Récit d'Antoinette LAHAYE

J’ai été sollicitée à maintes reprises par des personnes qui voulaient connaître mon cheminement de longue date avec Dieu, et je me décide donc, avec Son aide, à écrire ces souvenirs.

Tout d’abord, je suis née en février 1915 à Dunkerque.

Huit jours après ma naissance, avec ma mère, mes deux sœurs et mon frère nous sommes partis nous réfugier à Ghyvelde, le lieu de naissance de ma mère, à 30 kilomètres environ de Dunkerque.

Ma mère mourut de la tuberculose lorsque j’avais cinq ans.

Quelques faits me sont restés en mémoire.

Des parents (du côté de ma mère, qui étant veuve avec trois enfants s’était remariée), sont venus me chercher et m’ont adoptée.

Mon père avait en effet disparu.

Je dois à cette famille adoptive, pauvre mais honnête, une grande reconnaissance.

Lorsque, jeune fille, je participai à mon premier bal, au cours de la première danse, je fis connaissance avec celui qui allait, trois ans plus tard, devenir mon mari, Marcel Lahaye..

Notre mariage était très heureux.

Ma famille et ma belle-famille étaient très unies, et nous avons eu la joie d’être parents de notre premier fils, René.

Ce fut au cours des années 1937 et 1938, que sont arrivées les premières difficultés, avec la maladie de mon mari : une tuberculose pulmonaire.

En 1939, un pneumothorax est pratiqué, d’autres traitements sont appliqués pendant deux ans environ, et en 1941, année cruciale, plus aucun remède n’est efficace.

C’est alors que nous avons eu la visite de plusieurs cousines.

L’une d’entre elles (qui depuis est décédée à Annecy) fut réellement un " ange de Dieu " pour nous.

Elle nous annonça qu’un évangéliste accomplissait des miracles au nom de Jésus.

Nous l’avons invité.

C’était Alexandre Engrand, qui fut pour nous, comme il est écrit dans le livre de Job (33 : 23) :
" L’un d’entre les mille qui annoncent à l’homme la Bonne Nouvelle et la voie qu’il doit suivre, afin qu’il ne tombe ni ne descende dans la fosse. "

Il y eut pendant quelques mois des doutes, mais mon mari put reprendre le travail.

Alors la confiance est venue, la guérison totale aussi, mais accompagnée de l’obéissance dans les directives de Dieu.

Ce fut une résurrection du corps, de l’âme, de l’esprit, une vie entièrement nouvelle.

Les chaînes du péché sont tombées, nous avons découvert la vraie vie avec ses guérisons, ses miracles.

Comme l’écrivait l’apôtre Paul, nos mains ont touché et nos yeux ont vu la grandeur de Dieu et l’amour qu’Il nous témoignait et nous avons été saisis d’une crainte respectueuse de ce si grand salut, et de la crainte de lui déplaire.

Alexandre Engrand était aussi un prophète.

Lors d’une réunion qui avait lieu à Saint Pol Sur Mer, un comptable présent, fut, par sa bouche, prié de retourner chez lui. Sa belle-mère venait de décéder.

Nous avons été plusieurs, ce jour-là, à ressentir cette " odeur de mort ", et cela arriva à plusieurs reprises.

La crainte de Dieu était forte au milieu de nous, et elle ne nous a jamais quittés, mais il est vrai que nous avons aussi goûté les merveilleuses richesses de Son amour.

D’autres événements ont eu lieu, nous montrant que nous étions accompagnés par Dieu.

Ainsi, lors d’une tournée avec Alexandre, nos avions tous pris le train pour Hazebrouck.

Je n’avais pas moi-même de laissez-passer et c’était risqué, mais lorsque nous faisons ce que Dieu demande, il n’y a pas de problème insoluble.

Nous étions à peine installés dans le train, que l’allemand qui contrôlait les papiers était là.

Tous ont dû présenter leur passeport.

Qu’allait-il advenir de moi ? Il ne m’a pas vue….

Mais voici quel est l’humour de Dieu : le compartiment était bondé, et tous ont eu le privilège d’entendre la Parole de Dieu et de recevoir un Nouveau Testament.

A Hazebrouck, c’est dans une ferme que nous sommes descendus.

On nous a demandé de prier pour un cheval qui ne se levait plus.

Cela n’a guère duré longtemps, mais en revanche, ce fut plus ardu en ce qui concerne les fermiers, qui ont subi une cure d’âme en règle, suivie d’une bénédiction.

Le premier mars 1944, c’est l’évacuation.

Nous partons pour Aubenton où nous avons de la famille, mais sachant aussi que nous obéissons à un ordre de Dieu.

Il neigeait ce jour-là, et c’est en pleurs que nous sommes arrivés chez ma sœur, ma tante, mon fils et moi-même.

Le 31 mars 1944, c’est la naissance de notre deuxième fils, Joël.

Et quelques mois plus tard, ce sont de " nouvelles naissances " des naissances d’En Haut, par l’Esprit de Dieu, mais cette fois-ci lors d’une réunion chrétienne, à la suite de la prière et d’un appel adressé à des personnes désireuses de connaître Dieu et Jésus.

La Parole de Dieu faisant son chemin, nous avons été témoins, et d’autres avec nous, de la Volonté de Dieu.

C’est d’après une révélation directe de Dieu que nous sommes restés à Aubenton.

Nos meubles ont suivi, l’Assemblée Evangélique a pris forme, des serviteurs sont venus faire de l’évangélisation dans les villages alentour, et la prédication de la Parole de Dieu fut suivie de baptêmes, de vies sauvées, et aussi de départs pour la patrie céleste.

Notre troisième fils, Robert est né en juillet 1945.

Lorsque nous sommes arrivés à Aubenton, nous avions encore bien des choses à comprendre de la part de Dieu.

Un soldat canadien fut blessé près de chez nous.

Ce fut mon mari qui le porta chez ma sœur, pour le soigner.

Il n’y avait là rien de mal, bien sûr.

Mais un allemand en fut témoin et il voulut ensuite entrer dans l’usine où travaillait mon mari, et, où d’autres soldats étaient cachés, quoique ce ne soit pas son rôle.

La nuit qui suivit, notre Bible, qui se trouvait sur notre table de chevet, fut transpercée par une balle, alors que nous étions réunis avec d’autres personnes pour prier, dans la cave de la maison de ma sœur.

Nous étions dans un village où l’activité principale était agricole.

De plus, l’usine d’Aubenton fut fermée.

Mon mari dut faire alors des déplacements à Saint Michel, puis des déplacements pour les travaux publics à Villacoublay, Chaumont, Saint-Germain en Laye.

Il se déplaçait en moto, était absent toute la semaine et faisait des réunions et le culte à Aubenton du vendredi au dimanche.

Pour ma part, je fus toujours bénie, bien que nos conditions de vie ne soient pas évidentes.

En plus de nos familles, ma tante, qui m’avait élevée, demeurait avec nous, ainsi que mon père, retrouvé après quinze ans d’absence.

Et les enfants ont grandi……

Nous avons un jour, reçu de la part de Dieu un rappel à l’ordre très sérieux, suite à une inconséquence de notre part.

Nous nous étions permis de juger un frère, et le soir même, lors d’une visite chez l’oncle Jérémie, notre fils Joël, âgé de trois ans environ, fut atteint d’une paralysie faciale.

Malgré notre repentance, ce mal dura pas mal de temps, mais gloire soit rendue à notre Dieu, il disparut avant que notre fils ne rentre à l’école.

Nous étions conscients que Dieu châtie ceux qu’il aime.

Je fus moi-même, à Saint Pol Sur Mer, atteinte de péritonite, à la suite d’un " péché d’orgueil ".

Le péché reconnu, confessé, je reçus le pardon de Dieu, et la guérison intervint rapidement.

L’usine de Saint Michel ferma à son tour, et il fallut à mon mari partir travailler à Soissons.

Il était donc absent toute la semaine et revenait à Aubenton du vendredi au lundi.

Les deux enfants étaient au collège, nos parents étaient décédés, j’accompagnais parfois mon mari et nous avions loué un appartement H.L.M. à Belleu, près de Soissons.

Ce fut de notre part un dérapage par rapport à ce que Dieu nous demandait, et qui fut suivi d’un rappel à l’ordre très sérieux.

Pour moi, de la fièvre, le retour de la maladie et une hospitalisation d’une semaine à l’hôpital de Chauny.

Pour mon mari, ce furent trois mois d’hospitalisation.

Le docteur de Chauny, qui était chrétien, m’a avoué qu’après tout ce temps passé à l’hôpital, rien n’avait changé, et nous, nous savions pourquoi.

Trois jours avant l’entrée à Chauny, des prières et l’imposition des mains pour la guérison furent faites, le pardon fut reçu de la part de Dieu.

Ce n’était pas la volonté du Seigneur que nous nous installions à Soissons, notre appel était pour Aubenton, un point c’est tout.

Nous sommes revenus définitivement à Aubenton, avec une certaine bénédiction.

Le travail s’est présenté aux alentours, les forces de mon mari sont revenues de nouveau.

Le salaire était moindre mais nous étions ensemble et en famille.

Année 1966, aux environs de Pâques, vacances à Dunkerque.

Rechute brutale de la maladie de mon mari, hospitalisation et quinze jours plus tard, retour à Aubenton où le soir même, il nous quitte pour entrer dans la gloire céleste au milieu des siens.

La parole du Seigneur, qui nous avait été donnée 25 ans auparavant, nous est alors rappelée en 1966 : " Tu resteras à Aubenton et tu mourras à Aubenton. "

Année 1995 : Je suis maintenant âgée de 80 ans.

Betty, ma petite fille d’Hirson, a financé pour moi un voyage de trois semaines en Martinique.

Mon séjour se déroule merveilleusement bien, dans la communion avec tous ces frères et sœurs, en cette commune foi, dans l’Eglise du Seigneur.

Pour tout cela, je remercie le Seigneur et Betty.

Au retour de ce voyage béni, un autre se présente à moi, de trois semaines également.

Et me voici partie avec René et Ghislaine, en Roumanie cette fois-ci.

C’est un tout autre décor, mais nos contacts sont aussi enrichissants qu’en Martinique.

L’amour du Seigneur est partout dans les cœurs, malgré la pauvreté et la misère.

Chaque jour nous pouvons compter les bienfaits de Dieu à l’égard de ce peuple, enfin libre, après la révolution, mais surtout fidèle dans l’attente de jours merveilleux en Celui qui nous aime et qui revient.

Merci aussi à Dieu pour tous les voyages que j’ai faits avec mes enfants, petits-enfants et amis lors de cette vie.

Pour ceux qui ont su contribuer à m’aider dans les jours parfois difficiles.

Merci à Claire, ma fille en Christ, en Suisse, que je n’oublie pas et à tous les frères et sœurs pour leurs encouragements.

En 1997, réunion de toute la famille Lahaye à Dunkerque.

Merci pour ces journées émouvantes avec tous.

Voici un extrait de la Parole de Dieu me concernant (Esaïe 65) : " J’ai exaucé ceux qui ne demandaient rien. "

Ce fut mon cas dans bien des occasions.

Merci Seigneur.

Grâces soient rendues à Dieu pour notre Seigneur Jésus-Christ, maintenant et à toujours, aux Siècles des Siècles. Amen.

Le grand marcel

(Témoignage de Ghislaine Lahaye)

C’est comme cela que quelques-uns appelaient monsieur Lahaye.

Grand c’est vrai, il était très grand.

La première fois que je l’ai vu en effet, il m’a semblé immense pour l’enfant de 8 ans à peine que j’étais.

Il est venu chez mes parents un soir, conduit par une voisine qui avait été guérie d’ulcères aux jambes après l’imposition des mains du " grand Marcel ". Comme le disait cette dame,
" maintenant mes jambes sont guéries…. "

Donc il est arrivé, le béret à la main (c’était une habitude chez lui, quand il voyait quelqu’un, déjà de loin il se découvrait, c’était un signe de respect).

Le monsieur est entré, il était légèrement voûté, il s’est présenté, non comme un guérisseur, mais pour apporter la Bonne Nouvelle du salut.

Il est resté un bon moment ce soir-là, a prié pour mon père qui était tuberculeux.

Il est revenu ainsi plusieurs fois et c’est devenu une habitude, tous les lundis soir, il donnait un coup de main, avec son fils aîné René.

Ils mangeaient à la maison.

Les curieux, des gens qui avaient besoin, en recherche, arrivaient et alors il sortait de sa poche intérieure un Nouveau Testament qui ne le quittait jamais. Puis il y a eu des cantiques, des prières, des guérisons se sont accomplies chez nous, d’éléphantiasis, d’ulcères, d’épilepsie.

Ces soirées se succédaient dans différents endroits.

Le Seigneur se manifestait à travers cet homme.

C’était un homme très simple, très humble, qui s’humiliait très souvent.

C’est ainsi qu’un jour où il était à la maison à réparer un croisillon en bois, il s’est tapé sur le doigt, il a eu un mouvement de colère, et a aussitôt ôté son béret et a demandé pardon au Seigneur.

Cet exemple est toujours resté gravé dans ma mémoire et m’a donné conscience qu’il y avait un Dieu qu’on ne voyait pas mais qui voyait tout.

Cela m’a servi toute ma vie, la crainte du grand Dieu était dans mon cœur.

Gloire à Dieu.

Il venait souvent avec des chrétiens de Lille ou de Dunkerque, où lui-même avait connu le Seigneur qui l’avait guéri de la tuberculose, alors qu’il n’avait que 29 ans.

Voici le récit de la guérison miraculeuse :

Une cousine était venue le voir alors qu’il crachait du sang, pour lui apporter la Bonne Nouvelle ;

Il a donné très vite son cœur à Dieu, alors finis l’hôpital, le sanatorium, ses forces sont revenues.

C’était un homme nouveau.

Il était originaire de Saint Pol sur Mer dans la banlieue de Dunkerque où il est né en avril 1911 et c’est après son mariage avec Antoinette Caulier qu’il avait contracté la tuberculose.

D’hôpital en sanatorium, son état ne s’améliorait pas.

C’est alors qu’une cousine est venue le visiter (elles étaient quatre cousines en vérité).

Une des cousines l’a exhorté à demander l’imposition des mains à un évangéliste renommé qui est venu le voir et l’intervention de Dieu s’est faite sur le champ.

Ce serviteur l’a exhorté à marcher à sa suite et à la suite du Seigneur.

C’est qu’il a fait et Dieu lui a donné la guérison sur la maladie.

C’est le salut de son âme et la guérison du corps qui ont motivé Marcel Lahaye pendant tous les temps qui ont suivi.

50, 60 kilomètres à la ronde, il allait annoncer la Bonne Nouvelle du salut et Dieu manifestait sa puissance, par des guérisons, des délivrances.

Des hommes étaient libérés de l’alcool, du tabac.

Malgré cela, il n’y avait pas d’articles dans le journal de la région, mais c’est comme cela qu’est née une petite assemblée dans notre petit village d’Aubenton.

Des gens de toutes conditions venaient, recevaient les bienfaits du Seigneur et repartaient.

Dieu soit loué, un certain nombre est resté fidèle et proclament encore l’Evangile aujourd’hui, 40 ans après le départ pour la patrie céleste de Marcel, le fidèle serviteur de Dieu.

J’ai encore en mémoire certains faits.

Un soir de semaine, dans un village de 3500 habitants où il y avait une réunion d’évangélisation, un homme est venu dans l’intention de troubler la réunion.

Il avait 38 ou 40 ans, il avait bu, il connaissait l’Evangile. Sa mère et deux de ses frères avaient été libérés de l’alcool. Beaucoup de gens, à la vue de cette famille transformée, restaient sans voix.

Pourquoi ces trois-là avaient-il été transformés et pas l’aîné des garçons ?

Il était donc là, affalé, maugréant sans cesse, quand le frère Marcel s’est approché de lui, et l’a exhorté au nom de Jésus à ouvrir son cœur sous peine de ne plus entendre l’Evangile.

Celui-ci s’est levé, est sorti.

2 ou 3 jours après on le retrouva mort sur les marches d’une maison de la ville d’à côté.

Le salut des âmes était la préoccupation constante de Marcel Lahaye.

Il avait une grande connaissance de la Parole de Dieu et pouvait l’appliquer dans toutes les circonstances.

Dieu a vraiment dirigé sa vie, ainsi après sa maladie, il a été réquisitionné par les allemands pour surveiller des travaux et bénéficiait d’une petite cabane où il passait le plus clair de son temps à lire et méditer la parole du Seigneur.

Il était imprégné de cette parole du Seigneur et la faisait connaître avec conviction à tous ceux qui le côtoyaient.

Il disait souvent cette parole : " Malheur à moi si je n’évangélise pas. "

Nous avons été nombreux à l’accompagner quelques fois dans les visites où il était appelé. C’était vraiment un privilège.

Il sortait de sa personne une telle force de persuasion, et cela parce que le Seigneur travaillait avec lui.

Il allait rarement seul en visite, sauf si l’appel était de nuit.

Ce que nous entendions et voyions, nous faisait un bien fou.

Pour ma part, je tirais des forces de cet exemple de foi.

Quand il priait, je savais qu’il allait se passer quelque chose.

Cela m’a servi dans certaines occasions.

Gloire à Dieu qui a fait connaître son Amour pour moi par un tel serviteur.

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