La mission belge évangélique

Cette mission est le prolongement d’une œuvre accomplie par M. et Mme Norton parmi les soldats belges durant la guerre.

Aujourd’hui la mission emploie 65 personnes.

La première salle d’évangélisation fut ouverte à Bruxelles en juin 1919.

Cette salle qui pouvait contenir plus de cent personnes devint rapidement trop petite, et en 1921, la Mission se transporta au boulevard Bisschoffhseim.

Le 21 novembre dernier, la Mission a inauguré un vaste bâtiment dans lequel se trouvent différentes salles de réunions et des salles de classes pour les deux écoles bibliques qu’elle a fondées, la flamande et la française.

L’une des salles à cinq cents places.

Après sept années de travail, la Mission a fondé des postes d’évangélisation dans vingt-huit localités.

En 1925 il a été distribué ou vendu 1.364 Bibles, 12.264 Nouveaux Testaments, 83. 303 Evangiles, 8.000 livres et 276.138 portions des Ecritures et traités religieux.

Le Nouveau Testament a été imprimé en flamand à 100. 000 exemplaires.

Pendant la période d’été, en juillet à septembre, des séries de réunions d’évangélisation ont eu lieu de village en village dans deux tentes.

Depuis quelques-mois, la Mission parcourt le pays avec un camion-automobile en faisant du colportage et de l’évangélisation.

Un second camion destiné à la partie flamande de la Belgique commence à circuler en ce moment.

En janvier 1925, deux excellents journaux ont été fondés, l’un en flamand, et l’autre, que rédige supérieurement notre ami Antomarchi, en français.

En vue de préparer les jeunes gens et des jeunes filles à l’œuvre de l’évangélisation, la Mission Norton a créé en 1919 une école biblique de langue française, et en 1922 une seconde école biblique pour les flamands.

La Mission belge, absolument évangélique, a publié sa profession de foi :

Je crois en un seul Dieu, Créateur des cieux et de la terre, Esprit, Lumière, Amour et Vérité, Eternel, Tout Puissant, Infaillible et Immuable, infiniment Sage, Juste et Saint.

Dieu se révèle dans la Bible comme Père, Fils et Saint-Esprit.

Je crois en Jésus-Christ, Fils unique de Dieu, la Parole éternelle manifestée en chair.

Je crois qu’Il a été conçu du Saint-Esprit et qu’il est né de la Vierge Marie.

Je crois à Sa mort expiatoire et rédemptrice, à Sa résurrection corporelle, à Son ascension, à Son retour en personne pour les Siens, suivi de Sa venue en gloire pour juger les rebelles et établir le règne de mille ans.

Je crois au Saint-Esprit, à Sa personnalité et à Son œuvre de régénération et de sanctification.

Je crois que toute la Bible (les 66 livres de l’Ancien et du Nouveau-Testament) est procédée et inspirée de Dieu et quelle constitue aussi une révélation infaillible, l’unique règle de la foi et de la vie.

Je crois que l’homme ayant été créé pur et conforme à l’image de Dieu, est, par sa propre faute, déchu de la grâce et je crois qu’en conséquence, tous ont péché, sont coupables et perdus et absolument incapables de se sauver eux-mêmes par leurs œuvres, étant morts dans leurs fautes et dans leurs péchés ; et que le péché entraine pour celui qui, de son vivant ne se repent pas, un châtiment éternel dont il aura pleinement conscience.

Je crois que nous sommes sauvés uniquement par grâce, par le moyen de la foi au sacrifice sanglant du Fils de Dieu.

Je crois à la personnalité de Satan, l’auteur de la chute, à son jugement et à son châtiment éternel.

Je crois que les hommes ressusciteront corporellement ; les uns pour la vie éternelle et les autres pour le jugement.

Je crois que Jésus-Christ a institué la Cène pour commémorer Sa mort jusqu’à ce qu’Il vienne, et le baptême, symbole de l’union du croyant avec Christ dans Sa mort et Sa résurrection.

Je crois que l’Eglise de Jésus-Christ est uniquement composée de ceux qui ont été rachetés et lavés dans Son sang, régénérés et scellés par le Saint-Esprit, et qu’ils sont sauvés pour servir ; qu’ils doivent rechercher une vie sainte, se séparer, s’éloigner de tout ce qui pourrait déshonorer Dieu, jeter du discrédit sur Sa cause, ou simplement affaiblir leur témoignage,

Au Père, qui nous a aimés,

Au Fils, qui nous a rachetés,

Au Saint-Esprit, qui nous a régénérés,

Soient l’honneur, la louange et la gloire aux siècles des siècles.

Amen.

La Mission Norton a de grandes ambitions.

En attendant de les réaliser toutes, elle commence en s’efforçant de mettre une Bible dans chaque foyer belge et de faire de ce foyer un sanctuaire divin.

C’est une œuvre de foi qui n’a pas de ressources assurées au point de vue humain.

Dieu est son banquier.

Avec un poète, elle dit : " Dieu fut toujours le fonds qui m’entretient et sur ce fonds, ma rente est assurée. "

Des conversions en grand nombre, des églises fondées, des œuvres d’évangélisation prospères sont les résultats de ces sept années de prière, de foi, d’amour et de travail.

S. DELATTRE

Délivrance merveilleuse

Le Rév. James Main était toujours péniblement impressionné par l’expression de vide que représente la physionomie d’un Chinois.

Il suffit d’être en présence d’un auditoire chinois, disait-il pour être tenté de penser que le seul fait de n’avoir jamais entendu l’Evangile semble ôter à l’homme la faculté de le comprendre et de le recevoir.

Il y a trente ans, à Foochow, un homme d’environ quarante ans pénétrait dans la petite chapelle d’un faubourg, et écoutait, tout yeux et toutes oreilles, le Rév. S. L. Binkley.

Celui-ci prêchait sur Christ, le Sauveur parfait.

Pour une raison ou pour l’autre, l’attention de ce pauvre Chinois fut complètement subjuguée par la vérité ; à la fin du service, il resta pour s’entretenir avec le missionnaire.

" Jamais, dit-il, je n’avais entendu parler de ce Jésus, je ne sais pas qui il est. N’avez-vous pas dit qu’il peut me sauver de tous mes péchés ? "

" - Sans doute, répondit, M. Binkley, c’est précisément ce que j’ai dit.

" - Alors, c’est que vous ne me connaissez pas. Pendant bien des années, j’ai été menteur, joueur, sorcier, adultère, et voilà vingt ans que je suis fumeur d’opium.

Ceux qui ont fait usage d’opium pendant un temps aussi long ne guérissent pas. Cela ne s’est jamais vu. Vous voyez bien que, si vous m’aviez connu, vous n’auriez jamais parlé de la sorte.

Le missionnaire, cela va de soi, ne put que répéter, en y insistant, tout ce qu’il venait de dire de Christ.

Il est toujours puissant pour sauver, dit-il, et toujours prêt à sauver tous ceux qui croient en lui, quelques graves, quelque nombreux que soient leurs péchés.

Le fumeur d’opium resta muet d’étonnement.

Son esprit était retenu captif par d’anciennes superstitions.

Le poison de la convoitise charnelle était dans son sang ; le pis, c’est qu’il était vendu, pauvre esclave, à l’horrible drogue ; sa volonté était enchainée par une habitude de vingt ans.

Jamais à sa connaissance, pareille victime de l’opium n’avait été délivrée.

La seule pensée qu’une telle délivrance fût possible, qu’il pût être sauvé de tous ses péchés, l’accablait.

Ebloui par la vision glorieuse de la liberté, il n’osait pas croire à de telles affirmations, et n’y voyait que des illusions extravagantes, bonnes tout au plus à lui faire éprouver le supplice de Tantale.

Il partit. Mais il revint le jour suivant, puis, jour après jour, pour entendre parler davantage de cet étonnant Sauveur, et pour s’enquérir de cet Evangile qui promettait la délivrance, même à l’esclave de l’opium.

Plusieurs semaines s’écoulèrent.

Puis un matin, il entra avec impétuosité dans le cabinet du missionnaire.

Son visage radieux avait parlé avant que sa bouche eût pu s’ouvrir.

- Je sais maintenant, s’écria-t-il, que Jésus peut me sauver de tous mes péchés, car il l’a fait !

Quelle victoire décisive que la victoire de la foi !

Vaincu le dernier et pire ennemi !

Brisée, la vieille habitude !

Disparu, le désir même de l’opium.

Ling-Ching Ting ne sentait plus rien des liens qui l’étreignaient naguère et contre lesquels il avait lutté en désespéré pendant tant d’années.

Christ l’avait affranchi.

Où sont les tentes de l'évangélisation ?

Cette question s’est imposée à mon esprit à l’occasion de l’arrivée, dans une petite ville du Midi, d’un cirque qui a donné là une seule représentation, un soir.

Le personnel de ce cirque a réussi à installer, de jour, puis à enlever, de nuit, en quelques heures, une vaste tente capable d’abriter plusieurs milliers de personnes.

Essayez de vous représenter l’énormité de cette tâche !

Et ce n’est pas le premier qui arrive dans les mêmes conditions, c’est le sixième ou septième en l’espace de quelques mois.

L’organisation est digne d’admiration.

Les grands mâts, en deux ou trois morceaux s’emboitant l’un dans l’autre, étaient retirée de l’auto-camion qui les avait emmenés, puis fixés rapidement et solidement en terre par de véritables experts, sous la direction d’un chef qui commandait magnifiquement la manœuvre en langue étrangère, du hongrois ou du roumain ; je ne sais exactement.

Pendant ce temps, les piquets de fer et les supports étaient déposés par d’autres hommes près de la place qu’ils devaient occuper, les toiles suivaient bientôt et, comme par enchantement, la tente déployait peu après ses ailes pour abriter la foule qui ne manquait pas de venir s’y entasser le soir…

Une provision d’affiches multicolores avait annoncé au public l’arrivée du cirque, au moins une semaine à l’avance.

Je suis probablement bien naïf, mais il me semble qu’un exploit de ce genre n’était réalisé que par le fameux Barnum, il y a 20 ou 30 ans.

Maintenant, cela devient commun, Barnum a fait école ! Si cela continue, à peine enlèvera-t-on une tente qu’une autre apparaitra.

Voilà ce que réussissent à faire les enfants de ce siècle pour se divertir.

Et les enfants de lumière, où sont-ils ?

Oh ! on en trouve un certain nombre sous les tentes en question, et à des places coûteuses, parait-il !

Si, d’aventure, on lançait une souscription pour l’érection d’une tente d’évangélisation, combien donneraient ces chrétiens-là ?

Peut-être pas même le prix de la place qu’ils ont payée en plusieurs fois au cirque !

Plus d’un ne s’écrierait-il pas : " Encore une nouvelle collecte ! Quand donc cela finira-t-il ? "

Ah ! si nous pouvions entendre la voix du Maître et Sauveur du monde, quelle douleur ne surprendrions-nous pas dans ses accents :

" Les enfants de ce siècle sont, encore et presque toujours, plus sages que les enfants de lumière ! Les entreprises de distraction et de perdition prospèrent, et l’Eglise qui a jailli de mon côté percé pour elle, dort misérablement au sein de l’opulence qui l’a envahie ! Ne comprendra-t-elle pas que si je lui ai permis de s’enrichir, ce n’est pas pour qu’elle thésaurise égoïstement, mais pour qu’elle fasse part de ses richesses, matérielles et spirituelles, au prochain ?

Si elle continue à détourner à son profit ce qu’elle devrait partager avec autrui, je me verrai obligé de la jeter tout à nouveau sur quelque lit de douleur ! ... "

Et maintenant que sont devenues les tentes de l’évangélisation ?

Oui, où sont-elles ?

Celle de la Mission Intérieure, première en date, est dit-on brûlée. Quel malheur !

Satan a sûrement passé par là, en la personne d’un de ses agents, conscient ou inconscient.

Et la grande tente sous laquelle eut lieu une mémorable campagne à une des portes de Paris en 1911, et la non moins belle campagne de Nîmes en 1914, à la veille de la guerre, où dort-elle ?

Ne serait-il pas le temps de la réveiller ?

Espérons qu’elle n’est pas comme la première : brûlée !

Il y avait encore, je crois, deux petites tentes dont se servaient les méthodistes épiscopaux en Savoie. Où sont-elles passé ?

L’Armée du Salut a utilisé, ces dernières années, de petites tentes pour des missions d’été dans la Haute-Loire, pour une campagne au Vigan en septembre 1923, une à Saint-Jean-du-Gard en mai 1926, et elle en prépare une autre à Alais, à partir de Pâques 1927.

Ces premières tentatives ont fort bien réussi.

Mais que la tente fut insuffisante au Vigan ! Il fallut l’agrandir deux ou trois fois.

Qui nous donnera en France une demi-douzaine de vastes tentes, capables de contenir des foules qui vibreraient à l’ouïe du pur Evangile, parlé et chanté ?

Qui ? Dieu et le protestantisme français.

Car il n’est pas possible qu’il ne se ressaisisse pas et ne soit pas soulevé au-dessus de lui-même pour répondre à sa magnifique destinée :

L’Evangélisation immédiate et intensive, par tous les moyens légitimes (tentes, roulottes, automobiles, salles démontables, bateaux, cinémas, radiophonie, etc..) du peuple français qui languit – sans le savoir – de faire connaissance avec l’Evangile éternel du Fils de Dieu qui s’est fait homme pour le sauver, comme il veut sauver tous les peuples, et pour faire de lui un intrépide missionnaire de Sa cause jusqu’aux extrémités du monde.

Dieu fasse que le printemps et l’été ne s’écoulent pas avant que quelques tentes qui en vaillent la peine soient entrées en ligne de bataille !

Le père SEVERON

Pourquoi ces cris ? …Qu'ils marchent !

Sur l’ordre de l’Eternel, fidèlement transmis par Moïse, les enfants d’Israël sont campés face à la mer Rouge, Pharaon, qui s’est repenti de les laisser échapper, a attelé son char et amené son peuple avec lui.

Il dispose de 600 chars d’élite et de tous les chars de l’Egypte, tous garnis de combattants.

Il approche des enfants d’Israël.

Ceux-ci, en apercevant les Egyptiens, sont saisis d’épouvante, ils crient à l’Eternel et disent à Moïse :

" N’y avait-il pas des sépulcres en Egypte, sans qu’il fût besoin de nous mener mourir au désert ? Que nous as-tu fait en nous faisant sortir d’Egypte ? N’est-ce pas là ce que nous te disions en Egypte ? Laisse-nous servir les Egyptiens, car nous aimons mieux servir les Egyptiens que de mourir au désert.

" Moïse répondit au peuple :

" Ne craignez rien, restez en place et regardez la délivrance que l’Eternel va vous accorder en ce jour ; car les Egyptiens que vous voyez aujourd’hui, vous ne les verrez plus jamais. L’Eternel combattra pour vous ; et vous, gardez le silence. "

" L’Eternel dit à Moïse : Pourquoi ces cris ? Parle aux enfants d’Israël et qu’ils marchent. Toi, lève ta verge, étends ta main sur la mer et fends-là. Et les enfants d’Israël entreront au milieu de la mer à sec " (Lire Exode, chapitre 14 et 15).

Quelqu’un aurait-il mal interprété l’article : Silence ! tais-toi !! et se serait-il imaginé que nous préconisions l’arrêt du témoignage à rendre à la vérité ?

Cette pensée ne nous a pas effleuré un instant.

Ce qui doit cesser, ce sont les cris de terreur et d’incrédulité du peuple de Dieu, et surtout la discussion interminable des ordres précis de l’Eternel à son peuple.

" L’Eternel combattra pour vous, et vous, gardez le silence " (Exode, chapitre 14, versets 14 et 15).

" Pourquoi ces cris ! … Qu’ils marchent ! "

Faire silence, oui, pour écouter la voix de Dieu qui est couverte par nos clameurs, est une nécessité bien actuelle.

Quand, enfin, nous prêtons l’oreille, qu’entendons-nous ? Ceci : " Pourquoi ces cris ? … Qu’ils marchent ! "

La mer Rouge barre le chemin, l’armée de Pharaon coupe la retraite des montagnes enserrant les camps des Israélites…

Dans quelle vaste souricière semblent-ils être pris !

" Pourquoi ces cris ? … Qu’ils marchent ! Toi lève ta verge, étends ta main sur la mer et fends-là…. et les Egyptiens sauront que je suis l’Eternel, quand Pharaon, ses chars, ses cavaliers, auront fait éclater ma gloire. "

Quel attrait puissant l’Egypte exerçait sur ces Israélites !

Ils en avaient plein la bouche.

En quatre courtes phrases, ils nomment trois fois l’Egypte, deux fois les Egyptiens, en tout cinq fois.

Quel puissant attrait l’Egypte – le monde – exerce encore sur le peuple de Dieu contemporain !

Qu’on a de peine à le laisser résolument derrière soi, à abandonner ses pots de viande, ses oignons et ses aulx pour vivre de manne, qu’on trouve difficile de partir courageusement à la conquête des Canaans terrestres - des patries – où nous avons posé nos pieds.

" Tout lieu que foulera la plante de votre pied, je vous le donne, comme je l’ai dit à Moïse " (Josué, chapitre 1).

Quand serons-nous prêts à prendre possession, au nom de notre Dieu, de tous les lieux où nous avons porté nos pas ?

" Demande-moi et je te donnerai les nations pour héritage, les extrémités de la terre pour possession ! " a dit l’Eternel à son Fils (Psaume, chapitre 11).

Jusques à quand allons-nous laisser les Cananéens – les mondains perdus de vices – en possession du splendide héritage que le sang du Fils de Dieu a entièrement racheté ?

" La terre est à moi et tout ce qu’elle renferme, le monde est à moi et tous ceux qui l’habitent ! " (Psaume, chapitre 24, verset 1).

Oh que les armées contemporaines de Jehova se préparent enfin promptement pour la marche en avant et la conquête du monde à Jésus-Christ ; son Sauveur miséricordieux et son Souverain seul légitime et définitif.

Père SEVERON

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