans une personne depuis longtemps côtoyée.

Un choc, une douleur, une joie, une commune indignation révèlent l’âme à l’âme et nous sentons qu’en marchant chacun vers la vérité, vers la justice, vers la vie, nous marchons l’un vers l’autre.

Nous voulons nous rencontrer, nous pénétrer, nous faire connaitre.

Il nous semble que, nous cherchant dans le brouillard, nous nous apercevons très grands.

Un peu d’admiration précède les amitiés naissantes.

On désire un ami meilleur que soi-même.

On se rapproche, on s’examine et hélas ! on se découvre de petits côtés !

Il y a des amitiés désirées qui sombrent au premier face à face.

Quelquefois, l’un seulement des deux trouve l’autre aimable et grand.

Alors naît une affection de disciple à maitre, sentiment qui peut être un puissant stimulant pour le bien mais qui ne mérite pas, à proprement parler, le nom d’amitié.

Être amis implique la réciprocité : on veut donner et recevoir ; être repris et reprendre ; aider, soutenir et s’appuyer.

Parfois nos imperfections, reconnues et avouées, au lieu de nous séparer, peuvent devenir une sorte de lien.

L’ami véritable travaille à parfaire à mon insuffisance ; il m’entrevoit non tel que je suis en toutes mes actions, mais tel que j’ai été aux heures les plus lucides, tel que je serai si je me réalise.

L’amitié véritable naît et se développe par une commune bonne volonté à nous dépasser.

Chacun est plus tranquillement sûr du désintéressement et de la vaillance de son ami que de la sienne propre, et, en un sens, ce qu’il veut être, l’autre l’est déjà, l’a été ou du moins très certainement le sera.

Il me plairait de n’appeler amies que les personnes qui travaillent ensemble à devenir plus sincères, plus simples, plus généreuses, qui sont unies pour le devoir, pour le bien et qui veulent leurs amis désintéressés, héroïques, généreux avec autant de volonté et de force qu’elles aspirent elles-mêmes à l’esprit de sacrifice, à l’héroïsme, à la générosité.

Car vouloir pour soi l’abnégation, le dévouement, et pour les autres le plaisir, c’est vouloir donner et non-recevoir, ce n’est pas être ami, c’est être orgueilleux.

Ce n’est pas non plus par amitié que ceux-là se recherchent qui espèrent tirer les uns des autres, quelque profit matériel, quelque recommandation utile, quelque lustre, quelque avantage social, quelque plaisir.

On peut aimer à jouer ensemble au lawn-tennis ou au volant et n’être pas amis.

L’amitié est le seul lien vraiment libre qui nous unisse aux hommes ; on ne choisit ni ses compatriotes, ni ses frères, ni ses parents, on ne choisit sa femme qu’une fois ; on se lie à ses amis d’une façon de plus en plus intime, ou bien on relâche l’attache.

Il est brai que " bien aimer et cesser d’aimer sont choses incompatibles " ; mais bien aimer, aimer pour le Bien, implique l’obligation pénible de nous séparer de ceux qui voudraient nous retenir sur la route que nous ne devons pas suivre, de ceux que, décidément, nous ne pouvons entrainer où il faut.

C’était en Espagne, il y a bien longtemps ; j’étais une jeune fille, ma mère m’avait permis d’aller de St Jean-de-Luz au Cap du Figuier avec un de mes cousins qui avait alors onze ou douze ans.

Du bon pas des jeunes, nous étions arrivés le matin dès neuf heures au but de notre promenade et de là, montés au couvent de la Guadalupa où nous avions déjeuné à dix heures d’un poulet frit à l’huile.

Que faire ? rentrer plus tôt qu’à l’heure convenue ?

Non pas ; à l’âge de Henri cela eût paru bien plat.

Et nous voilà en route pour les crêtes, en avant, toujours plus loin.

Le vent de mer nous donnait des ailes, l’Océan était bleu, silencieux, l’horizon immense.

Je jouissais de toutes mes fibres.

Tout à coup, Henri dit :

- Nous sommes très loin, revenir par le même chemin pour l’heure du train n’est guère possible, si nous descendions directement ?

- Tu as raison, voilà tout juste un chemin.

Et, doublant le pas, nous tournons le dos à la mer.

Il était deux heures : le soleil dardait directement sur nos têtes, la montagne grandissante coupait le vent du large, le chemin se creusait ; à droite et à gauche, la terre sèche et jaune s’élevait au-dessus de nos têtes :

- Pas si vite, Henri, m’écriai-je, je n’en peux plus, je vois rouge.

Et je m’assis sur le talus avec l’impression que je brûlais vive.

Mais lui se mit à courir.

Un tournant du chemin le cacha à mes yeux et j’eus peur d’être seule, en Espagne, dans ce chemin creux !

J’étais indignée de la conduite de mon jeune chaperon ! et, la colère, me donnant des forces, je courus après lui.

Bientôt je l’aperçus : blotti sous un maigre buisson, il m’attendait.

A mon approche, il se leva :

- Mets-toi là, à l’ombre, dit-il ; tu comprends, la tête me tournait aussi ; si je m’étais arrêté, nous aurions eu des insolations tous les deux. Mets-toi là.

Je m’assis à demi-morte. Il continua :

- J’ai espéré que quand tu serais seule, tu te déciderais à te lever et que tu pourrais courir comme moi. Si tu n’étais pas venue, je serais retourné te dire qu’il y a de l’ombre ici. Je ne pouvais pas te porter, moi, vois-tu.

- Elle est maigre, l’ombre, dis-je ; nous n’arrivons pas à nous y abriter tous les deux ! Il vaut mieux continuer à marcher.

- Oui, si tu peux.

Nous reprîmes notre chemin creux d’un bon pas.

Nous arrivâmes, non sans fatigue, mais à l’heure voulue, comme il convenait.

J’avais l’impression forte que Henri m’avait sauvé la vie.

Entre amis, il n’est pas urgent de marcher de front, mais il faut marcher.

Il n’y a d’amitié que dans le mieux.

Une amitié qui nous entrainerait loin de notre idéal est un lien funeste ; le rompre est pour nous-même et pour l’ami ce qu’il y a de plus bienfaisant, car qui sait si la quiétude qu’il éprouve à nous sentir avec lui dans le chemin creux ne l’endort pas sur les dangers qu’il y court ?

En avant ensemble !

Telle est la devise raisonnable d’une amitié pour le bien et il n’y a pas d’autre amitié désirable.

X...

Jésus

Comment se fait-il que la vie de tant de chrétiens soit si fort au-dessous de ce qu’elle devrait-être ?

C’est que, ils n’ont avec Jésus que peu ou même point de rapports intimes.

De là, ces doutes, ces craintes, qui affaiblissent, qui paralysent la vie chrétienne.

Oh ! qu’il est douloureux de voir exister une pareille froideur entre Christ et une âme qu’Il a rachetée par son sang précieux !

Est-il donc si difficile de s’approcher de Lui ?

Certes, non.

Malgré sa grandeur infinie, quoiqu’Il soit le créateur des êtres et des mondes, il n’est pas dans l’univers tout entier, de personne aussi facile à aborder que Jésus ; car Il est, le péché excepté en tout semblable à nous-mêmes.

Sa nature divine est revêtue d’humanité ; son amour est humain ; sa compassion est humaine ; son sourire est humain.

Si donc nous allons à Lui dans la tentation, nous sommes en présence de Celui qui a été tenté en toutes choses, comme nous ; si nous allons à Lui dans le deuil, nous sommes en présence de Celui qui a connu la douleur et qui a pleuré sur la tombe d’un ami.

Si nous apportons à ses pieds nos infortunes, notre pauvreté, nos besoins, nous avons à faire à Celui qui, sur la terre, fut pauvre, sans amis, sans même un lieu où reposer sa tête fatiguée.

D’ailleurs, tout dans la personne de Jésus, doit nous encourager à nous approcher sans crainte ; car enfin, si jamais la gloire nous a charmés, la beauté, attirés, l’amour, gagnés, la douceur, subjugués, la sympathie, calmés ; si jamais la fidélité nous a inspiré confiance, tout cela est en Jésus et doit nous inciter à aller à Lui.

Tout en Lui est grand, tout en Lui est aimable, et si nos cœurs savent le comprendre, nous n’aurons pas besoin d’encouragements pour aller à Lui et lui dire toutes les émotions de notre cœur, toutes les circonstances de notre vie.

Prenez tout ce qu’il y a de tendre dans l’amour, tout ce qu’il y a de fidèle dans l’amitié, tout ce qui est sage dans le conseil, tout ce qui est bienfaisant et doux dans la sympathie la plus profonde ; faites-en un tout, une personnalité : c’est Jésus !

De plus, Jésus n’est-il pas votre frère, votre ami, votre Dieu, votre avocat auprès du Père, votre représentant dans le ciel où Il est allé vous préparer une place ?

Il vous connait par votre nom, et il n’est pas une heure de votre vie, pas une circonstance de votre histoire, pas une émotion de votre cœur, à laquelle son amour ne prenne part ; n’est-ce pas assez ?

Que faut-il de plus pour vous attirer à ses pieds ?

Ah ! plutôt, dites-lui tout : les angoisses de votre cœur, vos découragements et vos chutes.

Parlez-lui de vos infirmités corporelles et spirituelles, de votre santé défaillante, de ces lassitudes, de ces nuits sans sommeil, que Lui seul connait.

Dites-Lui votre crainte de la mort.

Dites-Lui combien le cercueil vous parait affreux et l’éternité incertaine et voilée.

Dites-Lui que vous l’aimez peu et que vous souhaitez de l’aimer plus que tout au monde.

Dites-lui que vous voulez croire, mais que votre foi est chancelante.

Dites-Lui que vous désirez lui obéir et que sans cesse votre volonté se rebelle contre la sienne.

Dites-Lui tout : joies et douleurs ; en un mot, tout ce que vous ne voudriez pas dire et même laisser deviner à aucun être humain.

Veuves, dites-Lui votre désolation.

Déshérités de la vie, contez-Lui ces amertumes et ces désappointements qui abreuvent votre cœur de tristesse.

Coupables, parlez-Lui de ces remords qui empoisonnent vos jours.

Allez tous, et abîmez-vous tout entier dans l’amour de Jésus, lavez-vous dans le sang de Jésus, appuyez-vous sur le sein de Jésus et apprenez à faire de Jésus votre ami intime.

Peut-être êtes-vous sous le coup d’une grande difficulté qui vous étreint ; la situation vous semble désespérée, vous ne voyez aucune issue possible, vous vous livrez au désespoir ?

Demeurez-vous anéanti, paralysé, comme s’il ne vous restait plus aucune ressource ?

Avez-vous oublié que le remède suprême est là, tout prêt, à votre portée ?

Allez, dites tout à Jésus, et vous aurez la délivrance.

Prenez-Le pour conseiller, prouvez-lui votre confiance en remettant tout ce qui vous concerne à sa puissance, à sa sagesse, et vous verrez s’Il ne vous guide pas à travers toutes les difficultés de votre position ; s’Il n’aplanit pas votre chemin raboteux, et s’Il ne redresse pas votre sentier tordu.

En avant donc, chrétiens ! forts, désormais, de ce secret qui consiste à tout dire à Jésus, marchons sans crainte dans le sentier de la vie, certains qu’Il sera avec nous à travers tout et nous fera triompher de tout !

CHATELANAT

A travers les revues d'Europe et d'Amérique

Le Mac Lure’s Magazine de New-York publie un article de T. – B. Bancroft qui raconte l’audience qu’il obtint d’Abraham Lincoln, pendant la guerre civile, en vue de lui demander une faveur pour un de ses amis.

Lincoln consacrait deux heures environ chaque semaine pour recevoir le public.

Certaines personnes restaient des semaines à Washington avant de pouvoir obtenir leur tour.

La réception avait lieu dans une pièce divisée en deux parties.

Au fond, une sorte de barrière avec une petite porte séparait le reste de la salle d’avec un carré où était assis Lincoln et où chaque visiteur entrait seul.

Laissons parler l’auteur :

" Le Président venait juste d’entrer, l’air fatigué et préoccupé.

Mais ses yeux étaient clairs, calmes, honnêtes quoique perçants et scrutateurs.

On voyait en lui un homme que l’on ne pouvait tromper et pourtant incapable lui-même d’aucune fraude.

" Comme j’arrivais, poussé par la foule à la barrière, je vis qu’il tenait à la main un papier qu’il lisait, en regardant de temps en temps, avec un regard d’aigle, l’homme en face de lui.

" Soudain, il laissa tomber le papier, étendit son long bras et son doigt vers son visiteur et lui dit.

- " Qu’est-ce qu’il y a ?

" L’homme bégaya et répondit :

- " Rien.

- " Je vous dis qu’il y a quelque chose. Vous ne m’avez pas regardé en face depuis que vous êtes là. Même maintenant, vous regardez par la fenêtre mais non pas dans mes yeux.

" Puis, jetant le papier sur les genoux de l’homme, il cria :

- " Emportez çà ! Il y a quelque chose de louche ! Je ne veux rien avoir à faire avec !

" Et l’individu déconfit, se retira.

Je n’ai jamais su quelle était sa requête.

" Ce fut ensuite au tour d’un jeune homme qui venait, avec un volumineux dossier, implorer le pardon de son frère qui s’était échappé du camp de guerre, avait été rattrapé et condamné à mort pour désertion.

" Lincoln lut les documents, patiemment. Le général avait écrit au dos : " Si le jeune homme veut se réengager pour trois ans, la grâce peut être demandée. "

- " Je suis d’accord, fit Lincoln, lentement.

" Il prit une carte, écrivit un mot, le signa et le donna au jeune homme en disant :

- " Portez ça au département de la guerre et vous aurez ce que vous désirez.

" Le jeune homme sortit, ayant peine à contenir sa joie.

" Le suivant était un Irlandais d’environ soixante ans.

" M. Lincoln se tourna vers lui :

- " Que puis-je faire pour vous, mon ami ?

- " Eh ! bien, votre Excellence, je suis veilleur de nuit dans la ville et je suis toujours malade. Et je trouve que le travail de nuit ne me convient pas et je me demande si votre Excellence pourrait me donner un emploi comme veilleur de jour au Trésor…

- " Arrêtez, arrêtez ! cria Lincoln. Avez-vous des papiers à me montrer ?

- " Quels papiers ? demanda Michel.

- " Quelque chose où je puisse voir vos réclamations et vos raisons de les faire par écrit. On ne vous a peut-être pas dit que je n’écoute pas les pétitions verbales. N’avez-vous rien d’écrit à me montrer ?

- " Monsieur, fit Michel, en fouillant dans la poche de son gilet. Voici deux lettres de mes garçons qui sont dans l’armée.

" Lincoln regarda deux énormes épitres dont il ne lut pas deux lignes et les rendit à Michel en disant :

- " Tut, tut ! je n’ai pas le temps de lire un volume.

" Sur quoi, Michel commence un discours si éloquent et si rapide que le président n’eut aucune occasion de mettre un mot. Jusqu’à ce que l’homme dût s’arrêter pour respirer.

- " Mon ami, fit alors Lincoln, je ne vous connais pas. Je ne puis pas vous mettre au Trésor sans référence. Supposez que je vous y envoie et que vous soyez un voleur !

- " Monsieur ! cria Michel, indigné, je suis un honnête homme.

- " Je vous crois, dit Lincoln, mais je ne sais rien à votre sujet. Ne connaissez-vous personne dans cette ville que je connaisse aussi et qui voudrait parler en votre faveur ?

- " Oh ! votre Excellence ! je connais M. Graham, et M. Brown et M. Jones et M. Robinson et M. Sivaynes, le sculpteur…

- " Cela suffit, cria Lincoln. Si vous voulez m’apporter une lettre de M. Sivaynes, je ferai tout ce que je pourrai pour vous.

" Puis un tout jeune homme de 16 ans, en costume de soldat, prit le siège vacant.

En silence, il tendit ses papiers et attendit que lecture en fût faite.

" Alors, le président se tourna vers lui :

- " Et vous voulez être capitaine ?

- " Oui, Monsieur.

- " Capitaine de quoi ? Avez-vous une compagnie ?

- " Non, Monsieur, mais mes chefs m’ont dit que je pourrais obtenir le grade de vous.

- " Mon garçon, je vois par ces papiers que vos chefs ont de l’estime pour vous comme individu et comme soldat, mais la charge de capitaine est généralement donnée par les gouverneurs d’Etat.

- " Mes chefs m’ont dit que vous pourriez me la donner, fit le jeune homme, presque tremblant.

- " C’est vrai, mais pour être capitaine, il faut avoir une compagnie. Vous savez qu’un homme n’est pas un mari jusqu’à ce qu’il ait pris une femme, et qu’une femme n’est pas une épouse jusqu’à ce qu’elle ait un mari.

" Je pourrais, en effet, vous nommer capitaine et vous renvoyer à l’armée de Potomiac où vous ne seriez capitaine de personne et où vous n’auriez rien à faire.

" Les yeux du petit soldat se remplirent de larmes.

" Lincoln lui mit la main affectueusement sur l’épaule.

- " Mon enfant, retournez à votre poste, continuez à y faire votre devoir comme par le passé et avec le zèle que vous avez montré, vous n’aurez pas besoin de demander le grade, c’est le grade qui vous demandera. Si nous en avions davantage comme vous dans l’armée, je ne serais pas si angoissé quant aux résultats de la guerre.

" Allons, serrez-moi la main et retournez comme vous êtes venu, un honnête jeune homme et un brave soldat !

" Puis, ce fut mon tour.

Me souvenant des tribulations de Michel, je m’empressai de produire ma lettre de recommandation.

Lincoln la lut et me la rendit, avec sa phrase habituelle :

- " Que puis-je faire pour vous ?

" J’exposai ma demande pour mon ami soldat. Elle me fut refusée pour des raisons que je ne pus m’empêcher de trouver justes.

" Je serrai la main de Lincoln et sortis.

" Et je pensais à cette bonté de cœur qui lui faisait ajouter à ses devoirs, déjà si nombreux et si fatigants, le fardeau de deux heures d’audience accordées au premier venu, pour écouter souvent des gens qui n’avaient rien à dire.

J’admirais sa patience, sa douceur, sa bonté, la façon délicate dont il refusait une demande, tâchant d’atténuer le coup par un bon conseil ou un mot de sympathie.

" Je repassais devant la sentinelle, à la porte, et lorsque je revis Lincoln, il reposait, mort, sous le dôme du Berceau de la Liberté à Philadelphie. "

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