Toute l'Ecriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour instruire dans la justice, afin que l'homme de Dieu soit accompli et propre à toute bonne œuvre (2 Timothée 3 : 16).

La Bible, appelée aussi Le Livre, est composée de 66 livres écrits sur une période de 1500 ans environ.

Le premier livre est la Genèse, écrit par Moïse, et le dernier l'Apocalypse, écrit par Saint Jean, l'apôtre de Jésus qui a vécu le plus longtemps, (jusqu’aux environs des années 90 à 100 de notre ère).

La Bible c'est le livre de Dieu.

A quoi sert la Bible ?

A quoi sert la Bible ? demandait un enfant à son père, en regardant les images jointes au volume sacré.

- Je te le dirai une autre fois, répondit le père.

L'enfant, quelque peu désappointé, était accoutumé à l’obéissance et n'insista pas. Quelques jours après, le père le conduisit chez une femme gravement malade. Il s'assit près du lit et se mit à causer avec elle. La malade parlait de ses souffrances, et elle en parlait avec une grande résignation à la volonté de Dieu.

- Mais ne doutez-vous jamais, lui dit le visiteur, de la justice de Dieu qui vous laisse tant souffrir ?

- Non, répondit-elle, Dieu est mon Père, il m'aime, et je suis sûre qu'il ne me laisserait pas tant souffrir si ce n'était pas pour mon bien.

- Et comment se fait-il que ce soit pour votre bien ?

- Pour le bien de mon âme, reprit-elle. La souffrance me rend plus patiente et plus humble. Elle me fait mieux sentir le prix de l'amour du Sauveur ; elle me porte à prier et à regarder vers le ciel ; elle fait du bien à mon âme.

L'enfant écoutait, et ses yeux se mouillèrent de larmes ; le père s'en aperçut et continua :

- Ma bonne dame, pourriez-vous me dire à quoi sert la Bible ?

- Ah ! Monsieur, la Bible, répondit vivement la malade, c'est toute ma consolation !

- Tu vois, mon ami, dit le père à l'enfant, à quoi sert la Bible. Tu sais du moins, à présent, l'un des usages de ce livre sacré : il nous console dans nos peines.

La lettre du prisonnier

Prison militaire de ... le 15 Janvier 1939

Une main charitable me lança, ce matin, par-dessus le mur de séparation qui s'élève entre la cour réservée aux militaires non officiers et celle où je me trouve actuellement le seul préventionnaire, votre feuille mensuelle d'avertissement, ainsi qu'un exemplaire du Saint Evangile selon Saint Jean.

En cette journée de dimanche, ayant comme unique compagnon ma souffrance, la lecture de toutes les humiliations et de toutes les tortures auxquelles s'est livré volontairement notre Seigneur, pour rendre supportable à ses fils tous les maux de leur humaine condition, fut pour moi une source inépuisable d'apaisement et de consolation.

L'exemple divin m'a fait voir combien était vil mon orgueil, qui accentuait ma peine et grossissait ma douleur. Mon âme s'est remplie d'une douce résignation, mon cœur a débordé d'admiration, j'ai pleuré de joie, ayant trouvé dans le sacrifice divin la foi sereine et indispensable pour supporter humblement la douleur, et ne pas me révolter devant l'injuste mépris, en cherchant dans mes faiblesses les raisons de le justifier.

Je vous remercie donc de tout mon cœur du service que vous rendez ainsi aux âmes en peine, et plus particulièrement à la mienne qui avait bien besoin d'être consolée.

Lieutenant X.

Une Bible dans un four à pain

Pendant plusieurs siècles, l'inquisition mena dans divers pays d'Europe une guerre sans merci contre ceux qu'on appelait les hérétiques. Que leur reprochait-on ? De lire la Bible, de recevoir par la foi le message de Dieu et de mettre leur vie en accord avec l'enseignement des Ecritures.

Une femme de la Bohème, dont le plus grand trésor était le Saint Livre, se préparait à enfourner son pain, lorsqu'elle apprit que les agents de l'Inquisition parcouraient le village et qu'ils emmenaient prisonniers tous ceux chez qui ils avaient trouvé une Bible. Sans hésiter, elle prit la sienne, l'enveloppa de pâte et la mit dans le four avec les autres pains. Quand ces gens arrivèrent, ils fouillèrent la maison de la cave au grenier, sans rien trouver.

Après le départ des inquisiteurs, la femme retira les pains du four. Sa Bible n'avait aucunement souffert de la chaleur. Non ; pas plus que les trois jeunes Hébreux jetés dans la fournaise ardente par le roi Nebucadnetsar et qui en étaient ressortis sans aucun mal (Daniel 3 : 27).

Les descendants de cette pieuse femme, qui ont émigré aux Etats-Unis, ont conservé le livre si bien protégé. On pouvait le voir encore récemment chez un paysan de l'Ohio.

Rien ne nous empêche, du moins dans nos pays favorisés, de lire aujourd’hui la Bible. Combien serons-nous responsables si nous en négligeons la lecture, et surtout si nous refusons son message.

Quelle traduction de la Bible préférez-vous ?

Un certain nombre d'amis discutaient dernièrement sur la valeur comparative des différentes traductions de la Bible.

- Segond est plus littéraire, disait l'un.

- Ostervald révisé est excellent, affirmait l'autre et j'y suis habitué.

- Quant à moi, fit le troisième, je préfère à toute autre la traduction de ma mère.

- La traduction de votre mère ! s’exclamèrent les autres stupéfiés.

- Parfaitement. Je veux dire la traduction de la Bible que ma mère a faite pour moi et devant moi jour après jour, depuis que mon esprit est capable de la comprendre. Je puis vous affirmer que cette traduction est d'une clarté absolue et que le sens en est fidèle et complet. La vie de ma mère est une version de la Bible que même un enfant peut apprécier. Quelle que soit la traduction dont je me serve pour ma lecture, c'est toujours vers ma version vivante que je vais lorsque j'ai des doutes sur un passage ou que des difficultés quelconques surgissent sur ma route.

Une Bible semée aux quatre vents

Dans un hôpital américain, en Turquie, un malade reçut un exemplaire de la Bible : il l'emporta chez lui, dans son village natal, en Arménie. Il était tout fier de sa Bible, mais un prêtre arménien, la lui voyant un jour entre les mains, la lui arracha, la déchira et en jeta les morceaux dans la rue. Ces précieux feuillets restèrent là, jusqu'à ce qu'un épicier vint à passer qui les ramassa afin de s'en servir pour faire ses paquets.

Ce furent des marchandises peu volumineuses, telles que bougies, morceaux de fromage, olives, achetées par la classe pauvre du village, qu'il enveloppa dans les feuillets sur lesquels était imprimée la parole de Dieu, de telle sorte que la Bible fut semée aux quatre coins du village.

Bientôt les clients de l'épicier vinrent lui demander s'il avait encore d'autres feuillets semblables. Ils avaient lu les pages déchirées et ils désiraient savoir le reste de l'histoire. L'épicier, naturellement, n'avait jamais entendu parler de la Bible, et, par suite, était incapable de leur indiquer où ils pourraient se procurer le précieux volume. Mais les feuilles furent conservées précieusement, et lues et relues maintes et maintes fois.

Histoire d'une Bible

En 1770, raconte un meunier de Bohême, notre arrière-grand-père fut invité à une noce. Après le repas on organisa, selon la coutume, un tir à la cible. Malheureusement, un enfant qui se promenait par-là fut atteint et tué par un projectile. Notre aïeul fut condamné, avec d'autres, pour meurtre involontaire, à un an de prison. Comme Joseph en Egypte, cette captivité tourna, par la volonté de Dieu, à son salut. Il était bien vu du geôlier, qui l'employait dans sa maison à toutes sortes de travaux.

Un jour, il eut l'ordre de ranger un grenier de la prison, où il trouva, parmi la poussière et les toiles d'araignées, un grand tas de vieux livres. Le gardien, interrogé, lui dit : " Ce sont des livres hérétiques, que les Jésuites ont saisis autrefois chez les Hussites et qu'il est défendu de toucher. Je serais puni sévèrement si je laissais prendre un de ces volumes. "

Néanmoins, il permit au prisonnier, sur sa demande réitérée, d'emporter un des livres, et notre grand-père fut tout joyeux de ce présent, dont il ne soupçonnait pas encore la valeur, car il ne savait pas lire. Mais une ferme volonté arrive à bout de tout. Il obtint du geôlier quelques leçons de lecture, et bientôt, à force de persévérance, il parvint à déchiffrer quelques pages de la Bible.

Dès lors, sa captivité qui lui semblait si dure et si injuste, fut pour lui un temps de bénédictions. Il avançait de découverte en découverte dans la connaissance de la parole de Dieu, qu'il lisait, raconta-t-il plus tard, comme si elle était écrite exprès pour lui.

L'année s'acheva plus rapidement, grâce à ce secours merveilleux, et de retour dans sa maison, où il avait emporté son trésor, il continua à lire et à méditer en cachette le Livre des Livres. Il demeura ainsi jusqu'en 1781, époque à laquelle l’empereur Joseph II rendit son Edit de tolérance.

Des assemblées protestantes s’organisèrent dans la Bohème, et notre grand-père s'y rendit pour la première fois, heureux de trouver des frères. Depuis lors, notre famille n'a pas cessé de professer la foi évangélique, bien que seule dans un village entièrement catholique, à une grande distance d'une église protestante.

Fils de la Bible

- " Nous avons ces livres-là, Monsieur, par la grâce de Dieu, disent des paysans à un colporteur évangélique. - Vous êtes protestants, peut-être ? - Non, nous sommes des croyants. - Vous n'allez pas au temple protestant ? - Non, nous nous réunissons entre nous et nous méditons la Bible ensemble. - Y a-t-il longtemps que vous connaissez l'Evangile ? - Une vingtaine d'années. Un monsieur que l'on appelait le Père Jacob, venait de temps en temps nous voir ; il parlait de la Bible et la lisait avec nous. Depuis, nous l'avons achetée et nous avons compris que nous étions dans la mauvaise voie. Nous sommes venus au Sauveur et à présent nous lui appartenons."

La Parole de Dieu ne revient pas à Lui sans effet

Dans un train qui les emportait à travers la Géorgie (ancienne république de l’U.R.S.S.), la conversation entre deux voyageurs paraissait intéressante. Puis, tout à coup, l'un deux découvrit que son interlocuteur était un pasteur. Le ton se fit dur. Le pasteur sortit sa Bible de sa valise et en lut quelques fragments. Inutile. Chacun resta sur ses positions et un silence glacial s'installa dans le compartiment.

Un moment après, comme le pasteur revenait des toilettes, l'autre refermait la fenêtre. La Bible avait disparu. Les deux hommes se regardèrent sans rien dire.

Quelques mois plus tard, le pasteur reçut la visite d'un inconnu. - Je voudrais être baptisé, demanda celui-ci.

- A quelle église appartenez-vous ?

- A aucune. J'ai lu la Bible ; elle m'a montré que j'étais pécheur, j'ai appris à connaître le Dieu sauveur.

Méfiant, le pasteur l'interrogea :

- Comment avez-vous obtenu une Bible dans ce pays ?

- Je suis entrepreneur et je devais inspecter un bâtiment près de la ligne de chemin de fer. Un train passa et tout à coup un objet tomba à mes pieds. C'était une Bible.

- Avez-vous cette Bible avec vous ?

- Bien sûr, la voici.

Le pasteur prit le livre dans ses mains et reconnut sa Bible.

C'était il y a 8 ans. Aujourd'hui, profitant de la liberté de culte qui existe à nouveau dans les pays de l'Est, une assemblée de chrétiens s'est formée dans le village du nouveau converti.

SPURGEON

Spurgeon racontait la conversation entre une pauvre femme et un incrédule :

Ce dernier lui demandait :

- Qu'est-ce que vous lisez ?

La femme répondit :

- Je lis la Parole de Dieu.

- La Parole de Dieu ! Qui vous a dit que c'était la Parole de Dieu ?

- Dieu lui-même.

- Vraiment ! Et quelle preuve en avez-vous ?

La pauvre femme, levant les yeux vers le ciel, lui dit :

- Pouvez-vous me prouver que le soleil existe ?

- Bien sûr ; la meilleure preuve c'est qu'il me réchauffe et m'éclaire.

- Parfait ! répliqua la pauvre femme, toute heureuse. La meilleure preuve que la Bible est la Parole de Dieu, c'est qu'elle me réchauffe et qu'elle m'éclaire aussi !

Enseignement du Sadhou SUNDAR SINGH

(Sundar Singh : Disciple Indien surnommé Sadhou (saint) a cause de sa grande piété)

- En ouvrant la Bible, j’ai trouvé des richesses insondables et éternelles, et en les partageant avec d’autres, elles n’ont fait que s’accroître pour moi et pour eux. Sans ce livre, je n’aurai jamais connu l’amour infini de Dieu, révélé à la Croix. La puissance d’attraction de la Bible n’est sensible qu’à ceux qui l’étudient sincèrement et avec prière. Trop de gens lisent des ouvrages sur la Bible au lieu de la lire elle-même.

Sundar avait toujours avec lui son Nouveau Testament en ourdou. Pendant des années ce fut le seul livre qu’il lût. Il parlait constamment de la joie intense qu’il y trouvait et savait par cœur les Evangiles.

L’histoire de Jésus était un exemple vivant devant lui. Il cherchait à obéir littéralement aux instructions données aux disciples.

Quand Christ dit : “ Les renards ont des tanières et les oiseaux du ciel ont des nids, mais le Fils de l’homme n’a pas où reposer sa tête ”, Sundar trouvait dans ces paroles la confirmation de sa vie de sadhou.

A l’ordre : " Ne prenez ni bourse, ni bâton, ni deux tuniques ", il obéissait à la lettre, voyageant dans le monde entier sans aucun argent avec lui.

Nous voyons dans sa vie, la Bible non seulement prêchée, mais vécue avec toutes ses austérités, ses richesses et ses miracles. Ce qui peut nous paraître un idéal inaccessible se trouve réalisé d’une façon peu commune par cet humble disciple du Sauveur.

La Bible était pour lui la Parole même de Dieu. Elle est mon guide, ma lumière, la nourriture de mon âme.

L’expérience a prouvé qu’il n’y a pas un autre livre dans le monde qui puisse répondre aux besoins spirituels des hommes. La difficulté du langage, des traductions, la critique des textes n’ont pu me voiler les vérités qu’elle renferme, ni atténuer son influence sur mon cœur, parce que son but unique est de nous faire connaître le Christ.

Le roi Georges

Le roi Georges, lecteur de la Bible.

Le secrétaire des Missions ayant entendu dire que le roi Georges avait promis à sa mère, la reine Alexandra, de lire un chapitre de la Bible chaque jour, écrivit à lord Knollys, lui demandant de confirmer ce bruit.

Il reçut la réponse suivante qui sera lue sans doute avec grand intérêt dans toutes les parties du monde :

“ Château de Windsor, le 18 novembre 1912.

Cher Monsieur,

J’ai eu l’honneur de soumettre votre lettre du 15 courant au roi et je suis chargé de vous informer en réponse, qu’il est tout à fait exact que le roi ait promis à la reine Alexandra, depuis 1881, qu’il lirait un chapitre de la Bible chaque jour et que, depuis, il est resté fidèle à sa promesse. Bien sincèrement à vous, KNOLLYS.”

La Bible déchirée

Il y a quarante-quatre ans, un colporteur du midi de la France rencontrait, dans un omnibus, un professeur français établi en Espagne. Ce professeur malmena fort le pauvre colporteur. Celui-ci défendait la Bible de son mieux.

- Quiconque, dit-il, la lit avec sérieux, avec prière, au nom de Jésus-Christ, est sûr d’être éclairé, convaincu, changé.

Il ne fut pas peu surpris, quand ils se séparèrent, de voir son antagoniste lui acheter une Bible.

Trois ans plus tard, dans une auberge, pendant qu’il prenait son repas, ce même colporteur fut abordé par un monsieur qui l’avait fixé, jusqu’à le gêner, et qui lui demanda :

- N’étiez-vous pas à B..... en telle année ? Ne vendiez-vous pas la Bible ?

- Si, répondit le colporteur.

Et il reconnut le professeur qu’il avait rencontré trois ans auparavant.

- Venez dans ma chambre, lui dit celui-ci, j’ai des choses extraordinaires à vous raconter au sujet de la Bible que vous m’avez vendue.

Laissons la parole au professeur.

- Après vous avoir quitté, je retournai en Espagne, à mes leçons, et surtout à ma vie de débauche, à laquelle je me livrais en compagnie d’un ami, alors un des plus tristes personnages que j’aie connus. Il était plus riche que moi, et c’était lui qui faisait les frais de nos orgies. A cause de ma mauvaise conduite, j’eus bientôt perdu tous mes élèves. J’attendais leur retour en fumant du matin au soir.

Afin de bien marquer tout mon dédain pour la Bible que vous m’aviez vendue, et que j’avais eu grand soin de ne pas ouvrir, je me mis à en arracher les pages l’une après l’autre pour allumer mes cigares. Un jour, comme je me disposais à arracher une page, je ne trouvais plus mon livre. A ce moment, il en restait peut-être un tiers. Ne le trouvant pas, je n’y pensai plus.

Peu après, je remarquai, non sans surprise, que mon compagnon me témoignait de la froideur. Je ne le rencontrais plus dans les lieux de plaisir où, auparavant, nous passions presque tout notre temps ensemble, et son absence m’était d’autant plus sensible qu’il n’était plus là pour payer mes dépenses. Bientôt, ma situation fut intolérable. Criblé de dettes, sans aucun crédit, je vis venir le moment où pour vivre, je devais mendier dans la rue.

Avant d’en arriver là, je résolus d’aller demander du secours à mon ancien compagnon.

Je vais. Je frappe à sa porte. Elle s’ouvre, à ma joie immense, et pour mon salut éternel, comme vous allez le voir.

Je vis que mon ami ne me faisait pas la mine, je pris courage, lui exposai la situation et m’écriai :

- Aidez-moi, ou je meurs de faim. Si mauvais que je sois, je ne puis pas voler.

- Je suis d’autant plus tenu de vous aider, me dit-il en m’interrompant et en souriant, que c’est moi qui vous ai volé.

- Volé ! Et qu’avez-vous donc pu prendre à un individu qui n’a pas un centime ?

- Ah ! Vous aviez un trésor ; le trésor des trésors, et le voici, dit-il, en prenant dans un tiroir le livre qu’aussitôt je reconnus pour la Bible que je vous avais achetée.

- Oh, pour ce vol-là, on ne vous enverra pas aux galères ! Et d’ailleurs, il ne restait presque plus rien de ce livre.

- C’est vrai, mais ce qui en restait a suffi pour m’amener à la repentance dont on ne se repent pas, et pour changer mon cœur.

- Vraiment ? Mais parlez-vous sérieusement ?

- Très sérieusement, plus sérieusement que jamais. Un jour, j’étais entré dans votre chambre. Ne vous trouvant pas, je regardais de côté et d’autre, et mes yeux tombèrent sur ce livre. Le voyant tout déchiré, j’en conclus qu’il devait avoir peu de valeur. Je l’ouvris néanmoins, et mes yeux tombèrent sur cette parole :

“ Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés.”

Elle fit sur moi une impression profonde. Depuis quelque temps, j’étais mécontent de moi et de tout le monde. Je sentais, malgré moi, que la vie que je menais ne pouvait me rendre heureux, qu’il fallait à tout prix un changement.

Mais mes mauvaises habitudes avaient repris le dessus. Toutefois, cette parole avait porté. Je voulus en savoir plus long sur ce livre. Craignant que vous ne refusiez de me le prêter, je le pris, sans vous attendre. Une fois dans ma chambre, je dévorai - oui, c’est le mot - tout ce qui en restait.

Plus je lisais, plus j’étais amené à reconnaître Jésus-Christ comme le Sauveur de mon âme. Je trouvai cette parole :

 “ Demandez et vous recevrez ”, et cette autre : “ Tout ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donnera ”.

A genoux, je demandai et je reçus, et, j’ose le dire, je devins à ce moment un disciple de Jésus-Christ.

- Les paroles de mon ami me rappelèrent ce que vous m’aviez dit dans l’omnibus : “ Quiconque lit ce livre avec sérieux, avec prière, au nom de Jésus-Christ, est sûr d’être éclairé, convaincu, changé ”.

Sous cette impression, j’écoutai mon ancien compagnon avec attention et un sérieux redoublé. Depuis lors, nous reprîmes nos relations, sur un pied différent du passé, conscients d’être tous deux de misérables pécheurs qui ne devaient avoir qu’une pensée : obtenir le pardon et la paix.

Bientôt le Seigneur nous accorda la grâce de pouvoir nous regarder l’un l’autre comme compagnons de marche dans le chemin qui conduit à une éternité bienheureuse.

Prenez donc courage, colporteur de la sainte Parole de notre Dieu : que les résultats de votre travail vous soient connus ou non, l’œuvre que vous poursuivez est une œuvre bénie.

La Bible

La Bible est la Parole de Dieu, et ce livre, le meilleur de tous, est demeuré triomphant malgré les rudes attaques du monde et du diable. Grégoire a eu bien raison de dire que l’Ecriture est un torrent d’eau vive où un éléphant peut nager et qu’un agneau peut traverser, sans que ses pieds cessent de toucher le fond. Les puissants et les grands docteurs ne comprennent pas la Parole de Dieu, mais elle se révèle aux petits et aux humbles, selon le témoignage même du Sauveur.

La famille et la Bible

Regardez-moi, le soir, la famille protestante unie dans la lecture commune. Observez cette femme, comme elle écoute le touchant commentaire, la pieuse réflexion du mari ! Comme tous deux sentent et comprennent d'un même cœur ! Leur profonde unité imprime au cœur de l'enfant une autre Bible encore. 

Il n'oubliera jamais le regard attendri lorsque sa mère surprit l'esprit saint dans les yeux émus de son père.

Voilà la tradition forte. Elevé dans la famille, à ce puissant foyer, qu'il aille en Amérique, qu'il s'enfonce aux forêts, loin de toute demeure humaine, qu'il vive pionnier solitaire, il ne sera point seul.

Il a avec lui la tradition. Laquelle ? La Bible ...Dans les nuits les plus sombres, la lueur y revient sur la table de famille, la divine lumière de ce tendre regard que son père et sa mère échangeaient devant lui dans un moment de sainteté.

MICHELET.

La cible que Dieu visait

Cromwell, le célèbre " Protecteur " anglais du 17ème siècle, avait ordonné que tous ses hommes aient une Bible dans leur sac.

Un soir donc, après une rude journée de combats, un jeune soldat rentrait au camp sain et sauf. Voulant prendre son pain dans son sac, il mit la main sur la Bible et il y découvrit un mystérieux trou rond.

Ouvrant le livre il y trouva, devinez quoi ?

Une balle arrêtée dans l'épaisseur du volume, exactement au livre de l'Ecclésiaste et plus précisément à l'endroit de ce texte : " Réjouis-toi, jeune homme, dans ta jeunesse, et que ton cœur te rende heureux aux jours de ton adolescence, et marche dans les voies de ton cœur et selon les regards de tes yeux ; mais sache que, pour toutes ces choses, Dieu t'amènera en jugement " (Ecclésiaste 11 : 9).

Notre ami lut ces lignes ; elles l'amenèrent à chercher et à trouver dans ce volume le message du salut. Il devint un vrai chrétien et il aimait à dire par la suite :

" C'est à ma Bible que je dois la vie, celle de mon corps, qu'elle a préservée sur le champ de bataille, et celle de mon âme, que j'ai trouvée en Jésus-Christ ".

Dieu est riche en moyens pour parler aux hommes : une prédication, un accident, un échec, une délivrance, une déception ou peut-être le récit que vous venez de lire...La cible qu'il veut atteindre, c'est la conscience de ses créatures.

La Bible vue par M. CHURCHILL

Nous rejetons avec dédain toutes ces légendes savantes et laborieuses qui voudraient faire de Moïse une figure imaginaire. Nous croyons au contraire que le point de vue le plus scientifique, la conception la plus moderne et la plus rationnelle, trouvent leur satisfaction à prendre la Bible à la lettre. Nous pouvons être assurés que tous les événements décrits dans l'Ecriture sont vrais.

" Nous nous reposons avec assurance ", a dit Gladstone dans un ouvrage oublié " sur le Roc inexpugnable de l'Ecriture sainte ".

" Laissons les savants et les érudits déployer leurs connaissances, et fouiller par leurs travaux tous les détails des écrits qui nous sont parvenus du fond des temps lointains et obscurs. Ils ne réussiront qu'à mettre en lumière la merveilleuse simplicité et l'exactitude essentielle des vérités qui ont illuminé jusqu'ici le pèlerinage de l'homme ".

Extrait de " Moïse " de WINSTON CHURCHILL 1932.

Ce qu'elle est belle cette Bible

Saint Augustin, environné des prières ardentes de sa mère Monique, cherche vainement à se délivrer des chaînes impures qui le tiennent captif, par ses propres moyens, par les seules forces de son intelligence.

Dieu, de son côté, cherche Saint Augustin et quel moyen emploiera-t-il pour délivrer cette âme inquiète ?

- Une révélation intérieure immédiate ? - Non, Sa Parole Sainte, Révélation éternelle de Sa Justice et de son Amour.

Un jour St- Augustin se promène, il croit entendre dans une voix d'enfant qui chante : " Prends et lis, prends et lis ! " L'ordre divin de prendre le livre sacré et de le lire.

Sur le champ, il retourne auprès de son ami Alype, il ouvre l'épître aux Romains 13 : 13 et 14 : " Ne vous livrez pas aux excès et à l'ivrognerie, à la débauche et au dérèglement, aux querelles et à la jalousie, mais revêtez-vous du Seigneur Jésus et ne prenez pas soin de la chair pour satisfaire ses convoitises ".

Une lumière jaillit dans son âme, les ténèbres se dissipent, St Augustin est converti, la Bible sera bien désormais sa sainte Bible, son Saint Livre !

Ta Parole est esprit et vie

Origène, âgé de 10 ans, lisait la Bible avec joie et en apprenait chaque jour par cœur un chapitre.

 - On demandait à Euplius, martyr sicilien : " Pourquoi n'abandonnez-vous pas les Ecritures puisque l’empereur les a défendues ? " Il répondit : " Parce que je suis chrétien. Elles contiennent la vie éternelle et celui qui les renie perd la vie éternelle ".

Jusqu’au 6ème siècle, la Bible reste en honneur.

" O homme, s’écriait Chrysostome, que dis-tu ? Ce n’est pas ton affaire de t’occuper de la Bible, parce que tu es entouré de mille soucis ? Au contraire, tu en as encore plus besoin que les ermites. Ceux-ci sont en paix dans un port, tandis que nous sommes pour ainsi dire ballottés au milieu de la mer. Nous avons constamment besoin d’être fortifiés par l’Ecriture Sainte ".

" Au lieu d’aimer les pierreries et la soie, écrit Jérôme à une mère de famille, que votre fille s’attache à la Sainte Ecriture ".

Saint Augustin fut un enfant de la Bible et ne cessa d’en appeler à son autorité.

A côté des docteurs qui proclamaient son autorité, voici la foule des simples et des ignorant : on nous parle d’un paralytique indigent qui ne savait pas lire mais qui s’était acheté une Bible ; quand les hommes pieux venaient le visiter, il se la faisait toujours lire par eux - c’est ainsi qu’il apprit à la connaître en entier.

- Les Missionnaires de l’Eglise chrétienne du 4ème au 9ème étaient des hommes de la Bible : " La sainte Ecriture, disaient-ils, est la règle unique de la foi ".

Erreur de classement

José travaille comme apprenti dans une petite librairie d'une ville d'Espagne. Son patron lui demande de classer les livres d'après leur contenu : " Tu vois, les rayons sont clairement désignés : Voyages, Famille, Technique, Agriculture, Religion Etc.

Si le titre ne te dit rien, ouvre le livre, lis quelques paragraphes et tu sauras vite de quoi il s'agit. ".

José se met au travail. Trouver la bonne place n'est pas toujours facile. Mais avec le temps, il acquiert une certaine expérience.

Un jour, il tient entre les mains un petit volume relié noir. Le titre ne l'aide pas beaucoup. Il tourne quelques pages et lit : " Voici, un semeur sortit pour semer…". Plus loin il est question " d'épines ", de " bonne terre ", de " fruit ". Tout est clair pour José : le livre traite d'agriculture...Il le range donc sur le rayon correspondant.

Un jour, un paysan d'un village voisin entre dans la librairie.

Il cherche un livre sur les céréales. En l’absence de son patron, José doit conseiller le client. Il se souvient tout à coup du petit livre noir, le prend sur le rayon et explique, en bon vendeur, qu'il parle justement de semences, de récolte, de mauvaises herbes et de bons et mauvais sols.

Le client se laisse persuader, achète le petit volume noir, et le soir même, il décide de commencer l'étude de l'ouvrage spécialisé.

En ouvrant le livre qu'il vient d'acheter, le paysan est d'abord surpris par son titre : le Nouveau Testament.

Et il lui suffit d'en lire quelques lignes pour constater qu'il a été trompé : on lui a vendu un livre religieux ! Furieux, il le ferme et le pose dans sa bibliothèque.

A la première occasion, il ira l'échanger et en profitera pour se plaindre au libraire de l'incompétence de son vendeur.

Mais voici notre homme qui tombe malade. Au lit depuis plusieurs jours, il commence à s'ennuyer.

" Donne-moi quelque chose à lire ", demande-t-il à sa femme.

Celle-ci inspecte la bibliothèque. Tiens ! Ce livre noir : elle ne l'a encore jamais remarqué.

" Connais-tu ce livre ? demande-t-elle. L'as-tu déjà lu ?"

Il lui raconte alors comment il l'a acquis.

" Et bien ! Regarde-le. Il est peut-être intéressant ".

Le paysan le prend de mauvaise grâce. Mais bientôt, il est tellement plongé dans sa lecture qu'il oublie tout le reste.

Le récit de la vie, des souffrances et de la mort du Seigneur Jésus l'impressionne beaucoup.

Le voilà arrêté par une phrase qui l'interpelle personnellement : " Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi ".

Le Sauveur l'invite. Il n'hésite pas longtemps. Se mettant à genoux, au pied du lit, il s'écrie :

" Seigneur Jésus, Fils de Dieu, Sauveur du monde, je veux venir ; me voilà, sauve-moi !".

Et il trouve la paix pour son cœur et pour sa conscience.

Les éditions de la Bible

Sait-on combien d'exemplaires de la Bible l'Angleterre a produits, publiés et distribués le dernier siècle ?

Le Mac Blur's Magazine nous donne, à cet égard, des chiffres qui, bien qu'inférieurs aux chiffres réels, suffisent à nous remplir de respect.

A elle seule, la Société Biblique, qui est la plus puissante association de propagande du Royaume-Uni, a mis en circulation, depuis 1808, cent soixante-trois millions huit cent quarante-deux mille cinq cent trente exemplaires du livre sacré.

Cette formidable inondation de Bibles est alimentée par trois sources principales : les presses d'Oxford impriment des Bibles depuis plus de trois cents ans : la première qu'elles aient publiée date de 1569.

C'est un établissement unique au monde. On peut y composer et tirer une Bible dans n'importe quelle langue ancienne et moderne. Les Bibles persanes, sanscrites, chinoises, hébraïques sont de la besogne courante ; mais on ne recule pas devant les dialectes les plus inconnus et les plus invraisemblables. Dans le grand atelier de composition, les casses contiennent des caractères représentant des sons émis par tous les peuples sauvages de la terre. La Bible est imprimée, à Oxford, en trois cent vingt langues.

La Société Biblique possède actuellement la plus belle et la plus riche collection de Bibles qui soit au monde. Peut-être ne manque-t-il pas dans ses vitrines un seul échantillon du million d'éditions qui ont été publiées dans toutes les langues. On y voit les éditions les plus vulgaires et les éditions les plus précieuses ; les premières Bibles imprimées en anglais, les Bibles des rois et des reines de jadis, portant les signatures de leurs illustres propriétaires.

Un emballage pour du tabac

De la prison de Gr.... Près de Bordeaux nous parvient le témoignage suivant : " Les moyens de Dieu son vraiment mystérieux. Ecoutez mon histoire :

Mon camarade de cellule, manquant un jour de tabac, en a demandé à la cellule voisine.

Le tabac est arrivé, enveloppé dans un feuillet de votre calendrier. Deux versets de la Bible d'un côté, un petit récit vécu de l'autre, enfin votre adresse.

Cela m'a bouleversé. Mon voisin de cellule n'y comprenait pas grand-chose, pas plus d'ailleurs que celui qui nous avait fourni le tabac, et qui, lui, ne savait ni lire ni écrire.

Mais, à chaque dépannage de tabac, un nouveau feuillet nous parvenait, que je demandais à mon copain de ne surtout pas jeter, parce que c'était très important pour moi.

Un beau jour, mon compagnon de cellule a été libéré, et notre fournisseur de tabac a demandé s'il pouvait prendre sa place.

Cela lui a été accordé, et il est arrivé dans ma cellule...avec son calendrier que nous avons attaché à un barreau.

J'ai pu alors expliquer à mon nouveau compagnon l'importance qu'avait la Bible, et il m'a demandé de lui lire et de lui expliquer le texte de chaque jour.

Nous sommes tous deux Maghrébins, lui musulman et moi fils de Harki, de culture chrétienne.

Ma vie en prison est parfois un cauchemar, mais mon espérance est en Dieu et en Jésus-Christ mon Sauveur. Priez pour moi ".

Parole vivante

Un colporteur biblique donne quelques nouvelles de ses déplacements :

En Normandie, il y a 3 ans, j'avais rencontré un jeune homme très préoccupé par les questions spirituelles. Je lui ai donné une Bible en le recommandant au Seigneur.

Depuis, à chaque tournée, je le revoyais.

Cette année, tout heureux, il m'annonce : " Voilà, maintenant, Jésus Christ est mon Sauveur ! "

Peu après, un autre m'aborde : " Vous m’avez vendu une bible, il y a deux ans. J'appartiens maintenant à Jésus, ainsi que mon épouse et ma belle-sœur ".

La foi vient de la Parole de Dieu

En Anjou, une dame me trouve sur le marché : " Je viens vous acheter un calendrier. Vous savez, c'est par ce moyen que je connais mon Sauveur ".

Toute l'écriture est utile... pour convaincre

Ailleurs, grande altercation avec un incrédule. Pendant un quart d'heure, il m'abreuve d'injures. Enfin, je peux lui dire : " Après la mort, c'est le jugement !" Il part furieux. Une heure après, il revient m'acheter une Bible en disant : " Après tout, j'ai besoin de savoir..." !

Une bonne semence produit du bon fruit

Dans l'Ouest encore, une dame âgée vient chercher le calendrier biblique : " Monsieur, je vous ai acheté une Bible il y a dix ans, et depuis, moi, 78 ans et ma sœur, 84 ans, nous appartenons au Seigneur Jésus-Christ et nous l'attendons ".

Oui, partout la précieuse Parole produit des fruits dans les cœurs, à la gloire de Dieu. Prions pour ceux qui annoncent la Bonne Nouvelle et pour ceux qui la reçoivent.

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