André trouva le premier Simon son frère, et il lui dit : " Nous avons trouvé le Messie. "

Et il le conduisit vers Jésus. Jean 1 : 41 et 42

La dernière fois, nous avons parlé de l’abandon, et nous avons constaté avec joie que chaque sacrifice rend plus riche, que Dieu nous rend comme un fief ce que nous lui avons donné, que chaque goutte de sang que nous avons offerte contribue à nous vivifier nous-mêmes.

Aujourd’hui, nous voulons parler du partage, et nous verrons qu’il s’agit, là aussi, d’un anneau indispensable dans la chaîne qui tient notre embarcation.

Une bénédiction reçue est une obligation.

Dieu attend de nous du fruit, une vie nouvelle.

Le paysan qui n’obtient de ses cultures que la semence qu’il y a mise est un paysan maladroit et malchanceux, et il finira par se ruiner.

Nous savons avec quelle énergie Jésus accentue toujours de nouveau cette vérité, avec quelle sainte indignation il maudit le figuier stérile !

Et dans la parabole du figuier, le maître du jardin ordonne : " Coupe-le, pourquoi occupe-t-il la terre inutilement ? "

Dans la parabole du Semeur, il est avant tout question de la récolte.

Pensons aussi à cette parole : " Il (c'est-à-dire le Père, le vigneron), ôtera tout sarment qui ne porte pas de fruit. "

Ou bien à celle-ci : " Je vous ai établis, afin que vous alliez, et que vous portiez du fruit. " (Jean 15 : 16).

Nous devons maintenant nous demander ce que c’est que du fruit.

Quand d’une petite plante est sorti un arbre, ce n’est pas du fruit, si grand que soit cet arbre.

Et même s’il a une ramure, un feuillage magnifique, ce n’est pas du fruit non plus.

A vrai dire, on ne peut parler de fruit que là où il y a reproduction, où quelque chose de nouveau, de la même espèce, a été créé.

Evidemment, l’Ecriture sainte emploie ce mot de fruit aussi dans un autre sens, par exemple au chapitre 5 des Galates, où Paul dit : " Le fruit de l’Esprit, c’est l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, la tempérance. "

Tout cela vient de l’Esprit.

Mais si ces fruits se forment en moi, tout n’est pas fini par là. Ils doivent murir, et finalement donner de la semence, et ainsi servir à la reproduction de l’espèce.

Certes, une fleur est aussi une partie du fruit, car ses pétales renferment les étamines et le pistil.

Mais n’être qu’une fleur, ce n’est pas assez.

Le but final de toute cette beauté de la floraison, c’est justement la reproduction de l’espèce.

Dans le domaine spirituel, nous devons certainement faire tout pour développer en nous ces fruits de l’Esprit que l’apôtre énumère dans l’Epitre aux Galates : La charité, la joie, la paix, la patience et les autres.

Mais nous ne devons pas croire que nous soyons féconds si nous gardons tout cela pour nous, si nous ne pensons, en quelque sorte, qu’à prendre soin de notre vie individuelle, qu’à développer notre personnalité chrétienne.

Alors nous ressemblerions à une fleur, peut-être splendidement épanouie, peut-être délicieusement parfumée, mais restée malheureusement infructueuse.

Nous ne sommes fertiles que si tout en nous sert à la propagation de l’espèce, que si nous avons des descendants spirituels.

En d’autres termes, il ne suffit pas que nous venions à Jésus.

Nous ne sommes féconds que si nous lui en amenons d’autres.

Chez celui qui veut avoir Jésus pour lui tout seul, quelque chose n’est pas en ordre.

Une source qui ne coule pas n’est plus une source.

Un chrétien qui ne donne pas à d’autres ce qu’il a reçu cesse d’être un chrétien.

Un christianisme qui ne fait pas de propagande, qui n’a pas en lui l’instinct de la propagande, est malade, car il lui manque un élément essentiel, sans lequel le christianisme est condamné à périr.

Il est dans la nature du Christ de vouloir gagner les hommes ; il a la force nécessaire pour le faire.

Celui qui n’a pas cette volonté ni cette force n’a pas la nature du Christ.

Il n’est pas admissible que nous gardions pour nous la clef des trésors immenses de Dieu, que nous employions ces trésors pour nous seuls, tandis qu’autour de nous, d’autres sont dans le dénuement et meurent de faim.

Cela est inadmissible, parce que c’est un signe que l’amour n’y est pas ; où l’amour manque, tout manque.

" Si je n’ai pas la charité, je ne suis rien. "

Non, celui qui veut être sauvé tout seul ne sera pas sauvé du tout.

Celui qui garde l’Evangile pour lui seul le dérobe aux autres.

Le châtiment l’atteindra : Cet Evangile lui sera ôté.

La parole que Jésus adressait aux Juifs compte encore aujourd’hui : " C’est pourquoi le Royaume de Dieu vous sera enlevé, et sera donné à une nation qui en rendra les fruits. " (Matthieu 21 : 43).

Evangile veut dire bon message ; n’oublions pas que c’est un message, et que tous ceux qui entrent en contact avec l’Evangile deviennent des messagers.

S’ils ne le sont pas, le message cessera d’être pour eux.

Il y a des choses qui ne restent vivantes qu’aussi longtemps qu’elles sont en mouvement.

L’eau d’une conduite gèle en hiver si nous ne la laissons pas couler. Il en est de même de nos biens spirituels.

Si nous ne les partageons pas avec d’autres, ils gèlent, ils sont perdus.

C’est pourquoi si tu veux les garder, donne-les à d’autres.

Si tu veux rester en vie, reste en mouvement.

Si tu ne veux pas t’appauvrir, distribue et donne.

Le christianisme n’est pas fait pour être capitalisé ; il doit être mis en menue monnaie et dépensé journellement.

Qui se repose se couvre de rouille.

Mais comment faut-il s’y prendre pour amener les gens à Jésus ?

Je crois que nous nous représentons la chose comme beaucoup plus compliquée qu’elle ne l’est.

Peut-être croyons-nous même que, pour le faire, il faut avoir étudié la théologie, être armé contre tous les raisonnements des libres penseurs, des monistes, des bouddhistes, etc., etc.

Mais non, mes amis, c’est une erreur.

Celui qui croit devoir renverser d’abord toutes les objections intellectuelles de l’autre, marcher sur le sentier scabreux des comparaisons entre les religions, ou de la théorie qui recherche la source de toute connaissance, celui-là, Dieu le sait, se trompe absolument.

Non, sur le chemin de la discussion, de la dispute, du raisonnement philosophique, on n’arrive pas au but.

Tout cela ne sert à rien, c’est comme si quelqu’un voulait me prouver par des paroles éloquentes qu’il mérite ma confiance.

Il n’est du reste pas nécessaire de comprendre les choses tout à fait pour pouvoir s’en servir.

Nous employons souvent des choses qui sont des mystères pour notre intelligence.

Personne ne peut expliquer ce qu’est l’électricité.

Devons-nous, à cause de cela, hésiter à l’employer, et rester dans l’obscurité jusqu’à ce que nous l’ayons comprise ?

Non, il suffit de savoir où est le commutateur et de l’enclencher ; alors la lumière est là.

Nous pouvons montrer cela à d’autres, et les attirer dans la clarté.

Nous aurons beau parler de lumière, ce n’est pas là ce qui nous éclairera.

Celui qui entend seulement parler de la lumière ne peut pas se la figurer.

Il est bien plus simple de le conduire vers la lumière.

Et je suis sûr qu’alors les lois de l’optique ne l’intéresseront plus guère.

Là où quelqu’un a vu de ses propres yeux le miracle de la lumière, les discussions quant au comment et au pourquoi sont superflues.

J’ai toujours de nouveau eu l’occasion d’observer, d’expérimenter ceci : Ceux qui discutaient, avec des si et des mais, étaient toujours ceux qui n’avaient rien vécu de décisif eux-mêmes.

La discussion devait cacher le vide d’une âme où il n’y avait rien encore.

Ceux, par contre, qui possédaient quelque chose, qui avaient vécu la rencontre merveilleuse avec le Ressuscité, ceux-là avaient perdu toute envie de discuter.

Le " comment " perd son intérêt en présence de la réalité.

Là où il fait clair, là où une chose est déjà réelle, cela n’a pas de sens de se demander si elle est possible.

Pour ceux qui ont rencontré le Christ vivant, il est une réalité.

Je pense que là où il s’agit du mystère de la croix, nous devons devenir plus courageux, plus résolus.

Nous ne devons pas hésiter à amener quelqu’un sous cette croix ; nous ne devons pas croire qu’il faille d’abord enlever de son chemin tous les petits cailloux sur lesquels il pourrait trébucher, supprimer tous les obstacles.

Non, tout homme a un organe intérieur qui lui permet de s’approprier ce secret.

Qu’il s’appelle intellectualiste ou libre penseur, même s’il se défend contre ce mystère, il souhaite, tout au fond de son cœur, de pouvoir le saisir.

Il demande à être mis en présence de quelque chose qui dépasse son intelligence, qu’il puisse admirer comme un miracle, qu’il soit forcé d’adorer parce que c’est surhumain.

Nous cherchons tous quelque chose que nous puissions vénérer, adorer, devant quoi nous puissions nous mettre à genoux.

C’est si vrai que les sans-Dieu mêmes adorent tous une idole quelconque, fût-ce Lénine !

Et c’est pourquoi je crois que nous pouvons parler librement, aussi à des ennemis du Christ, aussi à ceux qui ne le connaissent pas, du mystère de la croix, que nous ne pouvons saisir ni les uns ni les autres.

Les explications ne servent à rien.

Chacun est obligé d’avouer un jour : " Ici, je ne comprends plus, ici commence le mystère. "

Celui qui parle de Dieu, du Christ, du Royaume de Dieu, de l’éternité doit admettre qu’il y a des mystères.

Même le rationaliste le plus obstiné sent cela, et si nous n’en parlons pas, il ne sera pas satisfait.

Une chose est indispensable cependant, si nous voulons amener un homme à Jésus.

Il faut que cet homme sente que nous vénérons ce mystère, que nous le prenons au sérieux, qu’il nous rend heureux.

Et c’est là ce qui manque le plus souvent.

Voilà pourquoi notre message est si impuissant, si peu convaincant.

Nous ne sommes pas remplis de ce mystère.

Nous ne faisons pas l’impression d’être des gens qui débordent d’allégresse parce qu’ils savent quelque chose de si réjouissant, de si merveilleux.

Nous ressemblons trop à ces cicérones qui, dans les châteaux, débitent tous les jours la même histoire, et chez lesquels on sent qu’ils ne sont pas saisis intérieurement par ce qu’ils racontent, qu’ils se demandent seulement si tel ou tel des visiteurs leur donnera un bon pourboire.

Ceux auxquels nous parlons de Jésus doivent sentir que nous sommes tout à fait honnêtes, que Jésus nous a vaincus.

Nous ne devons pas chercher à faire des prosélytes, mais nos interlocuteurs doivent sentir qu’il nous faut des récipients nouveaux pour notre trésor, des vases nouveaux pour notre vin, qui déborde et qui pourrait se perdre, ce qui serait grand dommage.

Si c’est ainsi que nous nous présentons devant nos auditeurs, nous les persuaderons ; nous oserons leur offrir le message merveilleux, extraordinaire, incompréhensible.

Ils verront, ils croiront que nous avons fait nous-mêmes une expérience extraordinaire et incompréhensible.

Je crois qu’il en était ainsi au moment où se passa l’histoire dont est tiré notre texte, c'est-à-dire lorsque le cercle des premiers disciples se groupa autour de Jésus, l’un amenant l’autre.

Ils ne disaient pas grand-chose : " Viens et vois ! "

Et ils pouvaient parler ainsi, car il y avait vraiment quelque chose à voir.

Ce Jésus, vers lequel ils allaient, était convaincant ; il n’était pas nécessaire d’en dire plus long.

Jésus était celui auprès duquel on aimait à rester, celui qui dissipait toutes les objections, qu’on devait croire, qui ôtait toute envie d’entamer des discussions théologiques.

Preuve en est la réponse de Pierre, qui, Jésus ayant demandé aux disciples : " Ne voulez-vous pas aussi vous en aller ? " s’écria : " Seigneur, à qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle. Et nous avons cru et nous avons connu que tu es le Christ, le Saint de Dieu. "

Je voudrais, mes amis, que cette heure nous donnât le courage de rendre à quelqu’un le service qu’André rendit à Pierre.

Toi aussi, tu trouveras quelqu’un qui a besoin de ce service, qui, tout au fond de son cœur, attend que tu l’amènes à Jésus, même si, en apparence, il résiste et se débat.

Mais il faut que celui auquel tu parles sente clairement que tu es sûr de ton affaire, que tu ne parles pas d’un Jésus auquel tu ne crois qu’à moitié.

S’il fait des objections, tu dois pouvoir dire avec une assurance, un calme parfait : " Viens et vois. "

Tu dois le conduire là où Jésus est visible, là où il se révèle nettement.

Christ nous a dit lui-même où on peut le trouver : " Là où deux ou trois sont assemblés en mon nom, je suis au milieu d’eux. "

Cela signifie que tu dois avoir, derrière toi, le groupe des deux ou trois qui se réunissent en son nom.

Et c’est là que tu dois mener celui qui voudrait voir Jésus.

Tout le reste vient de soi-même.

Là où deux ou trois sont ensemble, dans l’attitude de l’obéissance, le Ressuscité est avec eux.

Et là où il est, il se révèle, il fait sentir sa présence.

Aucun artifice n’est nécessaire pour obtenir cela.

Il s’agit seulement d’être tout à fait honnête, obéissant, recueilli, confiant ; alors il est là.

Et certainement il touchera les cœurs, il réveillera et libérera les consciences ; les âmes se sentiront soutenues, portées par la communion du Saint-Esprit.

Sans que nous ayons besoin de discuter, nous saurons qu’il est là, lui-même.

A quoi le sentons-nous ?

Réponse : L’atmosphère est autre qu’à l’Eglise le plus souvent, ou au culte de famille, ou à la " réunion ".

Cette atmosphère est bienfaisante, purificatrice, libératrice, consolante, vivifiante ; elle n’est pas ennuyeuse le moins du monde.

Encore un point : Mets le vêtement qui convient si tu t’approches de Jésus ou si tu veux lui amener quelqu’un.

Un vêtement mal choisi, inconvenant, a souvent été une cause d’insuccès ; quelque chose d’important est allé de travers.

Tu sais quelle robe Jésus veut voir, non pas celle du pharisien, mais celle du péager.

Celle du pharisien, il ne pouvait pas la supporter autrefois, il la déteste aujourd’hui encore.

Et si tu vas chercher quelqu’un que tu veux lui amener, il faut toujours que ce soient deux pécheurs qui se rencontrent.

C’est seulement à cette condition que leur démarche auprès de Jésus sera bénie.

Et maintenant, mes amis, nous voulons nous séparer avec la conviction que chacun de nous a reçu une tâche, ou plutôt un privilège magnifique, celui de conduire des âmes à Jésus.

Nous sommes appelés aujourd’hui à porter du fruit ; c’est un bienfait de Dieu.

Il n’y a rien qui puisse rendre un homme plus heureux.

Nous ne devons pas seulement développer notre propre personnalité, édifier et orner notre homme intérieur ; c’est beaucoup trop peu.

Nous devons réveiller dans l’Eglise et pour l’Eglise une nouvelle vie ; ce Christ qui vit en nous, nous devons le faire vivre dans d’autres.

A nous aussi s’adresse cette parole du Maître : " Je vous ai choisis, et je vous ai établis, afin que vous alliez, et que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure. "

C’est un magnifique témoignage que celui qui est donné à André : " Il trouva Simon son frère, et il le conduisit vers Jésus. "

Nous n’avons rien de mieux à faire.

Celui qui n’imite pas André fait trop peu.

Celui qui vient seul, qui ne pense qu’à sa propre âme, Christ ne peut pas l’employer, et il lui adressera un jour cette question : " Où as-tu laissé tes frères ? Va les chercher, viens avec eux, sinon ne viens pas du tout. Je ne te veux pas seul. Je t’ai établi pour que tu portes du fruit. Si tu ne veux pas, tu seras condamné comme le figuier stérile : Coupe–le ! Pourquoi occupe-t-il la terre inutilement ? "

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