Le temps des nations

Le Seigneur Jésus nous dit dans Luc, chapitre 21, verset 24 que " Jérusalem sera foulée aux pieds par les nations jusqu’à ce que les temps des nations soient accomplis. "

Dans le chapitre 26 du Lévitique, Dieu dit au peuple d’Israël à quatre reprises que s’il ne garde pas l’alliance que l’Eternel a traitée avec lui, il sera châtié sept fois.

Et comme ce chiffre sept est dans les Ecritures le chiffre de la plénitude, cela signifie que le peuple infidèle recevra un châtiment complet.

Après avoir exposé ce que seront les trois premiers châtiments, l’Eternel ajoute :

" Si, malgré cela, vous ne m’écoutez pas et si vous me résistez, je vous résisterai aussi avec fureur et je vous châtierai sept fois plus pour vos péchés.

Vous mangerez la chair de vos fils et vous mangerez la chair de vos filles.

Je détruirai les hauts lieux, j’abattrai vos statues consacrées au soleil, je mettrai vos cadavres sur les cadavres de vos idoles, et mon âme vous aura en horreur.

Je réduirai vos villes en déserts, je ravagerai vos sanctuaires et je ne respirerai plus l’odeur agréable de vos parfums.

Je dévasterai le pays, et vos ennemis qui l’habiteront en seront stupéfaits.

Je vous disperserai parmi les nations, et je tirerai l’épée après vous.

Votre pays sera dévasté et vos villes seront désertes.

Alors le pays jouira de ses sabbats tout le temps qu’il sera dévasté et que vous serez dans le pays de vos ennemis ; alors le pays se reposera et jouira de ses sabbats.

Tout le temps qu’il sera dévasté, il aura le repos qu’il n’avait pas eu dans vos sabbats, tandis que vous l’habitiez " (Lévitique, chapitre 26, versets 27 à 35).

Or nous savons par la Parole de Dieu que ce châtiment d’Israël a commencé en l’année 606 avant Jésus-Christ, quand le roi de Babylone Nébucadnetzar envahit la Palestine et s’empara de Jérusalem.

A partir de ce moment, le royaume de Juda perdit son indépendance et fut soumis à d’autres peuples.

Déjà auparavant les Assyriens avaient détruit le royaume des dix tribus.

Dans les chapitres deux et sept du livre de Daniel, nous avons le tableau des temps des nations et des empires qui se succéderont sur la terre pendant ces temps où la nation israélite restera longtemps sans roi, sans chef, sans sacrifice, sans statue, sans éphod et sans théraphim.

Après cela, les enfants d’Israël reviendront ; ils chercheront l’Eternel, leur Dieu, et David, leur roi ; et ils tressailliront à la vue de l’Eternel et de sa bonté, dans la suite des temps " (Osée, chapitre 3, versets 4 et 5).

C’est donc avec Nébucadnetzar, qui est la tête d’or de la magnifique statue du chapitre 2 de Daniel, que commencent les temps des nations pendant lesquels les Juifs sont les esclaves d’autres peuples.

" Je vous châtierai sept fois plus " répète quatre fois l’Eternel dans Lévitique, chapitre 26.

Dans Daniel, chapitre 4, nous voyons aussi que Dieu avertit Nébucadnetzar à quatre reprises de sa prochaine folie et qu’il vivra avec les bêtes des champs pendant sept temps.

Ce sont là sans doute ces sept temps des nations rapportés dans le Lévitique et symbolisés dans le châtiment du roi de Babylone, auxquels Jésus fait allusion dans Luc, chapitre 21, verset 24.

D’autre part il est question dans Daniel et dans l’Apocalypse d’une période d’atroces persécutions qui durera un temps, des temps et la moitié d’un temps (Daniel, chapitre 7, verset 25 et Apocalypse, chapitre 12, versets 6 et 14, et que ces trois temps et demi correspondent à 1260 jours, la moitié des sept temps.

Or, si 1260 jours prophétiques sont 1260 années, comme le pensent beaucoup d’interprètes de la prophétie, un temps représente donc 360 ans et sept temps 360 X 7 = 2520 ans. Les temps des nations ayant commencé 606 ans avant Jésus-Christ, ont dû finir en 1914, puisque 1914 + 606 = 2520 ans.

Ici, une importante remarque doit être faite : La Palestine a été envahie par Nébucadnetzar en 606 avant Jésus-Christ et a dû dès ce moment-là payer un tribut au roi de Babylone, mais c’est seulement en l’an 587 avant Jésus-Christ que Jérusalem a été détruite et que son roi et une grande partie du peuple furent emmenés captifs à Babylone.

La fin complète des temps des nations n’aura donc lieu qu’aux environs de 1934.

En 606 " Nébucadnetzar se mit en campagne. Jojakin lui fut assujetti pendant trois ans ; mais il se révolta de nouveau contre lui.

Alors l’Eternel envoya contre Jojakin des troupes de Chaldéens, des troupes de Syriens, des troupes de Moabites et des troupes d’Ammonites ; il les envoya contre Juda pour le détruire, selon la parole que l’Eternel avait prononcée par ses serviteurs les prophètes.

Cela arriva uniquement sur l’ordre de l’Eternel, qui voulait ôter Juda de devant sa face, à cause de tous les péchés commis par Manassé et à cause du sang innocent qu’avait répandu Manassé et dont il avait rempli Jérusalem.

Aussi l’Eternel ne voulut point pardonner " (2 Rois, chapitre 24, versets 1 à 5).

2520 ans à partir de cette première invasion nous conduisent à l’année funèbre de 1914.

En l’an 598 avant Jésus-Christ, " les serviteurs de Nébucadnetzar, roi de Babylone, montèrent contre Jérusalem, et la ville fut assiégée.

Nébucadnetzar, roi de Babylone, arriva devant la ville pendant que ses serviteurs l’assiégeaient.

Alors Jojakin, roi de Juda, se rendit auprès du roi de Babylone avec sa mère, ses serviteurs, ses chefs et ses eunuques ; et le roi de Babylone le fit prisonnier, la huitième année de son règne…

Il emmena en captivité tout Jérusalem, tous les chefs et tous les vaillants hommes, au nombre de dix mille exilés, avec tous les charpentiers et les serruriers ; il ne resta que le peuple pauvre du pays.

Il transporta Jojakin à Babylone ; et il emmena captifs de Jérusalem à Babylone la mère du roi, les femmes du roi et ses eunuques, et les grands du pays, tous les guerriers au nombre de sept mille, et les serruriers et les charpentiers au nombre de mille, tous hommes vaillants et propres à la guerre…

Le roi de Babylone établit roi, à la place de Jojakin, Matthania, son oncle, dont il changea le nom en celui de Sédécias " (2 Rois, chapitre 24, versets 10 à 17). (Lire aussi 2 Chroniques, chapitre 36).

Si nous ajoutons 2520 ans à l’année 598 avant Jésus-Christ, nous arrivons à l’an 1922 de l’ère chrétienne.

Si l’année 598 a été une année de désastre pour le peuple juif, l’an 1922 marque un temps de relèvement.

Depuis 1917, Jérusalem et la Palestine ont été prises aux Turcs.

Sous le protectorat de l’Angleterre, la terre donnée par Dieu à Abraham et à sa postérité retrouve graduellement sa fertilité et sa richesse.

Les Juifs y établissent des colonies de plus en plus prospères.

Jérusalem possède une université juive.

Le pays a pour gouverneur un israélite, sir Herbert Samuel.

Les prophéties concernant le rétablissement d’Israël sont en voie de réalisation.

Cependant tout n’est pas fini.

En 587 avant Jésus-Christ, Sédécias se révolta contre le roi de Babylone qui vint mettre le siège devant Jérusalem.

La ville fut prise.

Sédécias vit ses fils égorgés en sa présence, puis on lui creva les yeux, on le lia avec des chaînes d’airain et on le mena à Babylone.

Le temple et toutes les maisons de Jérusalem furent brûlés et les murailles de la ville furent démolies.

Tout le peuple fut emmené captif.

On ne laissa dans le pays que quelques vignerons et quelques laboureurs pauvres.

C’était absolument la fin du royaume de Juda.

A cette destruction si absolue du royaume de Juda doit correspondre 2520 ans plus tard son complet relèvement.

C’est donc en 1933 – 1934 que la Palestine doit, au plus tard, redevenir un royaume israélite et tout à fait indépendant.

Il ne s’agit pas ici d’une question secondaire.

L’avenir de l’humanité est liée au relèvement du royaume d’Israël et au salut du peuple juif.

" Si leur rejet a été la réconciliation du monde, que sera leur réintégration, sinon une vie d’entre les morts ? " (Romains, chapitre 11, verset 15).

Dieu se souvient des promesses faites à Abraham et il est en train de les accomplir :

" Je ferai de toi une grande nation et je te bénirai ; je rendrai ton nom grand et tu seras une source de bénédiction.

Je bénirai ceux qui te béniront et je maudirai ceux qui te maudiront ; et toutes les familles de la terre seront bénies en toi " (Genèse, chapitre 12, versets 2 et 3).

Depuis 2520 ans, le peuple d’Israël, châtié à cause de ses péchés, ne forme plus un royaume.

Depuis 19 siècles, il erre dans notre vaste monde, honni, persécuté, traqué souvent comme une bête fauve.

Depuis 1914, Dieu met fin progressivement au règne des quatre bêtes qui ont gouverné le monde pendant 2520 ans.

Les puissances des cieux sont ébranlées.

" L’équilibre de la société humaine est rompu, disait notre ami Sainton, les douleurs et les spasmes de l’agonie nous secouent.

Le soleil s’est changé en ténèbres.

En se heurtant, la haute culture allemande et la civilisation latine ont éteint toute la lumière et toute espérance. La nuit nous a enveloppés. "

Toutefois ce n’est pas là le dernier mot de l’histoire de l’humanité.

Si Dieu a châtié Israël, c’est pour le sauver ; " s’Il châtie les peuples, c’est pour les amener à la repentance et à la foi. "

Le temps est proche où les Juifs formeront en Palestine un peuple libre gouverné par l’un des leurs. Alors leurs yeux s’ouvriront pour reconnaitre en Jésus le Sauveur du monde et leur Sauveur.

" Alors dit l’Eternel, je répandrai sur la maison de David et sur les habitants de Jérusalem, un esprit de grâce et de supplication, et ils tourneront les regards vers mois, celui qu’ils ont percé. Ils pleureront sur lui comme on pleure sur un fils unique, ils pleureront amèrement sur lui comme on pleure un premier-né " (Zacharie, chapitre 12, versets 9 à 11).

Et le peuple d’Israël, converti et régénéré sera l’évangéliste du monde, la bénédiction de toutes les nations.

" Et l’Eternel sera roi de toute la terre. En ce jour-là, l’Eternel sera le seul Eternel et son nom sera le seul nom " (Zacharie, chapitre 14, verset 9).

" Tous les royaumes de ce monde seront les royaumes de notre Dieu et de son Christ ; et il règnera aux siècles des siècles " (Apocalypse, chapitre 11, verset 15).

S. DELATTRE

Le jour de Christ et l'église

La venue du Seigneur pour enlever l’Eglise et le jour de Christ ne sont pas le même événement.

Cela ressort avec évidence d’une étude attentive des deux épitres aux Thessaloniciens et en particulier du chapitre 2 de la seconde.

Dans ce chapitre, l’apôtre exhorte les chrétiens de Thessalonique à ne pas se laisser bouleverser dans leurs pensées " comme si le Jour du Seigneur était arrivé ", et cela au nom de leur réunion avec le Seigneur.

C’était leur dire, aussi longtemps que la réunion avec le Seigneur n’a pas eu lieu, le Jour du Seigneur ne saurait être là.

Le terme de Jour du Seigneur, ou Jour de l’Eternel, dans l’Ancien Testament, se rapporte à la venue personnelle et glorieuse de Jésus-Christ sur la terre, comme on le voit par les deux textes suivants :

" Le jour du Seigneur viendra comme un larron la nuit " (1 Thessaloniciens, verset 6).

Vous savez que, si un père de famille était averti à quelle veille de la nuit, un larron doit venir, il veillerait.

C’est pourquoi, vous aussi tenez-vous prêts, car le Fils de l’homme viendra à l’heure que vous ne penserez pas " (Matthieu, chapitre 24, versets 43 et 44).

Cependant, le jour du Seigneur est non seulement le fait de son apparition, mais aussi l’époque tout entière que sa venue inaugure.

Le Jour du Seigneur sera pour l’Eglise un jour de grande solennité.

Elle aura l’insigne honneur d’accompagner son auguste époux lorsqu’il se manifestera à l’Univers comme le Roi des Rois, et le Seigneur des Seigneurs.

L’Eglise sera manifestée au monde, comme unie à Christ dans sa gloire.

" Quand Christ, qui est votre vie paraîtra, alors vous paraitrez aussi avec Lui dans la gloire " (Colossiens, chapitre 3, verset 4).

Les résultats de l’œuvre de la rédemption se verront avec éclat ; car, " en ce jour-là, le Seigneur sera glorifié dans ses saints et admiré en tous ceux qui auront cru " (2 Thessaloniciens, chapitre 1, verset 10).

Mais ce qui est plus solennel pour nous, c’est que la marche de l’Eglise, son travail, sa fidélité seront mis en évidence, car elle paraîtra ornée de ses parures qui sont les justices ou les récompenses des saints.

En effet, le tribunal du Christ, devant lequel tous comparaîtront, aura lieu entre l’enlèvement de l’Eglise et le Jour de Christ.

Il aura mis en lumière le bien et le mal que chacun aura fait étant dans son corps, et le souverain et juste Juge aura récompensé ses serviteurs selon leurs mérites.

Comme le tribunal de Christ est en rapport direct avec notre responsabilité, il est bon de nous y arrêter un instant.

D’après les textes que nous allons citer, tout ce qui aura caractérisé notre course chrétienne sera mis à découvert.

Le tribunal de Christ appréciera :

1° La sainteté de la vie (2 Corinthiens, chapitre 5, verset 10).

2° La fidélité dans les épreuves (Jacques, chapitre 1, verset 12 ; 1 Pierre, chapitre 1, versets 6 et 7).

3° Les desseins des cœurs (1 Corinthiens, chapitre 4, verset 5).

4° La qualité et la quantité du travail (1 Corinthiens, chapitre 3, verset 13).

5° L’amour pour Christ et pour son avènement (Jacques, chapitre 1, verset 12 ; Timothée, chapitre 4, verset 8).

Il est à prévoir que notre vie, à partir du jour de notre conversion, sera passée en revue dans cette comparution.

Ce sera comme un grand examen où les choses cachées dans les ténèbres, celles qui auront été ignorées des hommes, seront manifestées ; où des desseins des cœurs, nos mobiles, bons ou mauvais, seront mis en évidence.

Toutes nos actions mauvaises seront pesées à la balance du sanctuaire, et chacun recevra selon le bien ou le mal qu’il aura fait étant dans son corps.

Le chrétien est capable de faire beaucoup de bien comme aussi beaucoup de mal.

Démas avait abandonné Paul dans un moment critique.

Alexandre, l’ouvrier en cuivre, lui fit souffrir beaucoup de maux ; l’apôtre ajoute : " Le Seigneur lui rendra selon ses œuvres " (2 Timothée, chapitre 4, versets 10 et 14).

D’autres prêchaient l’Evangile dans un esprit d’envie et de dispute, pour ajouter un surcroit d’affliction à ses liens (Philippiens, chapitre 1, verset 16).

Onésiphore, au contraire, avait souvent consolé et assisté l’apôtre.

Celui-ci, dans sa reconnaissance, exprime le vœu que miséricorde lui soit faite en ce " jour-là " (1 Timothée, chapitre 1, versets 16 à 18).

Le travail de tous sera estimé à sa juste valeur, celui du serviteur de Dieu le plus humble comme celui du plus distingué : tous verront leur œuvre mise à l’épreuve.

C’est ce qui ressort avec clarté des passages suivants : " Si quelqu’un bâtit sur ce fondement (qui est Christ), de l’or, de l’argent, des pierres précieuses, du bois, du foin ou du chaume, l’ouvrage de chacun sera manifesté, car le jour le fera connaître, parce qu’il sera manifesté par le feu, et le feu éprouvera l’ouvrage de chacun.

Si l’ouvrage de quelqu’un qui aura bâti subsiste, il en recevra la récompense ; si l’ouvrage de quelqu’un brûle, il perdra le fruit de son travail, mais pour lui, il échappera toutefois comme au travers du feu " (1 Corinthiens, chapitre 3, versets 12 à 15).

Que cette perspective est sérieuse et solennelle !

Puisse-t-elle nous amener à accomplir toute bonne œuvre dans un esprit d’amour pour Christ et de soumission à sa volonté.

Que de travaux, que de sacrifices seront estimés nuls, parce qu’ils auront été accomplis dans l’orgueil, la recherche de soi-même et la volonté propre.

Notre conduite au sein des épreuves sera aussi appréciée en ce jour.

La souffrance est une école dans laquelle nous pouvons glorifier le Seigneur ou le déshonorer.

Dieu permet que ses enfants traversent des temps de persécution, de maladie, de deuil, de dénuement ; bienheureux sont ceux qui auront enduré et supporté l’épreuve avec soumission, douceur, patience et actions de grâce, car ils en seront récompensés.

Il sera tenu compte aussi du degré de notre amour pour le Seigneur et pour son avènement.

Les récompenses consisteront en louanges, honneurs, gloires et couronnes diverses.

Trois espèces de couronnes sont mentionnées :

1° La couronne de justice.

Elle sera décernée à ceux qui, comme Paul, auront été fidèles au Seigneur et auront aimé son apparition. " J’ai combattu le bon combat, j’ai achevé ma course, j’ai gardé la foi ; au reste, la couronne de justice m’est réservée et à tous ceux qui auront aimé son avènement " (1 Timothée, chapitre 4, versets 7 et 8).

2° La couronne de la vie.

Elle sera décernée à ceux qui auront enduré l’épreuve, et à ceux qui aiment le Seigneur.

" Heureux est l’homme qui endure la tentation ! Car après avoir été éprouvé, il recevra la couronne de vie que le Seigneur a promise à ceux qui l’aiment " (Jacques, chapitre 1, verset 12).

3° La couronne incorruptible de gloire.

Elle est promise aux anciens qui auront été, pour le troupeau de Dieu, de fidèles bergers, humbles et dévoués.

" J’exhorte, dit Pierre, les anciens qui sont parmi vous : Paissez le troupeau de Dieu…, le surveillant non par contrainte, mais volontairement ; ni pour un gain sordide, mais avec dévouement ; non comme dominant sur les héritages du Seigneur, mais en étant les modèles du troupeau.

Et lorsque le Souverain pasteur paraîtra, vous obtiendrez la couronne incorruptible de la gloire " (1 Pierre, chapitre 5, versets 1 à 4).

Les serviteurs du Seigneur auront aussi pour couronne de gloire les âmes qu’ils auront gagnées à la vérité.

" Quelle est notre couronne de gloire ? N’est-ce pas vous qui le serez en notre Seigneur Jésus-Christ à son avènement ? " (1 Thessaloniciens, chapitre 2, verset 19).

Il y aura au jour du Seigneur trois classes de personnes au point de vue des rétributions : celles qui recevront beaucoup, celles qui recevront moins, et celles qui ne recevront rien du tout.

Ces dernières seront sauvées, mais comme au travers du feu.

Ainsi que Lot, elles auront leur vie pour tout butin.

Cependant si la pensée du tribunal et des récompenses doit nous stimuler à la fidélité, l’amour de Christ pour nous doit être un motif plus puissant encore.

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